Weyrich [corriger]

Chouette livre qui s'engloutit en une soirée😝 Je vous le conseille🙃

Une amitié toute simple entre un garçon et un bon papa, le tout agrémenté de cueillettes de champignons et de poursuite de sangliers et de renards :) je ne vous en dis pas plus pour ne pas dévoiler le tout🙃

Foutraque. C'est le mot qui me vient à l'esprit à la lecture de ce roman. Et encore roman, 160 pages grâce à une mise en page très généreuse! On tourne plutôt autour des 120 si l'on enlève tous les sauts de page (Amélie Nothomb, tiens-toi bien, tu as de la concurrence en matière de concision).

Il y a une multitude de personnages qui sur une longueur aussi courte ne bénéficient d'aucun développement en profondeur, on ne sait plus qui est qui, foutraque je vous disais.

L'intrigue. Un tueur mangeur de seins sévit dans les rues de Liège. Voilà, c'est tout ce qu'il faut savoir parce que ne vous attendez pas à voir le début d'une enquête pointer le bout de son nez, que nenni! Rien à se mettre sous la dent, un peu comme à Sclessin au moment où j'écris c'est ligne (les footeux comprendrons). C'est morne plaine!

Une mauvaise pioche pour les éditions Weyrich, mais si j'ai bien compris l'auteur fait (ou à fait) partie de la maison, ceci explique peut-être cela?

Ce vieil homme, quel merveilleux personnage, qui reste présent quelque part en moi après avoir refermé le livre. Comme j'aurais aimé évoir un grand-père comme celui-là.

Au-delà du vieux mur m'a plongé dans l'univers fascinant d'Hermeline où, entre conte et légende, entre rêve et réalité, François, un enfant blessé, part à la recherche de lui-même.

J'y ai retrouvé l'ambiance onirique du Grand Meaulnes, la quête de l'alchimiste, les descriptions vivantes de la nature de Giono. Et comme je suis d'accord avec Xavier Deutsch dans sa postface. Entre ces vieux murs, le roman suit son propre chemin. Laissant en moi une trace indélébile.