Yukiru Sugisaki

Un tome plus comique que révélateur, même si la fin donne laisse entrevoir la partie sombre de DN Angel. Il faut dire que l'idée du double rendez-vous pour Dark et Daisuké étaient assez étrange. Je ne sais pas ce que l'auteur a voulu faire avec cet "épisode" mais franchement, ça n'apporte rien à l'histoire. C'était même du grand n'importe quoi... L'échanges des personnages pour pouvoir donner le change n'était absolument pas crédible... Mais il est vrai que voir toute la famille de Daisuké en action était plutôt sympathique. J'aurais pourtant préféré que nos deux héros aient chacun un moment bien à eux avec l'une des jumelles, sans toute cette pression.



La partie la plus intéressant du tome se passe à la fin, comme je l'ai indiqué. Beaucoup plus sombre que les trois quart du manga, elle nous montre enfin du concret, c'est à dire, un peu plus sur la fameuse existence de Dark et Krad. On n'apprend pas forcément grand chose, mais cela laisse présager que les prochains tomes pourraient nous éclairer un peu plus. Ce qui ne serait pas du luxe au bout de dix tomes.

Un tome huit qui montre de plus en plus combien Daisuké et Dark sont liés, et pas seulement à cause de leurs destins. Je trouve qu'il aurait été très dommage de la part de Yukiru Sugisaki de ne pas développer cette relation, car, elle est en partie ce qui rend l'histoire de plus en plus intéressante. Il est d'ailleurs difficile de s'imaginer que ces deux personnages pourront un jour vivre l'un sans l'autre, tant leurs vies sont intimement liées.



Pour ce tome-là, on poursuit bien évidemment ce qu'il s'était passé dans le tome sept. Pour une fois, Dark se retrouve seul, démuni face au danger qui guette Daisuké. Mais c'est dans ces moments-là qu'il nous montre toute sa force et la volonté qu'il a de protéger son alter ego. Il a d'ailleurs pour nom Dark, mais comparé à Krad et sa relation avec Hiwatari, je trouve son nom très mal choisi (en quelque sorte), car celui qui a le plus de noirceur est bien l'alter ego d'Hiwatari. C'est d'ailleurs un personnage que je trouve très malsain, d'autant plus qu'il a une apparence assez angélique.



Niwa lui apprend plusieurs choses qui le marqueront à vie. Les moments qu'il passe avec Freedert sont très tristes, mais en même temps très instructifs. Je ne sais pas si Daisuké en tirera des leçons, mais Yukiru Sugisaki nous offre un moment magnifique entre ces deux personnages.



Les jumelles, quant à elles, me font sourire. Je n'irais pas jusqu'à dire que leur situation est drôle, mais le fait qu'elles aiment, si l'on puit dire, la même personne, sans s'en rendre compte à un côté assez comique. Reste à espérer que ce quatuor amoureux pourra un jour avoir une fin heureuse.

On ne peut pas dire que les choses soient faciles pour Daisuké. Loin de là, et ce tome neuf nous le prouve encore une fois. Plus nous avançons dans l'histoire, plus le côté sombre de la série prend le dessus. Il y a toujours des petits passages comiques, mais il n'en reste pas moins qu'il y a comme une ombre qui plane continuellement sur les héros. Et je n'arrive pas à me défaire de cette impression.



Le destin fait encore une fois ici beaucoup parler de lui. Il est vrai que depuis le début de l'histoire, nous ne savons pas réellement pourquoi Daisuké a été choisi pour "accueillir" Dark. On nous dit que c'est quelque chose d'héréditaire, mais il doit bien y avoir une raison à tout cela. Et d'ailleurs, qui est réellement Dark au final. Il y a tellement de mystères autour de l'alter-ego de notre héros qu'il est assez difficile de comprendre certaines choses de l'histoire. On suit le cours sans vraiment voir où cela va nous mener. La présence d'Hiwatari appuie d'autant plus cela. Lui aussi étant "maudit", et n'ayant visiblement pas la même relation avec Krad, que Dark et Daisuké, on se rend compte que tout ceci relève vraiment plus de la malédiction que d'un simple héritage.



Je trouve d'ailleurs la relation entre Daisuké et Hiwatari très bien faite. J'aime beaucoup les voir intérargir ensemble, d'autant plus que cela fait ressortir les doutes d'Hiwatari. Il ne semble pas être quelqu'un de mauvais. L'influence de son père et de Krad risque par contre de le faire basculer à un moment donné. Mais la mangaka a réussi a donné une très bonne dynamique entre les deux collégiens.



