arcade_d le 30 décembre 2018 Virginie Despentes est post punk. Je ressens chez elle un font de féminisme qui décrit le "JE" personne humaine avec ses failles et ses faiblesses. Derrière un un langage dure et cru, elle rêve de sortir d'un monde pessimiste et sans futur possible. Il y a beaucoup plus d'optimise chez Mona Chollet. Mais ces deux personnes ont élargi les question de la personne humaine au-delà de penser en femme ou en homme. Pour sortir du patriarcat, il est nécessaire de repenser la personne humaine et l'humanité dans chacun de nos cercle de vie, local ou générale (couple, famille, village, bourg ville, région, nation, culture, culte. A chaque instant, en chaque groupe et en chaque lieu penser "Personne Humaine" et pas "homme". C'est deux personne humaines qui, de plus sont des femmes, me l'ont rappelé. Le travail de l’exemplarité reste à faire. |