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Hamlet

Deuxième classique shakespearien que je découvre, et avec beaucoup plus de plaisir que Roméo et Juliette. Plus tragique, plus sombre, plus fou... J'ai compris pourquoi c'est devenu un classique, une mise en abîme des plus puissantes que j'ai jamais vu !
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Candide



Au debut mon avis sur Candide n’etait pas du tout favorable. Je connaissais ce roman mais je n'avais jamais eu le plaisir de le lire. il me paraissait d'un ennui mortel. Cependant j’ai été optimiste par la suite je l’avoue,mais pas autant que Candide ou Pangloss dont la pensée métaphysique affirmait que le mal n'était que l'ombre du bien et voyait la providence en toute chose, même après le tremblement de terre à Lisbonne . Finalement j'ai savouré chaque ligne, dégusté chaque mot de ce livre. J’ai ete agreablement surpris par cette histoire bourrée de rebondissements malgré quelques passages parfois assez rébarbatifs. ce « roman d'apprentissage » est un festival merveilleusement ordonné de drôlerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir maîtrisé qui ne dédaigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime. C'est en cela qu'il nous éblouit et qu'il nous charme.

Dans le pays de Candide, c'est comme dans tous les pays. On souffre, on guérir , on périt. Il y a beaucoup de méchants et peu de gentils.On suit le parcours tumultueux du naïf Candide

On a tendance à souligner ses nombreuses infortunes et ceux de ses compagnons (car en route il se fait une demi-douzaine de compagnons qui ont des visions diverses de l'existence et qui disputent avec lui). Or, Candide, à de nombreux moments de l'histoire, jouit de véritables coups de chance. L'auteur s'en donne à coeur joie sur la mauvaise façon qu'a le jeune et naïf héros d'interpréter ces quelques instants de fortune, comme étant la preuve irréfutable de la validité de la thèse de Pangloss.

Ce que je vois maintenant dans Candide, en fin d'ouvrage, à chaque coin de page, sous chaque allusion, au creux de chaque moquerie, c'est une bourrade farouche contre la religion. Et si moquerie il y a, si dénonciation de ridicule il y a dans la vision optimiste du monde, telle que défendue par Alexander Pope, Gottfried Wilhelm Leibniz ou Jean-Jacques Rousseau notamment, c'est dans la naïveté de croire qu'il existe un dieu juste et rédempteur, avec une finalité nécessairement bonne et positive. Ce n'est pas tant l'homme Leibniz, ou le philosophe qui sont cibles selon moi, mais bel et bien la religion. Ce qui horripile Voltaire, c'est de vouloir à tout prix faire coller une réflexion philosophique à un dogme religieux .Sur la religion, si les prêtres sont fustigés à l'aune de leurs moeurs plus que contestables, Dieu est aussi perçu comme quelqu'un qui a fui ses responsabilités et qu'il est inutile d'implorer, c'est aux hommes de prendre en main leur destin.



Les références de Voltaire à l'actualité de son temps sont omniprésentes et ne font plus toujours sens de nos jours. Néanmoins, ce conte philosophique est un exemple de limpidité d'écriture, facile à lire à tout âge et à toute époques, hier bien entendu, mais aujourd'hui encore et ce pour bien des siècles à venir, L'oeuvre ne vieillit pas, tant dans sa simplicité de lecture, et dans la richesse de l'enseignement philosophique qu'elle contient . .Le livre a un caractère accessible : au premier degré, on a une histoire mouvementée, truculente, excessive dans ses rebondissements, écrite d'une plume alerte et malicieuse, en constant décalage, renforcé par la naïveté du jeune homme, imprégné des balivernes enseignées par son mentor Pangloss. Il est beaucoup plus engageant qu'un ouvrage théorique pontifiant et dogmatique.cela favorise l'expression d'une critique acerbe, c'est l'intérêt de la parodie et de la satire, d'écrire son fait aux cibles visées.

Avec ses allures de philosophie de comptoir le conte manipule pourtant des discours hautement polémiques et explosifs. le style est léger et taquin, mais en effet au service d'une ironie mordante, une claque à l'ordre établi et aux idées reçues .

C'est donc un véritable roman d'apprentissage, que ce voyage insensé effectué par Candide. A partir des certitudes initiales, fondées sur une vision caricaturale de la philosophie de Leibniz qui repose sur une harmonie pré-établie de l'univers, Candide observe, analyse et contrairement à pangloss évolue peu à peu dans sa façon de penser, pour aboutir à une sagesse tout orientale : le bonheur est dans la simplicité et le dénuement.

