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Un roman étonnant où se mêlent diverses origines, divers langages, divers êtres vivants.
Des passages qui m'ont révulsé mais la haine, la folie et la violence humaines sont si justement décrites.
J'ai adoré la narration de cette étrange histoire par divers animaux. J'ai préféré la narration par le chien loup.
Un récit tantôt cru tantôt poétique, parfois les deux en même temps. On est parfois un peu dérouté.
Wahhch est un homme brisé par la mort violente de sa femme et son enfant à venir. Il va partir à la recherche du tueur sans se rendre compte qu'il part à sa propre recherche. Les points de vue narratifs sont tous une partie de ce personnage complexe. Il est l'humain et l'animal.
Un roman que j'ai mis du temps à lire mais je ne regrette pas cette lenteur qui m'a permis de digérer les événements narrés et m'imprégner de l'histoire de Wahhch.
Des passages qui m'ont révulsé mais la haine, la folie et la violence humaines sont si justement décrites.
J'ai adoré la narration de cette étrange histoire par divers animaux. J'ai préféré la narration par le chien loup.
Un récit tantôt cru tantôt poétique, parfois les deux en même temps. On est parfois un peu dérouté.
Wahhch est un homme brisé par la mort violente de sa femme et son enfant à venir. Il va partir à la recherche du tueur sans se rendre compte qu'il part à sa propre recherche. Les points de vue narratifs sont tous une partie de ce personnage complexe. Il est l'humain et l'animal.
Un roman que j'ai mis du temps à lire mais je ne regrette pas cette lenteur qui m'a permis de digérer les événements narrés et m'imprégner de l'histoire de Wahhch.
Intéressant sur la forme mais lassant sur la longueur
Une intrigue de départ classique pour un polar : une personne découvre assassinée celle qu'il aime. Les circonstances font qu'il est le principal suspect. Assez rapidement le genre polar devient tout à fait secondaire.
La traque en elle-même n'est plus qu'un prétexte à changer de situation, devenant le fil rouge pour conduire le déroulé. L'intérêt et l'originalité résident en ce que chaque chapitre donne la parole à un animal qui donne sa version de la perception des faits selon leur particularité. Les chiens auront une vue assez anthropomorphique alors que l'araignée sera davantage dans celui d'un prédateur en attente.
Si l'on se laisse entraîner par cette originalité, l'intrigue s'enlise pour laisser une place très importante aux animaux qui, finalement, deviennent le seul intérêt de l'ouvrage. Plusieurs fois le propos tourne en rond et l'on finit par se lasser ce qui est bien dommage. Cinquante à cent pages en moins auraient rendu le tout plus efficace.
De même pour les titres de chapitres indiqués uniquement en latin. Pourquoi ne pas avoir donné également leur nom usuel afin d'éviter une recherche devenant vite fastidieuse et nuisant au soutien de l'intérêt.
La violence permanente m'a laissé assez indifférent car ce milieu a déjà été traité par ailleurs. Je suis, pour ma part, resté totalement indifférent à cette atmosphère, je n'étais même pas spectateur, cela se déroulait en fond, l'intérêt étant vraiment la forme utilisée.
Pas grand chose à dire sur l'écriture en elle-même. Elle ne m'a pas particulièrement enthousisamé, ne m'a pas vraiment rebuté ; je l'ai trouvée assez froide, un peu répétitive. Là aussi je n'ai pas été touché.
Une lecture que je ne regrette cependant pas. C'est curieux mais j'ai un sentiment d'inachevé dont je n'arrive pas vraiment à préciser la raison. Un manque d'émotion probablement.
Une intrigue de départ classique pour un polar : une personne découvre assassinée celle qu'il aime. Les circonstances font qu'il est le principal suspect. Assez rapidement le genre polar devient tout à fait secondaire.
La traque en elle-même n'est plus qu'un prétexte à changer de situation, devenant le fil rouge pour conduire le déroulé. L'intérêt et l'originalité résident en ce que chaque chapitre donne la parole à un animal qui donne sa version de la perception des faits selon leur particularité. Les chiens auront une vue assez anthropomorphique alors que l'araignée sera davantage dans celui d'un prédateur en attente.
Si l'on se laisse entraîner par cette originalité, l'intrigue s'enlise pour laisser une place très importante aux animaux qui, finalement, deviennent le seul intérêt de l'ouvrage. Plusieurs fois le propos tourne en rond et l'on finit par se lasser ce qui est bien dommage. Cinquante à cent pages en moins auraient rendu le tout plus efficace.
De même pour les titres de chapitres indiqués uniquement en latin. Pourquoi ne pas avoir donné également leur nom usuel afin d'éviter une recherche devenant vite fastidieuse et nuisant au soutien de l'intérêt.
La violence permanente m'a laissé assez indifférent car ce milieu a déjà été traité par ailleurs. Je suis, pour ma part, resté totalement indifférent à cette atmosphère, je n'étais même pas spectateur, cela se déroulait en fond, l'intérêt étant vraiment la forme utilisée.
Pas grand chose à dire sur l'écriture en elle-même. Elle ne m'a pas particulièrement enthousisamé, ne m'a pas vraiment rebuté ; je l'ai trouvée assez froide, un peu répétitive. Là aussi je n'ai pas été touché.
Une lecture que je ne regrette cependant pas. C'est curieux mais j'ai un sentiment d'inachevé dont je n'arrive pas vraiment à préciser la raison. Un manque d'émotion probablement.
L'humour à la suédoise ce n'est pas pour moi ! Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce livre. Je suis allée au bout car j'étais partie quelques jours avec ce seul livre. Mais rien de rien, il ne m'a rien apporté, j'espérais au moins une fin originale, là aussi déception, pour moi ce n'est pas une fin, il manque au moins un chapitre. Quoique les 250 pages m'ont largement suffi !!