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     le 07 avril 2018
    Chapitre un ''Lise, la Serdaigle''.

    Action/aventure

    Lise, la Serdaigle


    Moi, c'est Lise, si j'avais su la tournure étrange mais fantastique que prendrais ma vie, je me serais bien plus entraînée et je me serait aussi habituée aux changements, aux problèmes et aux énigmes impossible à résoudre… Et j'en aurait apprit plus sur les sorciers, car la mienne ne m'en avait en rien aidée.

    J'ai été adoptée à mes cinq ans quand mes parents ont précipité la voiture dans un ravin, en voyage en montagne. Je n'étais pas là car j'étais gardée par ma nounou se soir là. Ça parait étrange vu comme ça, mais je n'en ai pas le moindre souvenir, même vague. De cette époque, de mes parents, e ce que je faisais… Tout ce que je sais est peut-être une invention de mes proches pour me rassurer. J'ai tout apprit dans les albums photos et les témoignages. Je me rappelle juste d'une chose, mais elle est si peu précise… J'étais cachée sous la table de ma famille adoptive le soir où ils ont découvert que je devais aller chez eux, ils ont lu le testament et était aussi éberlués que moi :
    « Notre fille devra être élevée par une des familles ci-dessous. »
    En effet, les familles énumérées portait des noms que je n'avait jamais entendus. Mes parents ne m'aurait jamais conduit à des inconnus. Pourtant, Monsieur et Madame Odwidge en était, pour moi. Je ne regrettait pas, non c'était d'adorable parents, mais j'aurais aimé avoir plus de chose qu'un simple album photos et quelques racontars pour résumer mon ancienne vie, « Ma vie d'avant » comme je l’appelait. En plus, ma famille d'adoption ne pouvait pas être le type de personne que côtoyait mes parents. Je ne me souvenait plus le genre de fréquentation de mes parents, mais j'avais comme un pressentiment, une impression que c'était la vérité. J'avais une barrière, un blocage dans ma tête qui m'empêchait les souvenir, j'en ai peut-être déjà parlé mais j'insiste sur ce point.

    Mis à part ce qui est mentionné ci-dessus, j’étais une fille de CM2 tout à fait normale : cheveux long, lisses m'arrivant à la taille, ils étaient brun et contrastait avec mes grands yeux noisettes. Je n'étais ni particulièrement grande ni particulièrement petite, malgré ma poussée de croissance brutale que j'ai subite à onze ans. Niveau caractère, j'étais sérieuse mais drôle hors de la classe. Intelligente (en particulier en français, langue fantastique) et un peu susceptible, mais qui ne l'es pas ? Je n'avais pas de don particuliers, sauf pour certains domaines - et pour les cours -, mais aucun sang magique dans mes veines !

    Mon entrée au collège était prévue dans un prestigieux collège privé loin d'ici, je n'en étais pas réjouie car j'allais quitter mes amies qui irait dans leur collège de secteur, près d'ici, public et accueillant pratiquement la moitié des élèves de CM2, un endroit bien plus chaleureux.

    Pourtant, quelque chose se produisit un matin, un dimanche matin, plus précisément. J'étais plongée dans un roman palpitant, une magnifique aventure si détaillée qu'elle ne semblait pas tenir dans l'énorme pavé que je tenait dans la main. Le héros tendit son épée quand soudain… DRING !!!! DRING !!! Le Hall d'entré résonnait beaucoup, ce qui produisait un tintamarre indescriptible dans la maison. Contre mon gré, je descendit pour aller ouvrir, quand soudain, j’eus une hésitation : mes parents n'invitait jamais le dimanche, c'était seulement le samedi que tout les invités se réunissait dans le vaste salon pour parler de tout et de rien. Économie, politique… J'étais au courant des dernières nouvelles grâce à cela. Mais je m'égare, revenons-en au sujet : cela n'était ni les invités, ni le facteur qui ne passait, comme tout le monde le sait, pas le dimanche. Qui pourrait bien vouloir sonner ? C'est là que je vit mon père et ma mère passer, décoiffés et pourtant toujours pyjama, chemise de nuit et robe de chambre, il déboulait comme si il y avait le feu. Je savais qu'il trouvait atrocement malpoli de laisser quelqu'un atteindre, et encore plus sur le perron. Ils ouvrirent, dans l'encadrement de la porte se tenait se tenait un jeune homme dont l'âge devait se situer entre seize et dix-sept ans, tout de noir vêtu, il s'inclina en une petite révérence et souleva son immense chapeau pointu. Il avait une longue robe, noire, bien entendu, et tout le reste de son étrange accoutrement, variant souvent vers le déguisement, était de la même couleur. Un petit objet attira mon attention une magnifique broche brillante, rouge et or, visiblement astiquée et, écrit en lettres dorées et majuscule : PRÉFET-EN-CHEF. Il était brun. Il constata, toisa et dévisagea longuement mes parents avant de demander poliment, avec un immense sourire :
    - Vous êtes Monsieur et Madame ARTHUR ?
    Ma mère le regarda et s'exclama, très sèchement :
    - Il se trouve que nous sommes ses parents adoptifs, dit-elle en me désignant du regard, Monsieur et Madame ARTHUR ont péri dans un accident de voiture.
    Elle acheva sa phrase d'un ton glacial, comme si elle défiait l'adolescent. Il rougit, gêné et s'excusa avec embarra :
    - D'accord, désolé, je ne savais pas, toutes mes condoléances.
    Ils se turent. J'en profita pour regarder l'étrange inconnu qui demandait à mes parents qui ils étaient. Je remarqua trois choses que je n'avais pas vues :

    Un : L'adolescent tenait un bâton un peu doré par endroit, il était long et était décoré de jolis motifs sculptés.

