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Critiques de Yasumura Youhei (10)
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The Dungeon of Black Company, tome 1

Je remercie les équipes de Babelio et des éditions Komikku pour m'avoir offert la chance de découvrir ce manga grâce à une opération Masse critique. J'avoue qu'habituellement je ne cours pas après le genre "Isekai". Cela-dit, il est toujours bien de sortir de sa zone de confort et de s'essayer à de nouvelles choses.

Les dessins sont très corrects, ce qui permet une lecture rapide et efficace. Il n'y a pas besoin de déchiffrer les scènes d'actions. Le style d'écriture est aussi très simple, ce qui permet de toucher un large public. Au niveau des dessins, ce qui m'a le plus dérangé ce sont ces créatures animales … J'avais parfois l'impression de lire "Les tortues ninjas". Je n'accroche pas vraiment avec ce genre de personnages. Pas assez réalistes ni assez adultes, j'aurais envie de dire. Mais c'est le genre "Isekai" qui veut ça, donc j'accepte !

Au niveau du scénario, ce premier tome me semble assez brouillon (ce qui est normal, puisque l'histoire se met doucement en place). Beaucoup de choses restent sans explications : comment est-il arriver dans ce monde, d'où viennent ces monstres, pourquoi les gens ont-ils des têtes d'animaux au lieu de têtes d'Hommes … J'espère que les tomes suivants éclaireront nos lanternes parce qu'actuellement, ça me semble très simplifiée comme histoire. Mais, attendons !

J'ai bien apprécié le côté "roublard" de Kinji. C'est un personnage un peu loufoque qui reste très agréable à suivre. Pour le reste des personnages, ils ne sont pas encore très marquants, ni très intéressants. Là encore, on verra par la suite. J'espère que les monstres seront un peu plus malins qu'ils ne le sont actuellement pour que les scènes en vaillent la peine.

L'histoire de base est sympathique et relativement innovante. Baser son intrigue sur le monde du travail est un bon parti-pris. Mais pour être utilisé à bon escient, l'intrigue devrait prendre un peu de grandeur. Là, ça reste très enfantin. Trop facile, je dirais ! Le côté drôle n'y est pas pour rien.

En somme, ce n'est pas un grand manga (à mes yeux), mais il reste agréable à lire. C'est le genre de mangas qui se lit sans se questionner. Si je devais le comparer à un roman, je dirais qu'il est comme un roman d'été : sans grand intérêt, mais malgré tout, agréable à lire.
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The Dungeon of Black Company, tome 1

Merci à Babelio et aux éditions Komikku pour l’envoi de ce livre lors de la masse critique.

J’ai hésité avant de sélectionner ce manga, parce que ce thème du héros qui se retrouve plongé dans un univers fantastique n’est pas rare ces dernières années ; mais j’ai été curieuse de découvrir ce anti-héros que nous dépeint le résumé.

Mon avis est assez contradictoire sur un point : le (anti-)héros est projeté dans un monde fantastique mais on ne sait pas vraiment comment il a atterri là, ce qu’est ce monde, son mode de vie… ça manque d’une bonne introduction. Et pourtant je trouve ce tome trop “introductif” car l’action ne se met en place qu’à la toute fin. Et quelle fin, ça devient intéressant vers les dernières pages, mais du coup j’aurais aimé que ces rebondissements surviennent plus tôt, j’ai trouvé le tome un peu “long” avant ces dernières pages.

Hormis cela je trouve la trame intéressante, on se prendrait presque de sympathie pour ce anti-héros qui essaie de se débrouiller pour vivre avec aisance (bon courage dans ce monde !) et qui élabore des stratagèmes loufoques. Mais les personnages secondaires ne m’ont fait ni chaud ni froid ; j’aurais pu apprécier Rim si je ne l’avais pas trouvée aussi agaçante à manger comme une gloutonne (question de goût, mais j’ai trouvé que l’auteur en jouait trop).



Donc mon avis est plutôt partagé, ce fut une bonne lecture dans l’ensemble, mais sans plus.
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The Dungeon of Black Company, tome 2

A priori, le tome 1 de The dungeon of black company n'est pas enregistré sur Babelio, pas encore du moins... Du coup, je rédige la critique du tome 1 à partir de la fiche du tome 2.

Ceci est donc la CRITIQUE DU TOME 1.