La lecture de ce livre ne me lassera jamais car iil semble encore aujourd'hui aussi lucide que le vieux Voltaire nu du Louvre, sculpté par Jean Baptiste Pigalle, quand vous essayez de soutenir son regard fantaisiste. Il reste de marbre…de Carrare.

grâce a ce livre je me plonge aujourd'hui dans la prose de l'artiste…. un délice d'ironie dénonçant toute l'absurdité qui caractérise l'humanité, complètement d'actualité, à croire que rien n'a vraiment changé :

Candide est un vrai coup de coeur !

Jamais je n'aurais imaginé que ce livre me plairait autant ! Voltaire nous dépeint tellement bien les revers de la société, critique si majestueusement les hommes mais aussi l'esclavage, l'argent, la possession, les marchés noirs, le pouvoir et bien d'autres horreurs que l'on est transporté immédiatement aux côtés de Candide en effectuant avec lui le voyage de la vie.

C’est Un vrai coup de coeur, tellement passionnant et si sincère. A dévorer . A chaque fois que vous vous étonnez de l'absurdité du monde, lisez Candide.

Il n'y a rien de nouveau mais Voltaire le dépeint avec une ironie, plaçant son héros dans de telles situations, qu'on ne peut qu'en rire.

Sachant qu'à la fin, bien sûr, on revient aux fondamentaux. Vous ne sauverez pas le monde, mais vous pouvez travailler à l'améliorer à votre niveau : "Il faut cultiver notre jardin".



Candide, c'était, c'est et ça restera du solide. Pour moi Candide, c’est un petit traité du bonheur. Mais bien sûr, ceci n'est pas le meilleur avis qu'on puisse imaginer dans le meilleur des mondes possibles, c'est juste un avis, un tout petit avis, un grain de sable sur la plage,une moleculle dans une galaxie c'est-à-dire, pas grand-chose.



















Au debut mon avis sur Candide n’etait pas du tout favorable. Je connaissais ce roman mais je n'avais jamais eu le plaisir de le lire. il me paraissait d'un ennui mortel. Cependant j’ai été optimiste par la suite je l’avoue,mais pas autant que Candide ou Pangloss dont la pensée métaphysique affirmait que le mal n'était que l'ombre du bien et voyait la providence en toute chose, même après le tremblement de terre à Lisbonne . Finalement j'ai savouré chaque ligne, dégusté chaque mot de ce livre. J’ai ete agreablement surpris par cette histoire bourrée de rebondissements malgré quelques passages parfois assez rébarbatifs. ce « roman d'apprentissage » est un festival merveilleusement ordonné de drôlerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir maîtrisé qui ne dédaigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime. C'est en cela qu'il nous éblouit et qu'il nous charme.

Dans le pays de Candide, c'est comme dans tous les pays. On souffre, on guérir , on périt. Il y a beaucoup de méchants et peu de gentils.On suit le parcours tumultueux du naïf Candide

On a tendance à souligner ses nombreuses infortunes et ceux de ses compagnons (car en route il se fait une demi-douzaine de compagnons qui ont des visions diverses de l'existence et qui disputent avec lui). Or, Candide, à de nombreux moments de l'histoire, jouit de véritables coups de chance. L'auteur s'en donne à coeur joie sur la mauvaise façon qu'a le jeune et naïf héros d'interpréter ces quelques instants de fortune, comme étant la preuve irréfutable de la validité de la thèse de Pangloss.

Ce que je vois maintenant dans Candide, en fin d'ouvrage, à chaque coin de page, sous chaque allusion, au creux de chaque moquerie, c'est une bourrade farouche contre la religion. Et si moquerie il y a, si dénonciation de ridicule il y a dans la vision optimiste du monde, telle que défendue par Alexander Pope, Gottfried Wilhelm Leibniz ou Jean-Jacques Rousseau notamment, c'est dans la naïveté de croire qu'il existe un dieu juste et rédempteur, avec une finalité nécessairement bonne et positive. Ce n'est pas tant l'homme Leibniz, ou le philosophe qui sont cibles selon moi, mais bel et bien la religion. Ce qui horripile Voltaire, c'est de vouloir à tout prix faire coller une réflexion philosophique à un dogme religieux .Sur la religion, si les prêtres sont fustigés à l'aune de leurs moeurs plus que contestables, Dieu est aussi perçu comme quelqu'un qui a fui ses responsabilités et qu'il est inutile d'implorer, c'est aux hommes de prendre en main leur destin.



Les références de Voltaire à l'actualité de son temps sont omniprésentes et ne font plus toujours sens de nos jours. Néanmoins, ce conte philosophique est un exemple de limpidité d'écriture, facile à lire à tout âge et à toute époques, hier bien entendu, mais aujourd'hui encore et ce pour bien des siècles à venir, L'oeuvre ne vieillit pas, tant dans sa simplicité de lecture, et dans la richesse de l'enseignement philosophique qu'elle contient . .Le livre a un caractère accessible : au premier degré, on a une histoire mouvementée, truculente, excessive dans ses rebondissements, écrite d'une plume alerte et malicieuse, en constant décalage, renforcé par la naïveté du jeune homme, imprégné des balivernes enseignées par son mentor Pangloss. Il est beaucoup plus engageant qu'un ouvrage théorique pontifiant et dogmatique.cela favorise l'expression d'une critique acerbe, c'est l'intérêt de la parodie et de la satire, d'écrire son fait aux cibles visées.

