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4.25/5 (sur 2 notes)

Nationalité : Belgique
Né(e) à : Bruxelles , le 05/03/1928
Mort(e) à : Saint-Cézaire-sur-Siagne , le 06/03/2019
Biographie :

Étienne de Harven est docteur en médecine.

Diplômé de l'Université Libre de Bruxelles (1953), il devient professeur agrégé en 1962 (ULB).

Il a travaillé au centre régional de lutte contre le cancer, Gustave-Roussy, à Villejuif et a été membre titulaire du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center à New York (1962-1981).

Il a été professeur de biologie cellulaire à l'Université Cornell et professeur émérite d'anatomopathologie à l'Université de Toronto, au Canada.

Président de la Société américaine de microscopie électronique (1976), le Dr. de Harven a été membre du Comité consultatif sur le SIDA du Président de la République Sud Africaine Thabo Mbeki (2000).

Pionnier de la recherche sur les virus, dans son livre, "Les 10 plus gros mensonges sur le sida" (2005), coécrit avec le journaliste scientifique français Jean-Claude Roussez, le Dr. de Harven appelle à "voir le sida autrement" et persiste à proclamer que, puisque le sida n’est pas un virus, il n’y a pas de contamination.

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Sida et VIH : l'arnaque ? par le professeur Étienne de Harven


Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Comment s'est faite l'annonce de la découverte de ce virus ?

Roussez : C'est une longue histoire, il faut remonter à 1972, soit 9 ans avant ce que l'on peut appeler le début d'une épidémie; le président Nixon à l'époque avait déclaré la guerre contre le cancer, c'était son grand chantier, et immédiatement on a demandé au congrès américain de débloquer des sommes colossales pour travailler à la recherche contre le cancer, mais à la condition que ces recherches soit effectuées uniquement sur les rétro-virus, cad qu'un chercheur indépendant qui aurait cherché les causes véritable du cancer celui-là était blacklisté, il n'y en avait que pour les rétro-virus! (...) c'est partie des recherches de Harven et Charlottes Fend à NY qui ont constaté qu'il y avait un certain rapport entre les cancers du poulet et de la souris et les rétros virus. En 1981 quand apparaissent les premiers cas de ce qui s'avérera ensuite être le sida on a essayé de faire passer du cancer à une nouvelle maladie ; les crédits colossaux qui ont été accordés aux chercheurs n'ont donné absolument aucun résultats après 9 ans donc de recherches totalement infructueuses ; le public américain et le sénat qui avait "allongé" les millions de dollars : cette histoire de Sida est tombée comme du pain bénit! et a permis d'augmenter les subvention (par rapport au cancer on a multiplié les subventions!)

en 1981 il y a eu d'un seul coup plusieurs cas parmi les homosexuels des grandes villes qui avaient tous les mêmes symptômes, les mêmes maladies, notamment les deux maladies du "sida" le sarcome de kaposi et la deuxième maladie emblématique c'était la pneumocistose et, plutôt que de voir ce qui était visible immédiatement à savoir que ces maladies étaient dues à l'utilisation de drogues et exclusivement de drogues, on a senti comme "une bonne odeur" passer : et si on pouvait transformer ça en maladie contagieuse! et c'est comme ça qu'on a fait un faux lien, un lien d'opportunité avec "un virus"... en 1983, dans le labo du professeur de Luc Montagnier on a semble-t-il découvert un virus, l'année suivante en 1984 Robert Gallo en utilisant un échantillon provenant de l'institut pasteur a lui-même fait une prétendue découverte de virus; mais ça n'est pas Gallo qui a annoncé ça, l'annonce a été faite officiellement dans une conférence de presse, par Margaret Eckler secrétaire d'état à la santé et non pas par les scientifiques eux-même : c'est une déclaration officielle gouvernementale américaine qui a déclenché le phénomène en disant " Nous venons de découvrir PROBABLEMENT la cause du sida"; le lendemain les médias du monde entier ont oublié un seul mot : probablement.
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professeur Etienne de Harven :On dit d'une personne qu'elle est séropositivite non pas lorsqu'on l'on décèle dans son sang la présence du VIH mais celle des anti-corps censés lutter contre cette infection (...)

Ce virus n'a JAMAIS été observé directement au microscope électronique dans le sang d'un patient dont on prétend qu'ils ont "une charge virale élevée" ; par des techniques moléculaires extrêmement intéressante on affirme pouvoir identifier dans le sang de ces malades des séquences d'acides nucléique qui correspondent aux génomes des rétros-virus mais il n'y a aucune corrélations entre ces données là et l'échec total pour tenter de démontrer des particules de rétro virus dans le sang de ces malades (...) c'est une affirmation que j'ai faite en Afrique du sud lors de cette grande conférence qu'avait convoquée le président Beki en 2000 et qui n'a jamais été contredite depuis; on a même à Londres offert un prix à quiconque pouvait me prouver le contraire et ce prix n'a jamais été réclamé
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Pour prouver l'inexistence de ce virus, un homme, le docteur Vilner, s'est inoculé en direct d'une chaîne espagnole, du sang d'un hémophile sidéen.


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Il est grand temps d'avoir le courage de se demander si l'hypothèse de départ était exacte ou fausse et je crois qu'il est urgentissime de réaliser que l'hypothèse de départ était fondamentalement fausse
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le jour même de l'annonce par Margaret Eckel et Gallo de la découverte du prétendu virus, il a déposé le brevet; il est devenu archi-milliardaire grâce à ça
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