Sors-toi de là, disaient les voix, prend le large: La beauté s'ouvre ailleurs, le temps s'ouvre ailleurs, le coeur s'ouvre ailleurs. Ça commence ici, sur ce pont, dans une rafale de lumières, mais ne t'attarde pas : attrape le vent, laisse-toi conduire. Personne ne te demande rien, et toi ne demande rien non plus. Attrape le vent. D'une seule poussée, avec la Seine qui ondulera dans ton corps, tu seras loin.