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Citation de Jacopo


Millet commence l'année 1866 en se transportant par la pensée dans son cher Gréville. Le tableau qu'il destine à la prochaine exposition du Palais de l'Industrie reproduit un site de là-bas, qu'il a décrit dans les lignes, consacrées à son pays, que j'ai mises sous les yeux du lecteur en commençant le présent livre. Relisons le passage : Ce n'est qu'en arrivant par le bout qui est vers la mer qu'on a, tout d'un coup, en face de soi la grande vue marine et l'horizon sans bornes. Auprès de la dernière maison, on voit un vieil orme, qui se dresse sur le ciel infini. Depuis combien d'années ce pauvre vieil arbre est-il battu par le vent du Nord ? J'ai ouï dire aux anciens du village qu'ils l'ont toujours connu comme je l'ai vu.
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