Avec ses allures de philosophie de comptoir le conte manipule pourtant des discours hautement polémiques et explosifs. le style est léger et taquin, mais en effet au service d'une ironie mordante, une claque à l'ordre établi et aux idées reçues .

C'est donc un véritable roman d'apprentissage, que ce voyage insensé effectué par Candide. A partir des certitudes initiales, fondées sur une vision caricaturale de la philosophie de Leibniz qui repose sur une harmonie pré-établie de l'univers, Candide observe, analyse et contrairement à pangloss évolue peu à peu dans sa façon de penser, pour aboutir à une sagesse tout orientale : le bonheur est dans la simplicité et le dénuement.

La lecture de ce livre ne me lassera jamais car iil semble encore aujourd'hui aussi lucide que le vieux Voltaire nu du Louvre, sculpté par Jean Baptiste Pigalle, quand vous essayez de soutenir son regard fantaisiste. Il reste de marbre…de Carrare.

grâce a ce livre je me plonge aujourd'hui dans la prose de l'artiste…. un délice d'ironie dénonçant toute l'absurdité qui caractérise l'humanité, complètement d'actualité, à croire que rien n'a vraiment changé :

Candide est un vrai coup de coeur !

Jamais je n'aurais imaginé que ce livre me plairait autant ! Voltaire nous dépeint tellement bien les revers de la société, critique si majestueusement les hommes mais aussi l'esclavage, l'argent, la possession, les marchés noirs, le pouvoir et bien d'autres horreurs que l'on est transporté immédiatement aux côtés de Candide en effectuant avec lui le voyage de la vie.

C’est Un vrai coup de coeur, tellement passionnant et si sincère. A dévorer . A chaque fois que vous vous étonnez de l'absurdité du monde, lisez Candide.

Il n'y a rien de nouveau mais Voltaire le dépeint avec une ironie, plaçant son héros dans de telles situations, qu'on ne peut qu'en rire.

Sachant qu'à la fin, bien sûr, on revient aux fondamentaux. Vous ne sauverez pas le monde, mais vous pouvez travailler à l'améliorer à votre niveau : "Il faut cultiver notre jardin".



Candide, c'était, c'est et ça restera du solide. Pour moi Candide, c’est un petit traité du bonheur. Mais bien sûr, ceci n'est pas le meilleur avis qu'on puisse imaginer dans le meilleur des mondes possibles, c'est juste un avis, un tout petit avis, un grain de sable sur la plage,une moleculle dans une galaxie c'est-à-dire, pas grand-chose.

















Au debut mon avis sur Candide n’etait pas du tout favorable. Je connaissais ce roman mais je n'avais jamais eu le plaisir de le lire. il me paraissait d'un ennui mortel. Cependant j’ai été optimiste par la suite je l’avoue,mais pas autant que Candide ou Pangloss dont la pensée métaphysique affirmait que le mal n'était que l'ombre du bien et voyait la providence en toute chose, même après le tremblement de terre à Lisbonne . Finalement j'ai savouré chaque ligne, dégusté chaque mot de ce livre. J’ai ete agreablement surpris par cette histoire bourrée de rebondissements malgré quelques passages parfois assez rébarbatifs. ce « roman d'apprentissage » est un festival merveilleusement ordonné de drôlerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir maîtrisé qui ne dédaigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime. C'est en cela qu'il nous éblouit et qu'il nous charme.

Dans le pays de Candide, c'est comme dans tous les pays. On souffre, on guérir , on périt. Il y a beaucoup de méchants et peu de gentils.On suit le parcours tumultueux du naïf Candide

On a tendance à souligner ses nombreuses infortunes et ceux de ses compagnons (car en route il se fait une demi-douzaine de compagnons qui ont des visions diverses de l'existence et qui disputent avec lui). Or, Candide, à de nombreux moments de l'histoire, jouit de véritables coups de chance. L'auteur s'en donne à coeur joie sur la mauvaise façon qu'a le jeune et naïf héros d'interpréter ces quelques instants de fortune, comme étant la preuve irréfutable de la validité de la thèse de Pangloss.

