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2.45/5 (sur 54 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Yamila Abraham est auteure de romance M/M, de romance yaoi, mais aussi de science-fiction et de romance érotique.

Elle a fondé sa compagnie d’édition Yaoi Press en 2004 et publié plus d'une cinquantaines de romans graphiques qu'elle a, en partie, rédigé elle-même.

Ses deux séries best-sellers sont "Winter Demon" et "Dark Prince" et ses meilleures ventes inclues "Maelstrom", "UnPrison", "Alien's Bride", et la série "Vanquished".

son site : https://yaoimila.com/
Twitter : https://twitter.com/yaoipress

Source : homoromance-editions.com
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Yamila Abraham at Otakon 2009


Citations et extraits (8) Ajouter une citation
— Faisons-nous plaisir.
— Il semble que pour vous, se faire plaisir doit impliquer de me dominer.
— C’est une délicieuse forme de conquête.
— Et c’est… c’est votre programmation ? Le truc que vous connaissez qui vous a mis ça dans la tête ?
— C’était sa première modification des Eidolons. Pour moi, c’est une envie aussi forte que la soif. Je souffre de l’envie de conquérir ta chair. Le fait que tu viennes de ton plein gré dans mon donjon rend cela plus doux. Une conquête sur une conquête. Tu satisfais un puissant besoin, qui devient ma nourriture.
Rand hocha lentement la tête. Vous êtes si doué pour me donner envie d’être votre petite garce.
— Est-ce la seule chose que vous savez qu’il a programmée en vous ?
— Non, répondit-il en riant doucement. Il m’a aussi donné l’impératif d’être obéissant. À lui et lui seul. Donc, je connais les deux côtés de l’équation, Rand. Je m’abandonne à mon maître comme tu t’abandonnes à moi.
Rand sentit sa poitrine se resserrer à ces mots. Il devait se demander jusqu’où allait la loyauté de Deandred envers le monstrueux ordinateur.
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Deandred passa sa main dans le dos nu de Rand en faisant glisser leurs langues l’une sur l’autre. L’esprit de Rand vagabondait dans des endroits stupides dans son ravissement idiot. L’Eidolon était le parent qui lui avait manqué toute sa vie, le lien familial. Il avait ressenti le même genre de sécurité heureuse avec son ancien patron, mais pas à ce point (son patron avait une femme qu’il trompait, ce qui empêchait leur situation de devenir trop réelle). Cette fois-ci, cela semblait bon de laisser son cœur s’accrocher complètement à Deandred. Si c’était vraiment pour toujours, alors Rand avait des racines maintenant, ici, dans cette pièce, avec cet homme. Il pouvait enfin se détendre maintenant. Quelqu’un d’autre prenait la responsabilité pour lui. Le fait de pouvoir abandonner le contrôle était en fait libérateur. Cela apaisait beaucoup de peurs que Deandred avait déjà perçues.
C’était agréable que quelqu’un veuille le posséder.
C’était une pensée idiote… mais cela le réchauffait intérieurement quand même. Il se laissa simplement envahir par les sensations.
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Rand regarda par-dessus son épaule. Les hommes se dirigeaient vers le jet.
— Pourquoi marchez-vous si lentement ?
Rand tourna à nouveau la tête vers l’avant. Deandred lui avait parlé sans se retourner.
— Jambes enchaînées. L’Eidolon s’arrêta. Il se retourna afin de regarder les pieds de Rand.
— Je vois.
Il s’agenouilla, saisit la chaîne entre ses deux mains et la brisa. Rand le fixa, bouche bée. C’était de l’acier épais qui pesait sur ses chevilles et son geôlier l’avait brisé comme un bâton de réglisse.
— Voilà, dit-il en se retournant vers le vaisseau. Rand le suivit, malgré le fait que son estomac tremblait sous ses mains menottées.
À l’aide.
