Son séjour à l’armée, le déportant du travail, lui avait donné du goût pour la flânerie et pour la dépense. Avec sa rasade d’eau-de-vie au réveil, sa pipe de terre toujours allumée, ses frais d’auberge, il était de force à utiliser pour son seul agrément tous les bénéfices de l’exploitation...