Yûgo Kobayashi

Club N°56 : Manga non sélectionné

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Un des premiers mangas que je lis, il me manque surement pas mal des codes du genre pour bien apprécier.



J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, donc bien du mal à faire une critique un peu objective !



Lorenzo

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Difficile d'accrocher.



Mel

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Mon fils a bien aimé.



Anthony

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Club N°55 : Manga non sélectionné mais acheté sur le budget classique

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Savoureux mélange entre la cuisine et les mathématiques.



Le héros sublime ses plats grâce à son génie des maths.



Cette passion qui l'anime depuis tout petit mais qui s'estompe depuis quelques temps.



Vers où va-t-il s'orienter ?



C'est ce qu'on se demande à la fin de ce premier tome.



Mel

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Passionné par les mathématiques mais ayant trop peu confiance en lui, le héros croise la route d'un étrange cuisinier qui va lui imposer des défis culinaires.



En changeant de domaine, Gaku prend conscience qu'il a du talent, en cuisine, comme en mathématiques.



L'histoire est plaisante et originale même si les défis du genre " si tu échoues, tu es un raté et tu ne feras jamais évidemment plus jamais rien de bien dans ta vie ", traditionnels des mangas, ont tendance à m'irriter...



Gwen

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Sympathique œuvre parlant d'un garçon cherchant à s'affirmer au travers de la cuisine.



Une réorientation des mathématiques vers la cuisine.



Une quête d'accomplissement personnel dans un domaine que le héro n'aurait jamais imaginé.



Ewen

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Encore un tome excellent ! Pour cette seconde mi-temps, Yûgo Kobayashi a mis les grands moyens mais en mesure de ce que cette équipe de Tokyo Esperion peut produire. Ashito ne sera pas le seul artisan de cette "remontada", mais l'entraineur Fukuda sait trouver les bons mots pour le remotiver. Et puis, c'est surtout l'équipe qui fait le job, ensemble. Ca présage de bonnes nouvelles pour la suite pour Ashito. J'aime toujours autant ces moments au sein d'un groupe, qui s'aime, qui se hait mais qui doit travailler ensemble. Il y a les matchs, les entrainements mais aussi tout le reste.

Première mi-temps, l'équipe de Esperion de Tokyo a un plan pour battre Musashino. Dans un premier temps, les coéquipiers d'Ashito arrivent à les déborder mais la concrétisation est difficile. Et c'est souvent dans ces moments-là qu'on se fait prendre de vitesse.

Une première mi-temps de qualité, il y a de l'action et comme dans les vrais matchs, on se surprend à trépigner quand le ballon est dans leurs pieds. Ils essayent de trouver des solutions, on voit surtout Ashito réfléchir à toute vitesse. Mais c'est une équipe, chacun donne le meilleur de lui-même pour parvenir à leur objectif. Normalement, il y a quinze minutes entre deux mi-temps, l'attente a été plus longue pour moi avec le tome suivant...

J'aime beaucoup le football (même si j'ai moins le temps de regarder en ce moment) et j'ai commencé récemment Blue Lock, une série qui allie football et "survival game". Beaucoup de techniques, de réflexions dans ce derniers quand j'ai vu Ao ashi, j'ai voulu tenter même si je n'en connaissais pas beaucoup plus... Zoom sur Ashito Aoi, un jeune garçon, très doué mais qui a du mal à contrôler ses émotions, il va se faire repérer par un sélectionneur de Tokyo pour pouvoir intégrer une grande équipe.

Un manga très sympa même si j'ai eu peur que le jeune garçon me paraisse insupportable mais finalement, je commence à m'y attacher. J'ai eu mal à suivre certaines scènes qui n'étaient pas très claires à première vue. Comme dans Blue Lock, du moins dans ce premier tome, il s'agit de déterminer les meilleurs joueurs, de sélection. Il y a un peu moins de dureté, plus de solidarité à voir si la suite confirme mon impression. Un manga sur le football qui me plait, il y a plus d'émotions aussi d'interactions avec des non-sportifs. Deux genres différents sur le football mais pour un même objectif, être performant, marquer des buts et gagner !

Après un match éprouvant, Ashito est intégré à l’équipe A des moins 18 ans de l’Esperion. Avec les autres « promus » il se rend compte qu’il y a un gouffre entre les équipes A et B. Tout va beaucoup plus vite lors des entraînements , ils sont plus forts, ils ont affûtés leurs manières de réfléchir. Ashito essaye de ne pas lâcher, d’apprendre dans ses toros malgré la vitesse.

