Quand massacre de masse, affirmation du pouvoir et de la « grandeur » se rejoignent, nous n’avons plus affaire à des criminels de sens commun. Dans ces cas-là d’ailleurs, on observe chez ces despotes une paranoïa qui, peu à peu, envahit leur personnalité. Les autocrates développent avec rapidité l’habitude de s’auto-aduler.
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