| LiliGalipette le 29 novembre 2020
Voici les titres évoqués pendant notre rencontre !
Magali
L’argent, Émile Zola : la Bourse, la banque, la spéculation
3 portraits de femmes qui ont un rapport positif et sain à l’argent, dans une littérature classique assez friande des femmes vénales Mildred Pierce, James M. Cain : gagner et réussir pour faire vivre sa famille Shirley, Charlotte Brontë : se marier par amour ou pour aider son fiancé qui a des difficultés financières Eugénie Grandet, Honoré de Balzac VS Ma cousine Rachel, de Daphné du Maurier : une femme qui veut de l’argent
Les Valeureux et Mangeclous, Albert Cohen : l’humour juif avec tous les clichés dont l’auteur ne s’affranchit pas, mais avec bienveillance
Bazaar, Stephen King : on paye avec autre chose que de l’argent
le personnage d'Usagi Yojimbo, Stan Sakai : lapin samouraï qui vend ses services aux puissants, mais aide gracieusement les pauvres et les faibles
En famille et Sans famille, Hector Mallot : des enfants pauvres qui évoluent vers une vie meilleure
Tortilla Flat, La perle et Les raisins de la colère, John Steinbeck
Delphine
Illusions perdues, Honoré de Balzac : monde difficile de l’édition, échecs et nouvelles tentatives
La pauvreté et la question ouvrière, indissociablement liées : clochardisation par l’univers où évolue le personnage Germinal, Émile Zola Élise ou la vraie vie, Claire Etcherelli : + la place des femmes dans le monde ouvrier À la ligne, Joseph Ponthus : l’usine en 2020, la fatigue et l’abrutissement, la pauvreté vue de l’intérieur
Mathilde
La fortune de Sila, Fabrice Humbert Le capital, Karl Marx Le père Goriot, Honoré de Balzac Le nœud de vipères, François Mauriac La liste de mes envies, Grégoire Delacourt Les naufragés, Patrick Declerck Maître et serviteur, Léon Tolstoï Ma vie chez les milliardaires russes, Marie Freyssac Le quai de Ouistreham, Florence Aubenas : journaliste infiltrée qui veut voir comment les pauvres vivent 50 nuances de Grey, E. L. James How to be successful without hurting men's feelings, Sarah Cooper L’homme à la cervelle d’or, dans Les contes de mon moulin, Alphonse Daudet
Marion
La joie de vivre, Émile Zola Le diable dans la bouteille, Robert Louis Stevenson Le plongeur, Stéphane Larue : jeune homme accro aux machines à sous qui se retrouve réduit à faire la plonge dans un grand restaurant Dans la dèche à paris et à Londres, George Orwell : autobiographique Le mangeur d’or, Xavier Dorison Rue de la sardine et Tendre jeudi, John Steinbeck
Marine
La parure, Guy de Maupassant Pourquoi les riches sont-ils de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres ?, Michel Pinçon, Monique Pinçon-Charlot et Étienne Lécroart Chanson douce, Leïla Slimani : la pauvreté de la nounou face à la richesse du jeune couple Absolument dé-bor-dée !, Ou le paradoxe du fonctionnaire, Zoé Shepard : où passe l'argent public Comme convenu, Laurel : mirages et déconvenues de l'entreprenariat Northanger Abbey, Jane Austen
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