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Citations de Yrsa Sigurdardottir (211)


Ce jingle permettait aux auditeurs de les repérer ou servait à les alerter pour qu’ils se mettent sur écoute. Il était souvent répété plusieurs fois avant la diffusion du message proprement dit, des énumérations de chiffres et de lettres souvent précédées d’une information sur le nombre de listes diffusées. Chaque station avait aussi une manière caractéristique d’annoncer la fin de la transmission, pour la plupart c’était simplement le mot “Fin” ou “Message terminé” dans des langues variées.
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Il fallait mettre tout cela sur le compte de la fatigue et du stress. Les gens sous pression pouvaient être victimes de toutes sortes de phénomènes hallucinatoires, alors pourquoi pas d’odeurs imaginaires, après tout ?
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Mieux valait la colère que l’horreur.
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Elle était partagée entre la crainte et l’impatience. Un changement est toujours bon à prendre. Enfin, peut-être.
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Elle n’avait pas grand-chose à craindre, mais leur manière de la détailler du haut en bas l’insupportait. Ils avaient entre treize et seize ans, et elle allait en avoir vingt-deux. La différence d’âge ne les freinait pas. Elle avait beau dissimuler ses formes sous ses vêtements, négliger son apparence, tirer ses cheveux en queue de cheval sur le haut de sa tête et s’interdire tout maquillage, rien n’y faisait, les yeux des gamins suivaient le moindre de ses gestes. Et leur nombre allait croître…
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— Parfois on aurait dit qu’elle parlait à quelqu’un, et ce n’était pas à moi.
— Ça arrive à tout le monde de parler tout seul, surtout quand on est malade.
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Au fil des années, le Bureau des commissions d’enquêtes avait été progressivement relégué au second plan. Les affaires qui étaient jadis de son ressort étaient confiées à d’autres mains. Il ne grappillait que les miettes qui tombaient des tables des puissants fonctionnaires de l’État.
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Au bout du compte, les rêves sont des dissimulateurs ; leur contenu est déformé et les comptes rendus qu’on en fait ne sont que de vagues souvenirs parcellaires qui ne donnent aucun indice sur ce qui manque éventuellement dans l’histoire, ou sur ce qui a été recréé pour combler les trous. Il n’y a jamais de témoins impartiaux des rêves, ce qui dans le meilleur des cas en fait, en tant que facteurs psychanalytiques, des béquilles sur lesquelles s’appuyer quand tout le reste a échoué.
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Une maison, ça fait toutes sortes de bruits, surtout les vieilles bicoques en bois comme celle-ci. On s’en rend simplement mieux compte la nuit, quand tout est calme.
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Les choses ne changeront jamais, malheureusement. Il y aura toujours des ordures pour prendre leur pied à pourrir la vie aux autres.
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Elle enfila son jean, ses baskets et remonta la fermeture à glissière de son sweat à capuche. Elle était prête à aller crapahuter dans la cave poussiéreuse. Elle constata dans le miroir qu'il ne lui manquait plus qu'un bas sur la tête pour aller faire un hold-up.
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Il y avait quelque chose d'affreux qui entourait cet enfant. Et quoi que ce fût, ce n'était rien qu'ils pourraient réparer.
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Juste une chose. Pour bien clarifier la situation. Matthew prit un air perplexe, mais la laissa poursuivre. Hier soir, ce n'était pas moi, c'était l'alcool. Donc tu as couché avec une bouteille de Cointreau, pas avec moi.
Oh, je vois, fit Matthew en se redressant sur un coude. Ces grandes marques, elles ne cessent jamais de vous surprendre. Je ne savais pas qu'elles étaient capables de ça.
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Peut être que vous devriez vous dégotter un anorak comme le mien. Ils sont incroyablement confortables.
Impossible, répliqua Matthew en lui souriant toujours. Parce que vous seriez obligée de vous assoir à l'arrière, dans la voiture. Ça ne marcherait pas. Impossible de faire entrer deux anoraks de cette taille à l'avant.
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[...] ... L'escalier [mena le concierge et les femmes de ménage] à l'étage des bureaux du département. Malgré les cris derrière lui, Tryggvi [= le concierge] réussit à identifier la provenance du hurlement : c'était bien dans les parages. Il se mit à courir, imité par les femmes de ménage. Il ouvrit la porte anti-incendie du couloir distribuant les bureaux et s'immobilisa si brusquement que les employées mugissantes le percutèrent par derrière.

Ce n'est pas la bibliothèque renversée, ou le directeur du département, hystérique, rampant à quatre pattes au milieu des livres qui s'étaient répandus dans le couloir, que Tryggvi contemplait, comme hypnotisé. C'était le corps gisant sur le dos dans la pièce, au pied de l'alcôve qui hébergeait l'imprimante de l'étage. Tryggvi sentit son estomac bondir. Pour l'amour du ciel, qu'est-ce qu'il faisait avec des bouts de tissu sur les yeux ? Et ses mains, qu'est-ce qu'elles avaient qui clochait ? Les femmes passèrent la tête par-dessus l'épaule de Tryggvi, et leurs cris redoublèrent d'intensité. Tryggvi sentit qu'elles tiraient nerveusement sur sa chemise, qui finit par sortir de son pantalon. Il essaya de se dégager en se tortillant, mais en vain. Le directeur du département leva les mains, suppliant qu'on lui vienne en aide, cherchant désespérément à échapper à la scène répugnante derrière lui. Tryggvi rassembla tout son courage et réprima une furieuse envie d'empoigner les femmes et de s'enfuir en courant. Il fit un pas en avant et les malheureuses laissèrent échapper un nouveau hurlement perçant, en choeur. Elles tentèrent de tirer Tryggvi en arrière mais, cette fois, il réussit à se libérer. Il s'approcha de Gunnar, qui sanglotait par terre. ... [...]
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La ville et sa banlieue reflétaient le désir islandais de vivre dans une maison - pas un appartement, une maison.
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L'Eglise catholique avait conservé toute sa richesse et son patrimoine en Islande, mais avec la Réforme, tout était passé entre les mains du roi du Danemark, ce qui avait appauvri le pays.
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Il était temps qu’elle aille se coucher en compagnie du livre qu’elle devait terminer.
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Tout le monde le sait, plus les enfants sont jeunes, plus c’est facile pour eux
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– Désolé. Nous avons étudié toutes les autres hypothèses et c’est celle que les spécialistes recommandent.
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