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Citations de Élodie Solare (47)


Est-ce cela l'amour ? Ressentir l'autre au plus profond de soi ?
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Cette femme me donne envie de la rendre heureuse. Je ne saurais dire pourquoi. D'ailleurs, est-ce que le sentiment amoureux s'explique, ou bien est-il purement irrationnel ?
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Comme moi, elle ment chaque fois que quelqu’un lui demande comment elle va, elle repousse ses angoisses au fond d’elle et sourit. Et quand faire semblant est vraiment trop difficile, moi je vais à la salle de boxe en prendre plein la gueule, et elle, elle avale une jolie dose de bonheur chimique pour anesthésier ses doutes.
Deux écorchés.
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Magnifique. C'est cela que je voudrais lui avoue, au lieu de changer de sujet et de me cacher derrière mon identité de mec de la sécurité, c'est ce que j'aurais dû lui dire.
Letizia, tu es magnifique.
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J'espère juste que Guillaume n'attedra pas plus de moi, il ne doit pas tomber amoureux, car mes cellules, mes battements de coeur et même mon souffle appartiennent à l'Autre. Je ne peux rien y faire, je suis amoureuse d'une ombre.
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C’est comme une collision.
L’émotion est violente, soudaine et suave. Comment un simple contact peut-il être aussi enivrant ?
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Le silence ne me fait pas peur, il a longtemps été mon seul ami.
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Tes courbes sont comme ... les pleins et les déliés d'une histoire.
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Je l’aime à en crever, mais elle ne doit plus jamais croiser ma route.
Je vais broyer ce putain d’organe pour ne plus rien ressentir.
Un cœur est une faiblesse.
Je ne peux pas me permettre d’être faible !
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Les larmes continuent de couler, témoins silencieux de la bataille intérieure qui fait rage en moi.Je me sens piégée dans une spirale étouffante.
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Je suis piégée dans une toile tissée par les mensonges et les secrets. Alors que pour une fois dans ma vie, j’ai juste envie d’être vraie.
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Je profite du calme et du doux bercement du bateau pour regarder les lignes bleues des veines courir le long de son cou et les suivre du bout des doigts. J'aimerais pouvoir me glisser sous sa peau et envelopper son cœur pour la réchauffer et la protéger. Mais aurait-elle envie de m'y donner accès ? Moi qui suis incapable de protéger ceux que j'aime.
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Enfin, j'ai trouvé la personne qui manquait à ma vie. 
Comment lui dire que l'envie d'elle est ancrée là, tout au fond de mon être, mais que ce n'est pas seulement physique. 
Elle fait déjà partie de moi. Elle emplit mon crâne. Mon coeur. 
Et en m'enfonçant avec délectation dans son sexe accueillant, je fais partie d'elle également. 
Chaque coup de reins que je donne, chaque gémissement que je lui tire me dit que nous sommes faits l'un pour l'autre.
Oh , merde, mais comment vais-je survivre à ça ?
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Je peux me reposer. M'abandonner.
Il est là, comme toujours. Il veut juste me réconforter.
Je ne me sens plus seule.
C'est tellement horrible, ce sentiment de solitude.
Tout s'assombrit autour de moi.
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J’entends des hommes vociférer en arabe autour de nous et ne peux contenir la panique qui m’envahit. Je décris les pires guerres devant la caméra depuis cinq années, je suis habituée au bruit des armes, mais voir Max blessé me fait perdre mes moyens. Je ne trouve qu’une chose à faire,
objecter vers les assaillants, dans toutes les langues :
– Journalistes, sahafi, sahafi, journalist.
Parfois notre statut de correspondants nous protège, mais pas aujourd’hui. Les tirs reprennent et la petite rousse, agenouillée au milieu de la rue au chevet de son cameraman, devient une cible facile. Sans défense.
– Romane, je…
– Ça va, Max. Tiens le coup.
Ma main plaquée sur sa plaie, je m’efforce d’endiguer le saignement et de le tirer vers un muret derrière lequel nous serions en sécurité. Les terroristes ne nous visent plus. Des soldats viennent d’arriver et ils ripostent. Je prends deux secondes pour faire un garrot provisoire à l’aide de mon foulard, attrape Max sous les aisselles et le traîne avec peine à l’abri. Ce grand mec d’un mètre quatre-vingt-dix doit peser quarante kilos de plus que moi.
Une fois derrière le mur, d’où je peux voir l’affrontement, je sors le talkie-walkie de la poche arrière du jean du blessé, ce qui le fait gémir de douleur, et je l’allume pour tenter de joindre notre équipe terrain.
– Hakim, Hakim ?
Je voudrais crier, mais je me contrains à garder une voix calme et pas trop forte pour éviter d’attirer l’attention sur nous. Ma main pressée sur la clavicule n’empêche pas le tissu de s’imbiber de sang et le liquide coule entre mes doigts. Ce n’est pas une blessure très grave, j’en ai vu de plus
critiques, mais l’hémorragie doit être endiguée à temps.
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Le silence ne me fait pas peur, il a longtemps été mon seul ami.
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Ti tengu cara per l’eternità.
( Je t’aime pour l’éternité )
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- Bon alors, ce BG ?
- Comme tous les BG.
- Mais encore ?
J'entends des pas derrière moi. Je fais volte-face et tombe nez-à-nez avec le BG en question. Bon sang, qu'il est beau. Sa bouche...
Non, non, non !
Je me poste devant son visage, où est plaquée une expression professionnelle bien différente de celle de la veille à l'intérieur de l'ascenseur, et réponds à Fabien :
- Grand, musclé et un pois chiche en guise de cerveau.
Je fixe Alexis et attends sa réaction. Ses yeux se plissent mais il se contente de consulter sa montre avant de me fixer à nouveau.
- Pas sûre qu'il reste longtemps, j'ajoute dans le combiné sans baisser le regard.
- Pourquoi ?
Mes prunelles accrochées aux siennes, j'assène :
- Sa gueule ne me revient pas.
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J’ai l’impression d’être exactement là où je dois être.
Je sais que c’est défendu. Interdit. Idiot.
Je presse plus fort la chair entre mes doigts, prends une profonde respiration et repousse doucement le corps brûlant soudé au mien.
— Il ne faut pas…
Les cils de Letizia papillonnent pour se reconnecter à la réalité.
— Non ? me demande-t-elle avec un air perdu adorable.
Non ?
Je pose mon front contre le sien et tente de calmer mon cœur.
— Où est-ce que cela nous mènerait ?
Elle a fermé les yeux, sûrement concentrée sur sa respiration. Je me mords la langue pour éviter de céder à l’attraction et recule d’un pas.
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Ma volonté capitule et ma bouche s’écrase sur la sienne pour lui offrir ce qu’elle réclame, ma chaleur, ma force, mais aussi ma vie si nécessaire.
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