En plus, Kuribayashi a été intégré à l’équipe À par Fukuda pour le « ménager. » L’occasion pour Ashito d’apprendre mieux. Il a parfois des phases de fascination mais il ne reste pas longtemps inactif, ses méninges tournent à toute allure.

Même si on remarque son jeu qui est encore très inabouti, on s’étonne de ses bons réflexes. Il progresse encore en observant ses nouveaux coéquipiers qui sont hautains avec les nouveaux qui sont évidemment moins matures dans le jeu. Le milieu est très dur, même envers les leurs, c’est glaçant.

A suivre !

Ashito n’est toujours pas remis de son nouveau poste. Et suite à seulement quelques conseils, il commence un match en tant qu’arrière latéral. Il est étonnant de voir que le coach lui fait rapidement confiance sur sa capacité à réagir. Et il a raison car Ashito s’adapte très vite. Mais il reste à confirmer aux matchs suivants, avec un Tachibana qui doute.

J’aime beaucoup ce manga sportif, où il faut cultiver l’inné et travailler le reste. Ashito est un garçon très sympa mais qui se laisse parfois porter par l’émotion. Hâte de suivre sa progression.

Après la révélation du tome précédent, on retrouve un Ashito dévasté. Il est encore sous le choc, il ne comprend pas la décision de Fukuda même après les explications. Ce tome est l'encaissement progressif de la nouvelle par Ashito et le choix de ne pas laisser tomber. J'ai beaucoup aimé la façon du mangaka de donner une tournure différente au personnage, même si c'est presque un peu cruel. Anri qui a l'ambition d'être entraineur, essaie de lui donner quelques conseils. On connait la volonté d'Ashito de progresser, sa détermination à devenir un joueur professionnel même si une partie de son rêve est brisée. J'attends impatiemment la suite de son parcours, je suis sûre qu'on ne risque pas de s'ennuyer !

Le prochain match est important quand Tokyo Esperion rencontre l'équipe de Musashino qui domine le championnat. C'est l'ancien club de Tachibana qui ne veut pas jouer contre son ancienne équipe car il a perdu confiance en lui. Heureusement le coach a une tactique pour essayer de les contrer... Flash-back sur le passage de Togashi au Tokyo Esperion quand il était plus jeune pour expliquer la sorte de froid entre Togashi et certains joueurs. C'est très étrange les voir si jeunes et si matures dans leurs paroles (ça ne colle pas trop !). On sent la pression qui monte doucement avant ce match phare, est-ce que leur équipe est à même de gagner contre Musashino ? Ashito arrivera-t-il à trouver sa place à l'arrière ?

L'entraineur propose des petits jeux entre les U15 et les U18 de Tokyo City Esperion mais les U15 ont du mal à se démarquer quelque soit la situation. L'entraineur pose alors une question à Ashito pour qu'il réfléchisse à son jeu. Il demande de l'aide aux autres mais ce n'est pas plus productif... Pareillement, sa relation avec Hana est difficile et il a du mal à lui parler calmement.

Le premier match de la saison arrive et l'équipe fait un début catastrophique... Yugo Kobayashi parvient à montrer les attitudes des joueurs, leurs attentes, leurs détresses pour essayer de comprendre ce qui ne va pas, vont-ils avoir le déclic ? Un manga de football aussi bien sur le terrain qu'en dehors, Ashito et les autres joueurs vivent à travers ce sport de façon intense, à l'école ou autres... On compte sur Ashito pour montrer son talent...

Ca y est, Ashito Aoi fait partie des U18 du Tokyo City Esperion. Mais ce n'est que le début. Il se rend compte qu'il y a énormément d'écart entre son niveau et celui des autres professionnels. Il va falloir travailler dur pour arriver à combler l'écart entre lui et les autres. Heureusement certains croient encore en lui... moments difficiles de Ashito, avant tout est simple pour lui dans le football mais il entre la pratique sportive entre copains et le professionnalisme, il y a un écart. Beaucoup de persévérance, d'abnégation car c'est sa passion et que sa mère croit en lui. Je sais qu'il va tout donner pour le football. A suivre !

