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2.89/5 (sur 351 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 17/01/1944
Biographie :

Auteure-compositrice-interprète, Françoise Hardy débute dans le monde musical à 18 ans et rencontre un succès immédiat. Après s’être produite pendant six années sur scène, elle abandonne cet aspect démonstratif du métier.

Depuis, elle poursuit une carrière essentiellement discographique. Parallèlement à l’écriture de chansons, elle porte un intérêt certain pour l’astrologie qu’elle appréhende comme complément à la psychologie.

En 2007, poussée par les Éditions Robert Laffont, Françoise Hardy s'attelle à la rédaction de ses mémoires. Le livre paraît en octobre 2008 sous le titre "Le Désespoir des singes… et autres bagatelles". Certains aspects de sa vie professionnelle et privée sont ainsi révélés.

L’ouvrage se trouve être l’un des plus lus en 2008 selon le palmarès L'Express-RTL et fait partie des 6 titres en lice pour le Prix Essai France Télévisions 2009.

Françoise Hardy a partagé la vie du chanteur et acteur de cinéma, Jacques Dutronc, de 1967 jusqu’aux années 1990. Ils se sont mariés le 30 mars 1981 à Monticello en Corse. Ils ont un enfant, Thomas, né le 16 juin 1973.

son site : http://www.francoise-hardy.com/
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Source : you tube
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Françoise Hardy
(parlé : )

Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a les mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être

(chanté : )

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent

Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours et cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu...
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Les symptômes de l'attirance étaient toujours déclenchés chez elle par un charme ambigu et des attitudes correspondantes de distance, de silence et de fuite qui contribuaient d'abord à créer et entretenir le mystère, mais révélaient immanquablement ensuite une profonde ambivalence vis à vis de l'amour et de ses perditions.

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Qu’y a-t-il de pire ? Attendre jour après jour, nuit après nuit, un signe qui ne vient jamais, ou ne plus rien attendre parce que c’est fini ? Tout insupportable qu’elle soit, l’épreuve du doute interminable lui semble préférable à celle de la certitude assassine, dans la mesure où elle laisse encore place à l’espoir
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L'idée que le sourire d'un prétendu ami soit une comédie jouée pour diverses raisons d'interets personnel, de convenances parfois de même de gentillesse, peut faire à cette occasion et me troubla maintes fois par la suite. Avec le temps je réalise que tout peut coexister chez la même personne la plus grande intelligence dans certains domaines avec une plus grande stupidité dans d'autres, de même l'amour et la haine, coexiste en chacun de nous dans des proportions variables.
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L’important n’était pas qu’il l’aime ou ne l’aime pas, qu’il lui fasse du bien ou du mal, ou plutôt qu’elle s’en fasse à cause de ses attentes excessives et de son incapacité à se détacher de lui. L’important était la forme de loyauté qu’elle croyait percevoir chez lui et dont relevaient autant l’ange devant lequel ses défenses s’étaient trop vite effondrées, que l’assassin qui l’avait tuée sans le vouloir, sans le savoir – il ne l’aurait pas supporté -, simplement en disant et vivant sa vérité, et parce que le poids excessif de ses problèmes personnels et des idées fixes où il les projetait l’empêchait parfois de voir ceux des autres, qu’ils soient ou non en rapport avec lui.
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Ses appréhensions étaient aggravées par le regret d’être incapable de répondre au silence par le silence, arme redoutable quand l’indifférence ne règne pas encore, et dont elle avait si souvent constaté l’efficacité sur elle-même, qu’elle s’en voulait de ne pas avoir la force de l’utiliser à son tour pour amener l’objet de ses tourments à sortir de se réserve. Mais la logique amoureuse lui soufflait que l’autre pouvait être attiré par son discours comme elle l’était par son non-dit.
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Françoise Hardy
L'amitié

Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simples bagages
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la terre

Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leur cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi tu viendras

Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages

Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse

Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois

Paroles : Jean-Max Rivière
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Force est de reconnaître que plus les amours sont impossibles, plus elles s'exacerbent et entretiennent l'illusion que l'être sur lequel nous avons cristallisé nos manques et nos espoirs est le seul aimable au monde, le seul qu'on aimera jamais. La souffrance qui en résulte est pourtant bien réelle et peut détruire autant que dynamiser. Bien qu'elle ait été de loin ma principale source d'inspiration, je me suis souvent demandé s'il n'aurait pas mieux valu que je sois assez équilibrée pour me porter au-devant de partenaires épanouissants, plutôt que passer ma vie à compenser des frustrations aussi dérisoires que les miennes en faisant des chansons. Il m'arrive de me dire aussi qu'il vallait mieux me morfondre seule avec ma guitare et des idéalisations sans aussi proches de moi qu'éloignées de leur objet, qu'aller au bout d'une attirance qui n'aurait pas résisté longtemps à l'épreuve de la réalité, au rpix parfois d'un terrible gâchis. Mais on ne peut pas lutter contre l'inconscient qui nous dirige obstinément, avec la précision du radar le plus sophistiqué, vers l'être dont les failles sont suffisamment complémentaires des nôtres afin d'actualiser la problématique dont nous sommes prisonniers, jusqu'à ce que, à force d'échecs et de douleurs, nous finissons par la percevoir avec assez de lucidité pour tenter de nous en dégager.
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Comment X, aurait-il imaginé que sa seule présence la comblait ? Surtout, comment aurait-il pu s’en suffire ? Elle allait jusqu’à penser que sa vie n’avait valu d’être vécue que pour le privilège de le contempler, le désirer et connaître cette parfaite plénitude du cœur et du corps qu’elle avait éprouvée avec lui, et tenait pour ce qu’il y a de plus précieux, de plus beau au monde, même si, tel le ver à l’intérieur du fruit, s’y était glissée , dès le premier instant, l’angoisse déchirante de la mort lente qui la détruirait quand elle en serait privée.
Ses sentiments étaient d’une telle intensité qu’elle se les représenta sous la forme d’un faisceau de vibrations que son cœur aurait projeté en permanence vers celui de X., le détectant où qu’il soit à la façon d’un radar, pour revenir systématiquement la frapper dans un douloureux choc en retour, sa trajectoire ayant été stoppée net au moment d’atteindre son but, par le bouclier qu’il avait dressé entre eux, et dont elle ignorait s’il était fait d’indifférence, de défensive, d’hostilité, ou de tout cela à la fois
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L'amour fou, c'est celui qui vous dépossède de vous-même, tout en vous faisant croire que lui seul peut vous combler.
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