Payot - Marque Page - Liu Yang - le pinceau
Le dessin exprime des sentiments bien plus forts que des mots.
- Dis, grand-père
- Hum ?
- Pourquoi on ne vit pas comme les riches ?
- C'est sans doute notre destin ...
Si c'est le cas, on ne peut rien y faire.
- ...
- Allons Maliang ne fais pas cette tête, tu devrais plutôt essayer de changer le monde.
- ...
- Enfin ... Tu n'as pas à te préoccuper de ce genre de choses, tu n'est encore qu'un enfant après tout.
Regarde tes dessins Maliang ; en fait, tu as déjà changé le monde !
Allez, dessine-moi un écureuil, enfin, si tu arrive encore à trouver un espace vierge sur ces murs, HAHAHA !
- Chiche !
Il y a toujours de la place pour un dessin !
HAHAHA !
En l'an 1868, l'empereur de Chine confia à l'un de ses émissaires du nom de Zhi Gang une mission qui devait le mener d'abord en Amérique, puis en Europe, afin d'y recueillir des informations sur l'industrialisation en cours dans ces contrées. Si le savant brossa un tableau enthousiaste des progrès techniques et des processus de fabrication modernes, il ne manqua pas en revanche d'y évoquer, outre la disparition des valeurs humaines, l'insatiable soif de richesse matérielle et l'égarement de la raison. [...] Il observa que tout se concentrait désormais sur le gain et non plus sur les besoins réels de l'humain.
j'ai aimé ce livre car les illustration sont belles ,sa donne envie de lire.
L'histoire est bien:le pinceau rend l 'histoire magique car il y a que maliang qui peut rendre ses dessins réel.
Nous vivons dans une société en perpétuelle mutation, dans laquelle la prise de conscience de la question du genre évolue ) une vitesse folle. Les représentations traditionnelles des rôles sont remises en question par chaque nouvelle génération. Dans le monde entier, les individus aspirent à rompre avec les structures existantes et militent pour plus de tolérance et d'égalité, y compris dans les domaines de l'orientation sexuelle, de la culture ou de religion.
J'ai été particulièrement touchée par l'extraordinaire intérêt qu'on suscité les thèmes abordés dans ce livre et par la multitude de lettres que j'ai reçues venant de lecteurs venus des quatre coins du monde, de la chine aux États-Unis en passant par le Brésil, l'Iran, l'Inde et le Zimbabwe. Il est émouvant de voir combien de gens sont confrontés aux mêmes questions à l'ère de la mondialisation.
page 17-18
Viens attache le bois , Maliang .Que fais-tu ? Hum tu a la tête ailleurs .
Il ne me croira jamais.
Le riche est affable, mais pas flatteur. Le pauvre , lui, est flatteur mais pas affable.
page 5.