La sélection se poursuit pour Ashito Aoi, il va participer avec d'autres à un match les opposant à l'équipe actuelle des U18, des lycéens alors qu'ils ne sont encore que collégiens. La différence entre les deux équipes est très grande, comment arriver à faire la différence ? Un manga toujours agréable à lire, on ressent bien la volonté d'Ashito de donner le meilleur de lui-même et de rallier son équipe. On comprend vite le talent du jeune garçon, il doit arriver à l'utiliser au profit de l'équipe. Parfois un peu de mal à suivre certaines actions mais le manga est plaisant dans l'ensemble et j'ai envie de savoir comment va progresser Ashito !

Grande nouveauté des éditions Mangetsu, Ao Ashi arrive le 26 mai 2021, et c’est un manga très attendu par beaucoup de lecteurs. Il compte à ce jour 23 tomes au Japon, et est toujours en cours de parution.



Ce premier tome démarre très rapidement, et nous présente le jeune Ashito, ayant un fort tempérament, qui va se laisser emporter par ses émotions lors d’un match capital, et entrainer son équipe à la défaite.



Dès le départ, nous n’avons pas un héros impeccable, ce qui change un peu. Il est très bon au foot, mais fonctionne à l’instinct, et surtout il laisse souvent ses émotions prendre le dessus. Cela n’empêchera pas un entraineur de le repérer et l’inviter à une sélection pour rejoindre les U18 d’un équipe de J-League.



Si le début fait un peu penser à Captain Tsubasa (un gamin talentueux + un ancien joueur de foot qui est devenu entraineur) on va vite se rendre compte que Ao Ashi est beaucoup plus sérieux. Déjà, les actions de jeu sont réalistes, (nous n’avons des gains de 11 ans qui traversent tout le terrain pour transpercer les filets avec un boulet de canon), et surtout, il y a de réelles tactiques, vision de jeu, documentation sur le foot, qui prouvent que le mangaka connait bien ce sport.



Le fonctionnement des diverses U11, U15, U18, la J-League, le système de recrutement, le centre de formation, tout ça fait très sérieux, et c’est vraiment appréciable. Il y a aussi quelques références (plus ou moins dissimulées) à de vrais faits de jeu, tel que le coup de tête de Zidane contre Materazzi en finale de la coupe du monde en 2006.



Ao Ashi démarre donc très bien dès ce premier tome, et il est clair que je vais lire rapidement le deuxième !!

Après un match d’anthologie qui aura révélé tellement de chose, Yugo Kobayashi nous surprend de la meilleure des manières en s’intéressant au futur du football japonais. Un peu technique mais passionnant !



Depuis le début, ce que j’aime dans la série, c’est ce côté découverte des coulisses du foot japonais en évoquant les centres de formation préparant au passage en pro, puis la découverte des clubs lycéens et des différents tournois / championnats de chacun. Ce tome est un concentré de cela et plus encore !



Le tome s’ouvre pourtant sur un moment déconcertant qui va même jusqu’à heurter le dessin de l’auteur et le transformer pour le tordre. L’action d’Aoi a vraiment de lourde conséquence et le match n’est plus le même. Comme toujours, c’est assez ambivalent. On peut saluer ce que l’auteur a ainsi salué de la dérive qui arrivait chez Aoi, mais on peut également trouver cela fort brutal. Je n’ai pas aimé la transformation du dessin, allant jusqu’à rendre certains joueurs effrayants. J’ai aimé en revanche l’énergie terrifiante qui a animé tout le monde pour les pousser encore une fois à se dépasser mais non dans l’individualité, dans le collectif. C’était brillant !



Mais ce match n’est que le détonateur et l’auteur met très bien cela en lumière à chaque étape suivante. Il y a d’abord la brutale remise en question du coach, qui était aussi nécessaire, car il avait trop confiance en lui et allait trop loin. Il y a ensuite la remise en question des anciens de l’équipe et notamment d’Akutsu, qui va être obligé d’accepter de nouvelles charges pour lui aussi progresser vers son rêve. Et il y a ensuite la remise en question de tout le système U18 – clubs lycéens, mais on en reparlera.



Ce qui m’a d’abord intéressée, c’est la façon hyper intense et abrupte avec laquelle l’auteur pousse ses joueurs à réfléchir sur eux-mêmes, leur rapport à ce sport, leur poste et l’équipe. Il y avait une tension à couper au couteau, rappelant certains bon furyo tant la fureur rugissait dans leurs veines à la fois contre eux-mêmes et contre l’équipe. Il y a eu également une prise de conscience qui va métamorphoser l’équipe et qui fait déjà rêver. Certains joueurs ont vraiment une classe nationale voire internationale et les autres en prennent enfin conscience, ça les frappe et nous aussi. Ainsi la suite ne sera plus jamais pareil et j’ai aimé qu’il y ait des conséquences concrètes à tout ça et qu’on arrête de version dans le « bisounours » avec ces premières années qui jouaient un peu beaucoup en équipe première sans en avoir le niveau. Maintenant, ça change !



