La seule frontière qui sépare les enfants c'est la tendresse que certains ont connue, les autres pas. Ici comme ailleurs, à Marseille comme à Anvers, Bangkok ou Bogotà la seule chose qui compte est l'amour que nous avons reçu , et peut-être un jour, un livre.
Extrait du récit : Le voyage immobile, de René Frégni