The dungeon of black company est un manga de genre fantasy ancré dans le thème de l'isekai, un sous-genre dans lequel un personnage lambda (ou pas ) de notre monde bascule dans un autre monde correspondant aux codes de l'imaginaire fantasy. C'est un sous-genre qui est très répandu dans le domaine du manga. Nous pouvons relever les nombreux titres qui retracent des basculements dans des univers virtuel comme les MMORPGs (Sword art online, The rising of the shield hero, Hack Sign...) ou tout simplement des titres qui retracent littéralement un basculement vers un autre monde tout aussi réel que le premier mais ancré dans le domaine de la fantasy médiéval. J'ai en tête une vielle anime du nom de Visions d'Escaflowne qui correspond à ce dernier critère. Dans les quelques sources faciles que j'ai pu trouver, j'ai même remarqué que le fameux titre Gantz était considéré comme appartenant au genre de l'isekai, ce qui tendrait à élargir cette définition comme un simple monde parallèle au notre sans pour autant y distinguer une esthétique proche de l'univers fantasy.



The dungeon of black company demeure l'un des derniers titres en date issues de l'isekai. On compte deux tomes paru en France depuis juillet 2018. Il met en scène un jeune NEET, soit une personne vivant en marge de la société par son refus du système et son inactivité professionnelle. Notre héros, Kinji, est ainsi un "marginal" qui profite pleinement de la vie après s'être assuré un enrichissement personnel à coups d'investissements et de placements audacieux... Bref, ce gars a tout compris ! ET honnêtement, j'ai plutôt bien aimé la présentation de ce héros peu scrupuleux qui refuse de rentrer dans le système et de trimer toute sa vie. Cependant, tout bascule pour lui le jour où il se retrouve projeté dans un autre monde de fantasy dans lequel il se retrouve à travailler das une mine en toute servitude, devenant l'archétype même du pauvre ouvrier exploité par le système.

Voilà le parti pris intéressant du manga, retracer une allégorie du prolétariat exploité mais dans le cadre de la fantasy.

Cependant, on retombe bien vite dans le piège de la bonne idée pas vraiment bien exploitée. L'une des premières choses qui m'a un peu déplu dans ce premier tome, c'est que ce basculement dans cet autre monde semble au final n'être qu'un prétexte à nous présenter une énième aventure dans un monde de fantasy ce qui fait de ce manga un nouveau titre de l'imaginaire des plus conventionnel. Alors, je suis un peu mauvaise langue, car l'auteur tente malgré tout de dérouler son intrigue à travers une vision humoristique et féroce du prolétariat par le biais de son protagoniste principal. Ce dernier nous apparait comme un anti héros peu scrupuleux bien décidé à redevenir le NEET bien oisif qu'il était dans notre monde. Derrière la surface ultra-cliché, si on gratte un peu, il y a donc bien un ton critique et comique... Mais, malheureusement, certains défauts pratiques viennent pâlir l'intrigue.

D'abord le dessin n'est franchement pas terrible. Ce n'est pas tant un manque de talent qu'un manque d'inventivité dans le design des créatures et des personnages. Les décors sont pas terribles, il n'y a pas vraiment d'ampleur, bref c'est comme l'histoire était réduite à cette intrigue autour des ouvriers et de leur foutus mines ( ce qui est le cas mais, pour le coup, ne vous attendez pas à un "open-world" des plus ambitieux comme on peut le distinguer dans le cadre du monde de fantasy).

L'autre gros défaut est surtout le rythme. Le basculement du personnage dans l'autre monde est ici représenté dès la sixième page du premier chapitre. Je précise encore avoir adoré l'entrée du héros mais j'aurai aimé justement en savoir plus, là l'isekai arrive comme une brique au coin de la figure comme pour dire "le début on s'en fout, passons à l'aventure". Du coup, on se demande à quoi rime cette fausse relation avec le premier monde si, a priori, l'auteur n'en a rien à faire ? D'ailleurs, il n'est jamais précisé que le personnage principal ait envie de regagner sa terre, non il veut juste s'enrichir et pouvoir profiter de la vie. Encore une fois, l'isekai ne sert à rien dans cette histoire !!! De plus, le rythme est épileptique comme si le manga avait voulu évacuer certains passages jugés chiants pour nous amener au cœur de l'aventure. Au fond, il évite peut-être certains écueils narratifs mais bon en même temps, il ne rend pas ses personnages attachants ni son intrigue attrayante.