Ce changement, l’auteur le prépare aussi tout particulièrement dans le dernier acte de ce tome avec la rencontre d’une équipe rivale qu’il présente de manière fort astucieuse à travers le regard d’une journaliste sportive partie faire un sujet sur eux. Alors, c’était parfois un peu compliqué de suivre pour moi car je m’embrouillais entre U18 et clubs lycéens, ce qui faisait que j’avais du mal à voir exactement la critique faite, mais je pense avoir cerné la chose au final, et cela augure un sacré remue-ménage et chamboulement, avec ce coach qui va ruer dans les brancards et secouer tout le monde avec son équipe surprise. J’ai très très hâte de voir les nôtres les affronter, ça va faire des étincelles !



Peut-être moins tape à l’oeil que les tomes précédents où les héros brillaient sur le terrain, l’auteur nous embarque ici sur un tome de remise en question rude, âpre et fort costaud. Mais c’est jouissif de sentir le feu qui les anime et de suivre les pistes de réflexions sur le renouveau du foot japonais à tous les niveaux, aussi bien pour nos jeunes actuellement, que pour leur futur que Fukuda et d’autres préparent. Des visions s’opposent et ça fait des étincelles, mais c’est brillant !
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Je deviens fan de cette série ! Il va falloir que je trouve la suite ! (je n'ai que le tome 4 en ma possession) Pourtant dans ce tome, il n'y a pas de match, pas d'opposition. Ashito attend les résultats des tests de détection et comment l'aborder avec sa mère.

Un tome particulièrement émouvant, avec les adieux à son ancienne vie (pas trop de spoil sinon ça aurait durer 3 tomes), à sa famille et la découverte du centre de jeunes à Tokyo, ses nouveaux coéquipiers, les coachs. Chacun des joueurs a une personnalité singulière, ça promet de donner des confrontations originales (surtout le dernier arrivé !).

Impatiente de poursuivre cette série mais il va falloir investir (14 tomes en version française et 30 en VO...)

Après avoir bien accroché au premier tome, c’est en toute logique que je me suis rapidement dirigé vers le suivant, qui s’avère tout aussi plaisant que le premier.



L’histoire suit tranquillement son cours, on continue de voir évoluer Ashito Aoi alors qu’il participe au test de détection et qu’il parvient à se qualifier pour la phase finale. C’est d’ailleurs toute cette phase qui va occuper ce deuxième tome, puisque Ashito et les autres qualifiés vont devoir jouer un match contre l’équipe de U18 du Tokyo City Esperion !



Cela va être l’occasion de découvrir de nouvelles têtes, et surtout de voir comment Ashito et ses coéquipiers du jour vont s’en sortir. Car il n’est pas évident de jouer en équipe lorsque l’on ne connait pas ses camarades !



Graphiquement, le titre gagne en intensité, avec d’excellentes phases jeu qui nous sont servies par des cases dynamiques, fluides, puissantes et toujours très crédibles.



Il est clair que les éditions Mangetsu ont déniché tout le potentiel du manga Ao Ashi, et qu’il va rapidement s’imposer comme un incontournable du genre, et comme le fer de lance de cette toute nouvelle maison d’édition !

Après le déclic, Ashito arrive mieux à combiner avec ses coéquipiers et même si les adversaires sont repliés en défense, ils prennent plaisir à jouer avec les coéquipiers du couloir, il progresse rapidement en le mettant en application. Les joueurs du Tokyo Esperion reprennent espoir...

Un tome jubilatoire ! Evidemment, Ashito est un très bon joueur mais il apprend les règles de jeu élémentaires du football. On sent qu'il est un joueur exceptionnel qui progresse vite, il est incroyable avec une espèce de don pour arriver à localiser les autres sur le terrain. Tous ses talents fait presque de lui un "extraterrestre" même si certains explications le rendent plus "humain", ça n'en reste pas moins un joueur d'exceptionnel qui promet d'avoir un bel avenir devant lui... mais une nouvelle de Fukuda va le mettre KO. Est-ce que tout est perdu ?

