-Un ver de la crevasse. Maître Quan-Jang et moi avons failli mourir en essayant d'en capturer un...Et le nôtre ne crachait pas d'éclairs de force !
-Décidément, ton maître et toi flirtez souvent avec la mort ! Comment ça se combat ?
-Ça ne se combat pas...Ça se fuit !
Portes des Furies. La plus excentrée des planètes du système Tython. Au fil des millénaires, la station Furie a servi de point de départ aux navires de colons hibernants qui tentent de traverser le noyau profond. Placée sous la juridiction commune des mondes colonisés, la station guette également le retour des vieux navires d'exploration. Mais l'on n'a jamais vu de vaisseau traverser la frontière dans ce sens...jusqu'à présent.
Les meilleures lames restent dans leur fourreau.
-Par deux fois, vous avez fait d'elle une orpheline ! Pas étonnant qu'elle soit si...perdue.
-J'ai fait d'elle une conquérante ! Je lui ai appris la haine qui alimente son pouvoir !
-Et pourtant elle a laissé la vie à son pire ennemie ?
-Je crois qu'elle a besoin de garder un ennemie en vie. S'ils étaient tous morts, qui lui resterait-il à haïr ?
Il est toujours dangereux de pencher tout d'un côté.
[maître Ti] Je me demande ce que cette guerre change en nous, en tant que jedi, et en tant que république. En quoi elle me change. La guerre change toujours ceux qui la font et nul ne peut prévoir comment.
Rien n'est certain...si ce n'est la Force.
[maître Windu] A contrecœur nous nous sommes mis d'accord avec le chancelier Palpatine, pour que les jedi continuent à assurer le commandement de l'armée des clones. Il n'y a tout simplement pas d'autres groupes qualifiés en nombre suffisant.
[maître Yoda] De sérieuses réserves sur tout ceci j'ai ! Gardiens de la paix les jedi doivent être, pas généraux !
La lumière recèle une noirceur, et dans l'ombre se cache une clarté. Ainsi est le cœur de tout un chacun.
Cette histoire se déroule 10 000 ans avant notre ère, sur des planètes très éloignées des nôtres. Pendant un millénaire, les moines Dai Bendu s'étaient rendus en pèlerinage devant l'immense pyramide qu'ils avaient baptisé Tho Yor. Au somment des montagne Andobi d'Ando Prime. Les moines savaient que la Tho Yor n'était pas de leur monde. Ils sentaient que derrière ses portes scellées se cachaient de grands mystères attendant d'être révélés. Ainsi, les Dai Bendu attendirent. Ils contemplèrent et méditèrent et écoutèrent avec leurs esprits et leurs cœurs, et avec leurs sens. Et un jour, la Tho Yor leur parla.