Bon, au final, je ne vais pas juger durement ce premier tome, qui demeure justement un PREMIER tome. Je laisse le bénéfice du doute quand au second volume pour voir si l'intrigue parvient à décoller, à présenter plus d'enjeux . Même si the dungeon of black company n'arrive pas à convaincre du premier coup, gageons qu'il possède quelques pistes (dont la féroce allégorie du monde ouvrier) qui pourraient faire redorer ce titre si tant est que l'auteur soigne son rythme et la qualité de son univers...

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The dungeon of black company, tome 6

Il se passe ici beaucoup de choses, et sans doute trop pour un seul volume. Alors qu'il arrive à un point culminant de son intrigue, le mangaka semble passer beaucoup trop vite en revue la plupart de ses rebondissements, ce qui fait que, même si l'essentiel est bien assuré, on en attendait un peu plus.
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The dungeon of black company, tome 5

Préparez-vous pour un cocktail détonnant mélangeant aventure, fantasy et révolte contre le système qui va vous retourner le cerveau dans tous les sens !
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The Dungeon of Black Company, tome 3

Je vais aller droit au but, je n’ai pas du tout apprécié ce troisième tome. Kinji est téléporté dans un autre monde et c’est une toute autre histoire qui commence. Je ne comprends pas pourquoi l’auteur a choisi cette voie pour son manga. Il partait bien mais là j’abandonne.



Ce nouveau monde ne m’a pas du tout plu. Les nouveaux personnages ne sont pas charismatiques et tombent dans le cliché. Ce sentiment est exacerbé par le personnage de Ranga, un travesti qui engendrait des situations ridicules pas drôles du tout. Il y a bien quelques pages où mon intérêt remonte, mais à chaque fois c’est gâché par le chapitre suivant où ça part en cacahuète.



Ce qui faisait la force du manga en devient sa faiblesse. Pas le temps de découvrir les personnages, passages trop rapides, humour lourd et j’en passe. Le seul moment qui donne de l’espoir quant à la remonté du manga dans mon estime est la dernière page. Oui, juste la dernière page. Mais ce n’est clairement pas suffisant pour que je continue le manga. Après un tome entier d’aventures ridicules ou inintéressantes, je ne me vois pas prendre le risque d’être déçu une nouvelle fois. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.



J’abandonne ce manga une bonne fois pour toute!
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The Dungeon of Black Company, tome 1

Merci à la masse critique Babelio et aux éditions Komikku pour ce partenariat.

Quand j’ai lu le résumé lors de la masse critique Babelio, il m’a beaucoup plu. Je redoutais un peu le côté fantasy, mais la curiosité et surtout l’envie de découvrir cette saga l’ont emporté sur mes craintes.



Le héros, Kinji Ninomiya, est un NEET (Not in Éducation, Employment ou Training). Il s’est débrouillé pour gagner de l’argent très jeune grâce à du swing trading et maintenant, il vit sur ses rentes jusqu’au jour où il est téléporté dans un autre monde. Dans cet univers, il est démuni. Il essaie d’arnaquer le système en vain et ne réussit qu’à s’endetter. Pour s’en sortir il n’a d’autre choix que de travailler, mais il finit forcément en bas de l’échelle sociale. Il bosse dans les mines en tant que travailleur-esclave pour une entreprise dont la politique est de se tuer à la tâche pour la prospérité de la boîte en respectant les quotas imposés.



J’avoue que raconté ainsi, ça ne donne pas envie, mais c’est peut-être dû au fait qu’à la suite de cette lecture, je me sens désabusée. La magie n’a pas opéré pour ce premier tome, non pas en raison de l’univers qui n’était pas déplaisant au final, mais à cause de Ninomiya, antihéros par excellence.

Je l’ai détesté. Il a un égo surdimensionné, une arrogance extrême ce qui ne m’aurait pas dérangé s’il avait l’intelligence qui allait avec son complexe de supériorité. Il n’est pas bête, mais il est loin d’être brillant. De plus, il est exécrable, profiteur, méprisant (des termes comme prolo m’ont juste donné envie de le taper), lâche et j’en passe.

Si les personnages secondaires avaient été plus intéressants, ça aurait pu passer, mais là encore, on en est loin. Wanibé a le charisme d’une moule avariée, quant à Rim, à part dévorer comme un ogre dilapidant ainsi le peu d’argent que se fait le héros, elle n’apporte rien au récit.



C’est la raison pour laquelle j’ai mis trois jours à terminer ce manga. Il ne me passionnait pas, mais j’espérais quand même que les épreuves traversées transformeraient un peu Ninomiya, mais non. La situation empire sur la fin, ça devient du grand n’importe quoi et ça conforte le héros à maintenir sa ligne de conduite : égoïsme et cupidité.