Encore un tome au sommet, je finis vraiment par me répéter avec cette série mais comment l'introduire autrement qu'en disant la vérité. Jamais en la commençant, je n'aurais être face à un titre aussi mature dans sa peinture du foot en club. Merci Yûgo Kobayashi !



Après un tome inoubliable avec un Aoi en pleine transformation, l'auteur nous offre un tome plus technique ici où il se pose pour parler de passage en pro, de league 1, de jeu en U18, U15 mais aussi de foot lycéen ou encore de foot à la fac. Il prend ainsi le temps au cours d'une intrigue parfaitement ficelée de glisser des infos sur chacun de ces jeux pourtant si différents afin de nous en faire saisir les nuances et c'est passionnant.



Pour évoquer ces sujets, il offre une narration ultra dynamique où il change de focus. Après avoir suivi les U18 d'Espérion, il se tourne vers la jeune sélection de l'équipe nationale du Japon où Akutsu a été convoqué. Avec ce personnage controversé, il nous montre une autre voie pour faire du foot et participer à un collectif, une voie tout sauf consensuelle, mais une voie passionnante. On découvre en plus avec lui de nouvelles figures hyper talentueuses qu'on a hâte de voir sur le terrain interagir avec les joueurs qu'on connaît déjà à un niveau tout autre.



Car la série est comme ça, elle s'élève sans cesse, mais là en plus elle touche de sacrés niveaux ! On découvre de nouvelles équipes U18 avec des joueurs de classe nationale voire de classe pro et tout cela est passionnant et puissant. On sent une sourde fureur monter chez les Esperion qui pourrait amener à quelque chose de très grand. On ronge donc un peu notre frein car nous sommes ici dans un beau tome de transition, mais on est en même scotchés par ce qui se joue et ce qu'on apprend.



Au milieu de tout ça, on retrouve bien sûr notre héros, qui est pris au milieu de toutes sortes de dynamiques. Il y a ceux qui sont en train d'atteindre les plus hautes sphères, il y a ceux qui sont sur le point de renoncer à leurs rêves, il y a ceux qui connaissent une ascension en U18 et se métamorphosent sous nos yeux et il y a ceux qui tentent de se raccrocher aux wagons. Aoi, lui, en vient à ne se focaliser que sur ce nouvel objectif, sentant qu'il progresse énormément et qu'il touche quelque chose. Mais j'ai aimé que l'auteur nous remette les pieds sur terre en invoquant les femmes de sa vie pour qu'on se rende compte qu'un tel focus n'est pas normal et pourrait être préjudiciable pour lui. Plus on monte haut, plus rude est la chute. En attendant, j'ai hyper hâte de voir le nouveau match des Esperion face au bulldozer qu'est Funabashi !



Je veux bien plus de transition comme celle-ci tant elle est puissante, passionnante et approfondie. J'ai adoré continuer à en apprendre plus sur le sport pro et tout ce qui y mène. J'ai adoré découvrir de nouvelles figures imposantes. J'ai aimé suivre les tourments de nos héros ainsi que sentir le feu s'emparer d'Aoi au point d'en frémir pour lui. L'auteur nous enflamme comme s'enflamment les joueurs d'Esperion à l'idée de leur prochain match. Est-ce que ce sera encore un match transcendant qui va les métamorphoser ? Hâte de découvrir ça !
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Un garçon passionné de mathématiques, mais qui a perdu son enthousiasme pour raisonner, fait la rencontre de Kai, le plus jeune chef étoilé de son restaurant.



Kai peut parfois déranger en raison de son attitude. Il peut se montrer provocateur et manipulateur, mais il sait aussi se révéler drôle et impressionnant grâce à ses talents culinaires et son leadership.



Ce manga conviendra à ceux qui adorent les mathématiques ou tout raisonnement scientifique. Aborder la vie de cette façon permet de prendre du recul sur les situations et de résoudre les problèmes pour mieux comprendre notre environnement. Rassurez-vous, le côté subjectif entre aussi en compte !



J'ai beaucoup apprécié les dessins, l'expression des visages, et la sensation de transcendance pendant les moments de réflexion et de cuisine.



Il y a beaucoup de texte explicatif pour faire des liens entre les mathématiques et la cuisine. J'avais peur de tomber sur un chapitre équivalent à une recette, mais ce n'est pas le cas jusqu'à présent. Cela permet de revoir certains concepts mathématiques et d'effectuer des recherches pour vérifier si les explications de l'auteur sont justes. N'étant pas un expert dans tous les domaines, je découvre et j'investigue en même temps que Gaku. C'est intéressant et cela change de la lecture classique d'un manga.