La fin de ce tome est beaucoup plus frivole que ce qu'on a pu voir jusqu'à présent. Les histoires de cœur prenant un peu trop le dessus à mon goût, même si le manga est classé shojô. Je trouve quelque fois un peu niais ou too much, les réactions de Risa... J'espère juste que le tome dix ne se focalisera pas sur cela et que l'auteur continuera de nous en apprendre un peu plus sur Dark et Krad.

Kawaï. Si ce mot vous est inconnu et bien lisez DN Angel. L'histoire, les personnages, les dessins, tout un univers fabuleux que seul le mot kawaï peut définir. L'humour, la tendresse, la naïveté, l'action font rayonner ce petit bijou qui gagne en finesse avec le temps. De la même lignée que Card Captor Sakura, et sur fond de vol d’œuvres d'art et d'amour, les jeunes héros se cherchent avant tout et essayent de comprendre les affres de la vie.

Coté dessin, c’est du bon travail en général, les personnages sont mignons. L’atout majeur de ce titre réside dans les quiproquos et les situations embarrassantes dans lequel est entraîné le héros, de ce coté, on est servi.

Malheureuesement, le découpage et certaines situations peuvent laisser le lecteur perplexe. Il arrive souvent que l'on se demande quel personnage est en train de parler, ou bien encore comment en est on arrivé à une telle situation. Les traducteurs n'y sont pour rien, c'est Yukiru-sensei qui est en faute. Espérons que ces petits défauts disparaîtront au fil du temps.



Ayant fini la série, je voulais rajouter un petit mot sur le tome qui a cloturé la série. La fin est baclée. C'est vraiment la seule chose à dire. Le tome 10 faisait apparaître de nouveaux personnages et une nouvelle intrigue plus ciblée sur le secret de la famille comnbattant Dark et Pouifffff !!! Tome 11 = fin. Et encore le tome 11 n'est même pas un vrai tome. Les histoires courtes auraient pu laisser la place à plus d'explications. En bref, vous l'aurez compris après une attente si longue de ce tome, je suis déçue.



Re edit : la mangaka s'est finalement décidée à reprendre DN Angel. A voir donc pour la suite...

Quel graphisme! Des traits simples, sobres, précis, presque enfantins par moment. Les lecteurs voient rapidement les détails. Ce style de dessin est adapté à cette histoire car il reflète très bien l'âge des personnages sans pour autant être caricatural.



Ce deuxième tome, malheureusement, me laisse un peu sur ma faim. J'espérais un peu plus d'action. A l'inverse du premier tome qui possède un rythme effréné, celui-ci est plus à la vitesse de croisière d'un adolescent: Tranquille. Il faut prendre son temps. Même si les éléments se chevauchent, ce n'est pas grave. Vite, il faut trouver une solution.



Je trouve intéressant de souligner la relation présente entre Hawatari et Daisuké: elle est remplie de non-dit, d'interrogation et d'observation. Jusqu'où va-t-telle évoluer?



Beaucoup de questions sont présentes en moi à la fermeture de ce tome : Daisuké va-t-il, à l'avenir, toujours prendre les bonnes décisions? Sa mère ne lui cacherait-elle pas encore des choses ? Daisuké va-t-il apprendre des éléments sur le passé de Dark?



Plus qu'à trouver le tome 3 maintenant afin, je l'espère, obtenir des réponses à mes questions.

Quand on ajoute une touche de fantastique à Arsène Lupin ça donne..... DN Angel! Dommage que l'intérêt pour le feuilleton n'ai pas contaminé le manga... En effet, malgré des dessins joliment réalisés, le scénario peine à intéresser les plus de 15ans. Des personnages jeunes et lisses, un carré amoureux vu et revu rendent le manga plaisant, sans plus.

Un manga découvert par hasard. La couverture m'a directement donné envie de l'acheter. Le vendeur m'a dit que c'était un excellent choix. Il ne s'est pas trompé.



Je conseille à toute personne qui souhaite le lire de se replonger dans son adolescence. Retrouver les émotions et les problèmes qui nous préoccupaient vers nos 14 ans. En créant cette bulle, on peut facilement faire la connaissance de Daisuké Niwa, un collégien en deuxième année.

Aujourd'hui est un jour spécial pour Daisuké car il a enfin le courage de dépasser sa timidité et d'avouer ses sentiments à Risa, la fille qu'il aime secrètement. Malheureusement pour lui, tout ne va pas se passer comme prévu. Les sentiments ne sont pas réciproque. A cela, s'ajoute l'apparition de Dark: un célèbre voleur fantôme disparu depuis 40 ans.

Accompagné et aidé par son fidèle animal de compagnie, With, Daisuké se retrouve propulsé dans de nombreuses situations qu'il n'aurait jamais pensé vivre.