Rien à redire sur les dessins, ils sont jolis – j’ai surtout accroché au character design de Rim, même si, la plupart du temps, elle est trop dévêtue à mon goût -, mais les illustrations ne font pas tout et n’ont pas sauvé ce premier tome d’un avis négatif.

Je n’ai malheureusement pas aimé cette lecture.
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The Dungeon of Black Company, tome 2

Comme j’ai été agréablement surpris par le tome 1, j’ai enchaîné avec le second sans crainte. Les deux premiers chapitres m’ont tellement déçu! J’en suis venu à me demander pourquoi j’ai continué la série. Comment on a pu passer d’un très bon premier tome à ça? J’ai mis plusieurs jours avant de me remotiver à continuer.



Le premier chapitre surtout me semble sans aucun intérêt. Il ne sert qu’à montrer que Kinji est passé à un niveau supérieur dans la compagnie mais un chapitre entier sur sa formation était inutile. Même le ton a changé passant de l’humour décalé à grotesque. Le second chapitre m’a ennuyé même si il est essentiel pour introduire un nouveau personnage.



Ce nouveau protagoniste, malgré la manière dont il a été intégré au manga, est réussi. Shia est l’exacte opposé de Kinji. Elle vit pour travailler, elle adore son métier et se bat contre les monstres du donjon avec plaisir. La rencontre entre Kinji et Shia est explosive. Leurs caractères diamétralement opposés vont créer des situations rocambolesques à mourir de rire. À partir du troisième chapitre, on retrouve tout ce qui fait le charme du manga. Youhei Yasumura utilise la recette qui m’a tant séduit dans le premier tome.



On voit moins les personnages Wanibé et Rim mais c’est parce que Shia a pris beaucoup de place. La où Wanibé était ébahi devant l’ingéniosité de Kinji pour résoudre les problèmes qu’ils rencontrent de manière peu orthodoxe, Shia elle s’en offusque. Ajoutez à cela des moments épiques et un dessin qui s’améliore.



Après un départ poussif, ce deuxième tome de The dungeon of black company m’a convaincu de continuer la série.
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The Dungeon of Black Company, tome 1

Je suis fan du genre Isekai (Isekai (litt. « Autre monde ») est un sous-genre de la fantasy japonaise dont l’intrigue tourne principalement autour d’un personnage normal qui est transporté ou piégé dans un univers parallèle – source wikipedia). Il y en a de plus en plus, pas toujours à la hauteur de mes espérances. The dungeon of black company a attiré mon attention grâce à sa jolie couverture et à son résumé alléchant. Une fois feuilleté et assuré que le niveau des dessins est bon, je n’ai pu m’empêcher de l’acheter.



J’ai tout de suite accroché à l’histoire. Un homme reclus chez lui qui est fier de profiter de la vie sans travailler et qui dédaigne les autres se voit transporter dans un autre monde où il devient l’esclave d’une société de minage. L’histoire va vite, pas de temps perdu en blabla, et pourtant on comprend très bien ce qui se passe. Ça va peut être un poil trop vite mais au moins on est dans le monde fantastique tout de suite. Ce qui m’a plu aussi c’est que le manga se démarque des autres Isekai. On n’a pas un personnages principal qui se la joue héros. Kinji est un Neet, un homme en dehors du système, il n’y a pas plus égoïste que lui. Un anti-héros comme je les aimes.



De prime abord on peut penser que le mangaka ne manque pas d’air de proposer un oeuvre où le héros cherche à s’enrichir sur le dos d’autrui, mais on se rend assez vite compte que tout se retourne contre lui et c’est très drôle. Malgré tous ses efforts malsains, rien ne marche et il n’avance pas. Il y a à la fois une sorte de critique sociale et un juste retour des choses. Comme si l’auteur cherchait à nous montrer qu’il ne faut pas user de n’importe quelle méthode pour réussir dans la vie, même si le pouvoir en place agit ainsi.



Un monde de fantasy à la fois captivant et drôle. J’ai beaucoup aimé ce premier tome et je lirai la suite à coup sûr.
Lien : https://lesinstantsvolesalav..
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The Dungeon of Black Company, tome 1

Un héros prêt à piétiner tous ceux qui se mettent sur son chemin, quitte à les user au travail sans aucun remord ! En contre partie, il règne sur le récit une sorte d'humour qui détend très vite l'atmosphère... [...] Pas mal de potentiel, sur fond de critique sociale... On a hâte de voir vers ou l'auteur va aller.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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