Puisque l'angoisse est là, qu'elle serve. L'écrivain écrit toujours depuis sa prison. (...)
Lisez -L'Ardoise magique-, le journal que Georges Perros, asphyxié par la fumée de sa pipe, tenait durant les derniers mois de sa vie. Toute écriture est une façon d'être. (p. 60)