J'ai acheté ce manga en pensant pouvoir l'utiliser en classe. Déjà, 2-3 idées m'intéressent (en plus des inévitables tableaux de proportionnalité muhaha) : la réaction de Maillard, la façon de concentrer et d'amplifier le goût de l'umami en utilisant les teneurs spécifiques des aliments pour proposer une synergie.



J'adore quand les personnages débordent d'enthousiasme. Je vais probablement me procurer rapidement le tome 2.

Si je devais mentionner un inconvénient, ce serait l'absence de personnage féminin fort pour le moment. Même la "rivale" en cuisine semble vite envieuse, et sa partenaire des clubs de mathématiques semblait presque en admiration... Ce n'est clairement pas équilibré et cela donne l'impression de dépeindre un boy's club.

Quel nouveau tome de transition passionnant. L’auteur sait vraiment exploiter les respirations de son oeuvre pour bâtir quelque chose de fantastique autour de son équipe et on en redemande !



Après le choc du dernier match, les événements s’enchaînent : Ashito sur le banc, Akutsu avec le brassard, une nouvelle dynamique dans l’équipe en l’absence de plusieurs grands titulaires. On pourrait croire que tout va bien, qu’on est sur de bons rails, mais la vie est plus compliquée que ça et l’auteur va se plaire à nous le rappeler.



Il y a tellement de choses que j’ai aimées dans ce tome et dont j’ai envie de parler, à commencer par la relation qui se tisse entre Aoi et Akutsu, point d’orgue comme l’annonçait la couverture. Ces deux joueurs que rien ne semblait pouvoir rapprocher sont en fait bien plus similaire qu’on ne le croyait et la grande plasticité d’Aoi, ainsi que l’amour du sport et de la gagne d’Akutsu, son sérieux, vont les faire entrer en osmose petit à petit sans qu’ils s’en rendent compte. J’ai adoré leurs échanges, joliment dynamisés par le côté bourru d’Akutsu et candide d’Aoi. On apprend plein de choses à leur contact et on les voit grandir l’un auprès de l’autre.



Il y a également tout le travail de l’auteur autour de la structure de jeu qui est passionnante. Il décortique par le menu la dynamique de l’équipe de l’Espérion et c’est aussi passionnant qu’immersif. On se plaît à voir les anciens prendre conscience de leur rôle de transmetteurs de savoir, afin que leur équipe intègre mieux les nouveaux et hausse son niveau. On se régale à suivre Aoi décortiquer depuis les tribunes le jeu de son équipe, ses forces et ses faiblesses, comprenant enfin des choses sur lui également grâce à Akutsu et sa parole son concession. C’est fascinant de voir l’équipe se redresse, se reconstruire, pour encore trébucher et se voir offrir une nouvelle proposition pour se relever. En cela, Otomo fut encore un personnage énorme, vraiment central dans la dynamique de groupe, dont j’ai adoré le mental et la positivité. Gros coup de coeur pour lui !



Enfin, il y a la vie perso de nos héros. Petit instant mignon avec Aoi qui prend de plus en plus conscience de ses sentiments pour Hana et celle-ci qui comprend bien qu’elle passera toujours après le foot. Autre moment mignon avec le rapprochement entre Anri et Togashi, après le craquage de celle-ci et sur la base de commentaires de match. C’était assez inattendu. Et en parlant d’inattendu, on n’avait pas vu venir l’immiscions du passé d’Akutsu dans les affaires de l’équipe. Et quel terrible passé ! Il en dit tellement long sur lui. Un grand classique dans le shonen, un peu à la kojiro Hyuga (Mark Landers d’Olive & Tom), mais qui fonctionne si bien, surtout à ce stade de l’histoire. L’auteur se sert à merveille de se drame pour venir encore plus cimenter une équipe en train de renaître.



Transformation en cours de réalisation de l’équipe de l’Espérion ! Un moment passionnant à voir et à vivre aux côtés d’Aoi et Akutsu (+ Otomo, mou chouchou), les stars de ce tome. C’est vif, tranchant, percutant. Ça remet en question et en perspective l’équipe qu’on pensait connaître, qui renaît tel un phénix de ses cendres, mais avec une nouvelle dynamique qui la transcende. Touchant et passionnant, quelles trajectoires de vie !
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