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Cours, azari, cours !

On suit le quotidien d'Azari, entre son passé rempli de règles qu'elle a dû fuir, et son présent au centre de prise en charge directe en Irlande, où elle doit faire face à la discrimination, au combat pour obtenir le statut de réfugié et aux coutumes de son pays qui lui collent encore à la peau. C'est une histoire touchante et pleine d'espoir, le personnage d'Azari est incroyable, je vous recommande vivement ce livre!

J'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre notamment pour le personnage de la mère, et la relation qu'elle a avec sa fille. Je trouve ça très intéressant d'avoir plusieurs représentations de différents types de personnes et leurs réactions face à ses événements.

La mère d'Azari a peur, elle veut retourner au village, au côté de son mari; ça montre vraiment la détresse psychologique dans laquelle le personnage est, et le fait qu'elle continue, malgré elle, de représenter les règles strictes du village, est selon moi tellement vrai.

Il se lit très vite et facilement, les mots utilisés sont simples, (car écrit pour un public jeune probablement) et les petites notes de la traductrice pour bien situer les endroits et le vocabulaire spécifique étaient géniales.
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Gros chagrin

Bel album sur la différence, le racisme et l'acceptation de soi surtout dans le métissage



Comme toujours chez Talents Hauts des albums qui forcent à réfléchir



Très beau graphisme



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Têtes hautes

Je trouve que le livre se dispersé entre trop de personnages, trop d'angles sociaux, pour au final ne faire que survoler ce qui, selon la 4eme de couverture, est le principal : les longues semaines de grève ses ouvrières des conserverie de sardine de Douarnenez entre 1924 et 1925. Aux ouvrières on ajoute la condition des domestiques à la capitale, finalement survolée, on en conclut juste que c'est mieux d'être ouvrière, les immigrés russes, la position des femmes, les personnes intersexes et même la dépendance à l'opium. Finalement on nous décrit sommairement et en pointillés les solidarités ouvrières, l'organisation des grévistes, les manœuvres patronales pour briser le mouvement... pas une mauvaise lecture (la fin de la grève m'a pas mal émue qd même) mais ça manque de corps à mon goût.
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