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Un roman rafraichissant.
Une saga familiale sur plus d'un siècle où les héroïnes sont des femmes fortes qui portent des noms de fleurs : Marguerite, Rose, Amélia, Églantine ou Violette.
Avec des chapitres courts et des illustrations en noir et blanc, l'auteure raconte cette famille un peu hors norme, souvent déjantée, traverser les grands évènements du XXème siècle.
Le récit est parsemé de personnages historiques qui s'incrustent dans l'histoire.
Et puis, les chats parlent et philosophent.
C'est joliment écrit, léger et touchant.
Un bon moment de lecture.
Une saga familiale sur plus d'un siècle où les héroïnes sont des femmes fortes qui portent des noms de fleurs : Marguerite, Rose, Amélia, Églantine ou Violette.
Avec des chapitres courts et des illustrations en noir et blanc, l'auteure raconte cette famille un peu hors norme, souvent déjantée, traverser les grands évènements du XXème siècle.
Le récit est parsemé de personnages historiques qui s'incrustent dans l'histoire.
Et puis, les chats parlent et philosophent.
C'est joliment écrit, léger et touchant.
Un bon moment de lecture.
Le roman "Les Désarrois du Professeur Mittelmann', paru aux éditions du Sonneur en 2023, est l'oeuvre d'Eric Bonnargent qui nous plonge dans la vie d'un professeur de philosophie fraîchement retraité. le livre se veut être une réflexion sur la carrière et la vie d'un homme qui, après avoir consacré sa vie à l'enseignement, se retrouve confronté au vide de la retraite et à la remise en question de ses choix passés. le professeur Mittelmann, personnage central, est dépeint avec une authenticité qui frôle la mélancolie, un homme qui a réussi là où il n'aspirait pas et échoué là où ses rêves le portaient.
Cependant, malgré cette prémisse introspective, le récit s'égare dans des détails superflus et des tangentes narratives qui semblent éloigner le lecteur de l'essence même du personnage. Les dialogues, censés apporter de la profondeur aux interactions, tombent souvent à plat, privés de la subtilité nécessaire pour rendre les échanges mémorables. L'humour et la satire sociale, bien que présents, ne parviennent pas à alléger la densité d'un texte qui se noie dans son propre intellectualisme.
La structure du roman pose également problème : les transitions entre les scènes sont abruptes, et le rythme inégal crée une expérience de lecture hachée. Les descriptions, bien que parfois poétiques, sont noyées dans un flot de mots qui semblent plus servir l'égo de l'auteur que l'histoire elle-même. le lecteur est ainsi laissé à la dérive, cherchant en vain un fil conducteur clair ou un message cohérent.
En définitive, 'Les Désarrois du Professeur Mittelmann' est un roman qui, malgré ses ambitions, ne parvient pas à captiver ni à susciter l'intérêt escompté. L'expérience de lecture s'avère décevante, laissant le lecteur avec un sentiment d'inachèvement et une curiosité insatisfaite. C'est avec regret que je dois dire que cette lecture n'a pas été à la hauteur de mes attentes.
Michel.
Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
Cependant, malgré cette prémisse introspective, le récit s'égare dans des détails superflus et des tangentes narratives qui semblent éloigner le lecteur de l'essence même du personnage. Les dialogues, censés apporter de la profondeur aux interactions, tombent souvent à plat, privés de la subtilité nécessaire pour rendre les échanges mémorables. L'humour et la satire sociale, bien que présents, ne parviennent pas à alléger la densité d'un texte qui se noie dans son propre intellectualisme.
La structure du roman pose également problème : les transitions entre les scènes sont abruptes, et le rythme inégal crée une expérience de lecture hachée. Les descriptions, bien que parfois poétiques, sont noyées dans un flot de mots qui semblent plus servir l'égo de l'auteur que l'histoire elle-même. le lecteur est ainsi laissé à la dérive, cherchant en vain un fil conducteur clair ou un message cohérent.
En définitive, 'Les Désarrois du Professeur Mittelmann' est un roman qui, malgré ses ambitions, ne parvient pas à captiver ni à susciter l'intérêt escompté. L'expérience de lecture s'avère décevante, laissant le lecteur avec un sentiment d'inachèvement et une curiosité insatisfaite. C'est avec regret que je dois dire que cette lecture n'a pas été à la hauteur de mes attentes.
Michel.
Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
La plume de Laurine Roux m'avait précédemment bouleversée avec "L'autre moitié du monde", et lorsque son nouveau livre est sorti en 2023, je me suis empressée de le lire. Bien que ce livre n'ait pas comblé mes attentes initiales, il a su captiver mon attention.
Le récit nous plonge dans une saga familiale étalée sur quatre générations en 350 pages. Chaque femme de la famille, nommée d'après une fleur, est accompagnée d'un chat parlant nommé Socrate, qui devient le conseiller moral de la lignée.
Au début, j'ai eu du mal à être transportée par l'histoire. Quelque chose semblait me retenir, peut-être le narrateur étrange, Socrate lui-même. Cependant, au fil des événements, son personnage évolue et devient moins présomptueux, ce qui m'a permis de mieux m'immerger dans le récit.
Chaque génération apporte son lot d'aventures et d'épreuves. Certaines parties du récit m'ont plus touchée que d'autres, comme l'histoire de Marguerite et Jacques pendant la guerre. Les gravures d'Hélène Battista, bien qu'elles accompagnent le récit, n'ont pas retenu entièrement mon attention, sauf lors de l'histoire de Rose et de son musicien, où elles se fondent parfaitement dans le roman.
En résumé, ce roman est indescriptible. Sa construction narrative originale en fait une saga familiale unique. On peut l'aimer ou ne pas l'aimer, mais l'expérience de lecture est incontestablement unique. Personnellement, j'ai fini par apprécier l'histoire, malgré un début difficile, grâce à des personnages attachants et une intrigue captivante.
Ma chronique détaillée :
Lien : https://lesparaversdemillina..
Le récit nous plonge dans une saga familiale étalée sur quatre générations en 350 pages. Chaque femme de la famille, nommée d'après une fleur, est accompagnée d'un chat parlant nommé Socrate, qui devient le conseiller moral de la lignée.
Au début, j'ai eu du mal à être transportée par l'histoire. Quelque chose semblait me retenir, peut-être le narrateur étrange, Socrate lui-même. Cependant, au fil des événements, son personnage évolue et devient moins présomptueux, ce qui m'a permis de mieux m'immerger dans le récit.
Chaque génération apporte son lot d'aventures et d'épreuves. Certaines parties du récit m'ont plus touchée que d'autres, comme l'histoire de Marguerite et Jacques pendant la guerre. Les gravures d'Hélène Battista, bien qu'elles accompagnent le récit, n'ont pas retenu entièrement mon attention, sauf lors de l'histoire de Rose et de son musicien, où elles se fondent parfaitement dans le roman.
En résumé, ce roman est indescriptible. Sa construction narrative originale en fait une saga familiale unique. On peut l'aimer ou ne pas l'aimer, mais l'expérience de lecture est incontestablement unique. Personnellement, j'ai fini par apprécier l'histoire, malgré un début difficile, grâce à des personnages attachants et une intrigue captivante.
Ma chronique détaillée :
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