Entre les questionnements, les peurs et les modifications physiques et émotionnelles de cet adolescent, le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer. Va-t-il réussir à se trouver pleinement ? Combien de vols Dark peut-il encore réaliser avant que la police ne l'identifie et l'attrape?



Heureusement que le tome 2 se trouve déjà dans ma bibliothèque. Je ne sais pas si j'aurais eu le courage d'attendre avant d'en apprendre un peu plus sur Dark, Daisuké, Risa et Hawatari.

Lien : http://boumabib.fr/2014/01/2..

Daisuke, l’enfant, se transforme en Dark, l’adolescent aux pouvoirs extraordinaires, pour voler des biens précieux. Pourtant Dark est bien plus que le simple alter-égo de son apparent maître.



Voilà trois ans que les précédents tomes étaient sortis en France. J’ai donc vraiment eu du mal à me replonger dans cette série que je trouvais pourtant jusque-là intéressante. La mangaka continue à évoluer avec son public et propose désormais des histoires plus sombres et plus fouillées. Gageons une fin de série assez proche niveau tomaison (un ou deux tomes) avec un final grandiose.
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" On dirait un Loup-Garou revisité", c'est la première image qui m'est venue

en lisant ce manga , Dasuke: est attachant et Dark: charmeur ,deux caractères

différent mais tellement ... J'ai quand meme une petite préférence pour Dark , un livre super plein d'action et de suspens

Le seul mot que je trouve pour qualifié ce manga est :Génial !

C'est vraiment bien au début je fait plus attention a la couverture et au récit

et puis j'ai vu le manga et je me suis dit "pourquoi pas "

mais en fait je l'adore !

Cela faisait un moment que j’attendais la suite des aventures de Daisuké et son double, gentillet/maléfique, Dark.



Dans ces tomes, Daisuké part chercher une des œuvres d’art de la famille Hiwatari qui semble avoir enlevée Risa. On en apprend un peu plus sur ce qui lie les 2 familles ensemble, et l’intrigue prend encore plus de profondeur.



On s’aventure au delà du côté voleur comique et des quiproquos amoureux des premiers tomes et ça fait du bien, même si le côté déjanté reste de mise. Si vous ne connaissez pas encore, vous pouvez le conseiller aux plus jeunes, dès 8 ans, sans problème.
Lien : http://boumabib.fr/2010/06/2..

Cela faisait un moment que j’attendais la suite des aventures de Daisuké et son double, gentillet/maléfique, Dark.



Dans ces tomes, Daisuké part chercher une des œuvres d’art de la famille Hiwatari qui semble avoir enlevée Risa. On en apprend un peu plus sur ce qui lie les 2 familles ensemble, et l’intrigue prend encore plus de profondeur.



On s’aventure au delà du côté voleur comique et des quiproquos amoureux des premiers tomes et ça fait du bien, même si le côté déjanté reste de mise. Si vous ne connaissez pas encore, vous pouvez le conseiller aux plus jeunes, dès 8 ans, sans problème.
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Ouais Kawaii!! Ce livre en remplit d'amour, de l'humour et de la tristesse. les Personnage son très bien dessiner. Aller découvrir la vie du voleur fantôme

Je crois que le mot qui décrirait le plus l'état d'esprit dans lequel on se trouve face à cette sortie serait : ENFIN !!! Voilà maintenant environ 3 ans que le dernier volume était sorti. Il s'est fait désiré depuis l'annonce de sa sortie qui devait normalement être prévue en mars. Mais une fois n'est pas coutume dès que j'ai su qu'il était sorti je me suis précipité à la FNAC (pour ne pas citer de nom). Trépignant d'impatience à la caisse pour voir ce que réservait ce volume j'ai quand même réussi à rentrer chez moi en ne lisant que les toutes premières pages. C'est ensuite que j'ai pu le dévorer.



Que dire si ce n'est que ce volume reste dans l'esprit "DN Angel". Un volume digne d'intérêt car on en apprend plus sur les oeuvres créées par la famille Hiwatari. Aucun changement n'a vraiment eu lieu l'histoire est toujours aussi fluide. Après tant d'années d'arrêt de la part de l'auteur pour créer DN Angel on aurait pu penser que l'histoire allait être décousue au point de ne plus arriver à suivre le fil de l'histoire.



Mais ce sont toujours des dessins admirablement bien fait. Un Dark toujours aussi mystérieux, un Daisuke complètement impuissant face aux menaces qui pèsent sur lui et les êtres qu'ils aiment.



J'ai lu d'une traite ce dernier volume car c'est non seulement un immense plaisir de le savoir de nouveau paru mais c'est aussi une oeuvre dont les personnages ont chacun leur propre caractère. Une histoire toujours aussi géniale à suivre et distrayante.
Lien : http://homelaet.canalblog.co..