"On notera qu'Un jour sans fin illustre ces cas où le climax trajectoriel précède le climax dramatique Malheureusement, entre les deux climaxes, il se passe dix bonnes minutes sans conflit. Or, on est toujours dans l'action. Phil n'a toujours pas atteint son objectif (sortir de cette répétition maudite). Un jour sans fin - pour lequel j'ai, par ailleurs, une profonde estime - illustre parfaitement le danger du découpage en trois actes de Syd Field [26]. Quand vous mettez le climax dramatique au milieu d'un troisième acte "fieldien" - celui qui doit faire 30 minutes et comprend deux parties très différentes -, vous prenez le risque de faire retomber le suspense au début dudit troisième acte."