Ici, je n’en peux plus des cent tours de la promenade qui ne mènent nulle part. Ce mur que je vois au bout de chaque longueur, et le fait d’être conditionnée à faire demi-tour chaque fois que je le vois me paraissent insensés et me désespèrent. Tout cela est absurde, et tout autant douloureux.