Le capitalisme démocratique travaille assidûment à détruire la planète [...] On ne peut pas s'attendre à ce que le processus prenne fin tout naturellement avec la disparition du système qui l'a enclenché. L'une des premières conditions sera de se débarrasser une fois pour toute de la désastreuse écologie. Elle fait aujourd'hui fonction d'opium du peuple en apportant la dose de morale indispensable au marketing moderne - voitures vertes, lessives biologiques, poulets fermiers. (page 79)