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— Écoutez. Je sais que vous pouvez probablement trouver un moyen de vous échapper à un moment donné entre ici et là-bas. Je sais que vous n’êtes à bord de ce vaisseau que parce que vous nous avez laissés vous emmener. J’ai besoin que vous abandonniez, Rand. Faites-le, c’est tout. Sacrifiez-vous. Ne faites pas tout foirer pour nous. Ce qui se passe ici est plus important que vous. Ça vaut votre vie, et oui, ça vaut aussi votre cul.
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"Chaque monde primitif invente des histoires sur les dieux et les démons. Le but de la religion est d'expliquer où va une personne quand elle meurt. Des mondes comme le vôtre transforment la peur de la mort et de l'inconnu en outils qui contrôlent les gens, transférant l'équilibre du pouvoir à des saints hommes sans scrupules. Les seules malédictions qui vient du sexe sont les maladies vénériennes et la grossesse."
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— Très bien. Finissons. N’aie pas peur de supplier. J’aime ça.
Merde, enfoiré.
Deandred commença à distribuer des gifles d’un côté et de l’autre successivement. Rand cria. Les coups bombardèrent sa chair sans pause. Il agita ses quatre membres, mais Deandred le tenait fermement avec son bras libre.
— Arrêtez ! Arrêtez, s’il vous plaît ! Je vous en supplie ! gémit-il, ses paroles étouffées par l’agonie.
Deandred continua à le battre.
— Supplie différemment.
— Maître, je vous en prie, cria-t-il jusqu’à perdre le souffle, tremblant ensuite en sanglotant.
Sa main s’arrêta. Rand écarquilla les yeux, puis il attendit en tremblant encore.
— Nous avons terminé, déclara Deandred, avant de passer sa main sur les deux globes fessiers palpitants.
Il fit une pause et Rand l’entendit claquer des doigts. Un des petits robots carrés sur roulettes se retourna vers lui. Un moment plus tard, il sentit un chiffon froid et humide sur ses fesses. Deandred pressa doucement.
— Tu es pardonné pour m’avoir humilié à la mine abandonnée. Le pire est passé maintenant. Notre ardoise est vierge.
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Deandred baissa son pantalon et son sexe épais jaillit. Il se tint au pied du lit un moment, complètement nu, permettant au jeune homme de le regarder. Il avait un corps de dieu, comme si Gizmoidon avait voulu créer une magnifique bête sexy. Son entrejambe était glabre et sa hampe parfaite et épaisse. Il était si époustouflant que même un hétéro le remarquerait. Rand posa distraitement sa main sur sa propre longueur épaisse. Il commença à se masturber pendant que son maître regardait.
Deandred lui adressa un sourire sensuel, ses yeux brillants puis, il rampa sur le lit, sur Rand et ferma sa bouche de la sienne pour des baisers plus tumultueux. Rand s’accrocha à lui, sentant ses cheveux et ses épaules densément musclées. Puis il descendit ses mains sur l’avant du grand homme et écrasa les deux beaux tétons durs de celui-ci avec ses pouces. Deandred rompit leur baiser pour rire avant de soulever sa poitrine jusqu’à la bouche de Rand.
— Suce-les.
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— Gizmoidon vous déteste. Cette ville abritait autrefois des millions d’humains. Il les a tous tués. Il aimerait tuer chacun d’entre vous aussi. Donnez-lui juste une raison.
Un garçon au premier rang qui ne semblait pas avoir plus de dix-huit ans s’évanouit.
— Oh, bon sang, s’exclama Rand avec un ricanement feint. Déboutonnez-le, éventez-le ou tout autre chose.
Les hommes de chaque côté du jeune homme se baissèrent pour obéir. Ce dernier reprit lentement connaissance.
L’orbe se baissa à côté de Rand.
— Tu avais raison. Il suffisait de détruire un robot pour qu’ils s’aplatissent.
— Ils ne vous causeront aucun problème, monsieur, répondit Rand en s’efforçant de paraître satisfait.
— Je trouve votre service acceptable, humain, répliqua le globe avant de s’envoler.
Que Dieu me vienne en aide.
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