J'appris à apprendre, non pour quelqu'un ou quelque chose mais pour moi, pour l'allégresse que cela me donnait. Plus je découvrais des artistes, des courants, plus je lisais des textes, plus je me nourrissais, et plus je m'affirmais telle que j'avais envie d'être. Etre là où je sentais vouloir être, quelque chose d'aussi ténu et futile que cela, je respirais (p215)