Ce que je vois maintenant dans Candide, en fin d'ouvrage, à chaque coin de page, sous chaque allusion, au creux de chaque moquerie, c'est une bourrade farouche contre la religion. Et si moquerie il y a, si dénonciation de ridicule il y a dans la vision optimiste du monde, telle que défendue par Alexander Pope, Gottfried Wilhelm Leibniz ou Jean-Jacques Rousseau notamment, c'est dans la naïveté de croire qu'il existe un dieu juste et rédempteur, avec une finalité nécessairement bonne et positive. Ce n'est pas tant l'homme Leibniz, ou le philosophe qui sont cibles selon moi, mais bel et bien la religion. Ce qui horripile Voltaire, c'est de vouloir à tout prix faire coller une réflexion philosophique à un dogme religieux .Sur la religion, si les prêtres sont fustigés à l'aune de leurs moeurs plus que contestables, Dieu est aussi perçu comme quelqu'un qui a fui ses responsabilités et qu'il est inutile d'implorer, c'est aux hommes de prendre en main leur destin.



Les références de Voltaire à l'actualité de son temps sont omniprésentes et ne font plus toujours sens de nos jours. Néanmoins, ce conte philosophique est un exemple de limpidité d'écriture, facile à lire à tout âge et à toute époques, hier bien entendu, mais aujourd'hui encore et ce pour bien des siècles à venir, L'oeuvre ne vieillit pas, tant dans sa simplicité de lecture, et dans la richesse de l'enseignement philosophique qu'elle contient . .Le livre a un caractère accessible : au premier degré, on a une histoire mouvementée, truculente, excessive dans ses rebondissements, écrite d'une plume alerte et malicieuse, en constant décalage, renforcé par la naïveté du jeune homme, imprégné des balivernes enseignées par son mentor Pangloss. Il est beaucoup plus engageant qu'un ouvrage théorique pontifiant et dogmatique.cela favorise l'expression d'une critique acerbe, c'est l'intérêt de la parodie et de la satire, d'écrire son fait aux cibles visées.

Avec ses allures de philosophie de comptoir le conte manipule pourtant des discours hautement polémiques et explosifs. le style est léger et taquin, mais en effet au service d'une ironie mordante, une claque à l'ordre établi et aux idées reçues .

C'est donc un véritable roman d'apprentissage, que ce voyage insensé effectué par Candide. A partir des certitudes initiales, fondées sur une vision caricaturale de la philosophie de Leibniz qui repose sur une harmonie pré-établie de l'univers, Candide observe, analyse et contrairement à pangloss évolue peu à peu dans sa façon de penser, pour aboutir à une sagesse tout orientale : le bonheur est dans la simplicité et le dénuement.

La lecture de ce livre ne me lassera jamais car iil semble encore aujourd'hui aussi lucide que le vieux Voltaire nu du Louvre, sculpté par Jean Baptiste Pigalle, quand vous essayez de soutenir son regard fantaisiste. Il reste de marbre…de Carrare.

grâce a ce livre je me plonge aujourd'hui dans la prose de l'artiste…. un délice d'ironie dénonçant toute l'absurdité qui caractérise l'humanité, complètement d'actualité, à croire que rien n'a vraiment changé :

Candide est un vrai coup de coeur !

Jamais je n'aurais imaginé que ce livre me plairait autant ! Voltaire nous dépeint tellement bien les revers de la société, critique si majestueusement les hommes mais aussi l'esclavage, l'argent, la possession, les marchés noirs, le pouvoir et bien d'autres horreurs que l'on est transporté immédiatement aux côtés de Candide en effectuant avec lui le voyage de la vie.

C’est Un vrai coup de coeur, tellement passionnant et si sincère. A dévorer . A chaque fois que vous vous étonnez de l'absurdité du monde, lisez Candide.

Il n'y a rien de nouveau mais Voltaire le dépeint avec une ironie, plaçant son héros dans de telles situations, qu'on ne peut qu'en rire.

Sachant qu'à la fin, bien sûr, on revient aux fondamentaux. Vous ne sauverez pas le monde, mais vous pouvez travailler à l'améliorer à votre niveau : "Il faut cultiver notre jardin".



Candide, c'était, c'est et ça restera du solide. Pour moi Candide, c’est un petit traité du bonheur. Mais bien sûr, ceci n'est pas le meilleur avis qu'on puisse imaginer dans le meilleur des mondes possibles, c'est juste un avis, un tout petit avis, un grain de sable sur la plage,une moleculle dans une galaxie c'est-à-dire, pas grand-chose.





























































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Crime et Châtiment

Cet immense chef d’œuvre se lit comme un roman policier. La psychologie des personnages est fascinante. Une tension nous tient en haleine du début à la fin. Je découvre Dostoïevsky avec ce roman et j’adore. Razkolnikov se triture trop la cervelle; parfois on aimerait lui conseiller d’arrêter !

Si l’on n’a pas lu Crime et châtiment alors on n’a rien lu. Un des meilleurs bouquins que j’ai lu.
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