Tu sais combien les cris me font mal ! Si le fouet te déchire la peau, tes cris me déchirent le cœur... Je te préviens donc que pour chaque cri, tu auras un nouveau coup de fouet, et ce sera ta faute. Pense à ne pas me rendre malade de chagrin ; si tu avais un peu de tendresse pour moi, un peu de reconnaissance, tu te tairais !