    Deux : Un exemplaire un peu différent s'agitait en l'air.

    Trois : Deux énormes branches étaient posées contre le mur, elles était recouvertes d'épis de petites branches au bout.

    J'en déduit hâtivement que c'était des démarcheurs d'une usine que fréquentait mes parents, qu'elle avait ré-ouverte et était spécialisée dans le bois. Cela paraissait bizarre mais bon…
    Le garçon s'exclama, sans faire de pause dan sa phrase :
    - Votre fille est sorcière, elle doit aller à Poudlard, samedi prochain, à midi pile, elle devrait toucher ce balai et elle achètera ses fournitures scolaire.

    Et il disparu avec le premier « balai » laissant derrière lui le second.

    FIN

    Vous vous posez sûrement pleins de questions, ne vous inquiétez pas, la suite va arriver !
     le 17 avril 2018
    Théophile, Gryffondor

    Moi, c'est Théo, enfin Théophile, mais je trouve ce prénom ringard… Petit, je le trouvais poétique, mais il a commencé à être sujet de moqueries. Donc, revenons à nos moutons : ma famille se compose de mon frère, dix-sept ans, dernière année à Poudlard et irrésistible charmeur, ma mère, serveuse et cuisinière à ''La tour d'astronomie'', le bistrot le plus en vue du village voisin, voire réputé dans toute la région, et mon père, médecin à Sainte Mangouste dans l'étage des maladies et blessures infligées par des créatures magiques. Dans ma famille du côté de mon père, tout le monde est Gryffondor, dans celle de ma mère, tout le monde est Serpentard… sauf elle ! Ma mère est une catastrophe selon ma grand-mère. Elle a renié notre famille et je n'ai jamais eu connaissance de mes cousins, je n'ai vu cette grand-mère que sur des photos et elle a déménagé pour aller le plus loin possible de ma mère. Moi, j'ai acquéri de la lignée Gryffondor de mon père. Je me souvient du moment ou j'ai enfilé le choixpeau comme si c'était hier, je tremblai, maintenant, je n'ai plus peur. Je suis à Poudlard depuis un an. Quoi ?! Il est vrai que j'ai oublié de mentionner le fait que Poudlard n'est pas celui de Grande-Bretagne ! Sinon, imaginez la galère pour les élèves français qui souhaitait entrer dans un bon collège !

    Depuis la nuit des temps, quatre fondateurs ont créés Poudlard. Vous croyez qu'une si superbe école s'est inventée toute seule et allait attirer tout partout, être la seule des seule ? Non ! ''Poudlard'' n'est pas un seul établissement, ce n'est pas non plus une école en grande-Bretagne ! C'est un ensemble d'école réparties dans trois endroits d'Europe : la Grande-Bretagne, la France, l'Italie. Elles ont toutes trois le même nom. Bien sûr, chaque pays (ou presque) a un ou deux instituts pour ne pas laisser ceux trop loin dépourvu d'éducation magique. Je peux citer Beauxbâtons. Mais les gens ont trop lu le livre de J. K. Rowling, qui raconte que Poudlard n'est qu'un seul établissement. D'ailleurs, parlons d'elle, une dame si jalouse de la popularité de Dumbledore qu'elle a écrit un livre sur lui pour montrer que les sorciers existait. Elle pensait se venger, elle ne craignait rien, elle était sœur aînée d'une sorcière aimée et, contrairement à sa sœur, était moldue. Bon, si je m'emporte, je vais vous écrire un roman. Parlons plutôt de la scolarité dans le Poudlard français. Les cours sont très différents de ceux que vous connaissez :
    - L'Étude approfondie des moldus commence dès la première année. Je reviendrais plus tard sur ce point.
    - Le Quidditch n'est pas pratiqué dans l'enceinte de l'école. Là aussi, j’approfondirais tout à l'heure.
    - Nous étudions, le français, les mathématiques et la géographie en plus des cours habituels, ainsi que quelques langues (magiques et moldues confondue dans le terme ''langue'').
    - Nous n'apprenons pas la divination, art hasardeux et trop complexe pour compenser les réponses imprécises.
    - Avant d'aller à Poudlard, chaque enfant devait obligatoirement avoir suivi des cours en élémentaire dans une école moldue, cela permettait aux enfants d'entrer et d'être assez instruit pour suivre chaque cours sans avoir de soucis d'orthographe, de lecture, d'histoire… Bien sûr, les élèves peuvent avoir reçu une instruction sorcière par les parents ou les proches.

    Voilà. Chaque enfants doit avoir vécu dans un village moldu pour entrer dans l'école, car l'étude des moldus est retirée du programme pour faire suivre une éducation intense sur la manière de vivre de ces non-magique : en grandissant, les enfants fréquenteront beaucoup de moldus, il y a peu de sorciers en France. Les métiers de sorciers existe quand même.

    J'attendais de pouvoir vous en parler. Ceux qui prétendent que le Quidditch est le sport le plus populaire et apprécié du monde des sorciers se trompent grandement (encore ceux qui lise trop d'âneries), du moins, s'ils pensent que cet amour du sport ridicule sur balai s'entend sur toute la surface de l'Europe, jusqu'à la France. Chez nous, le prix d'un énorme balai flambant neuf destiné à se briser contre un saule cogneur est déplorable, du gaspillage de gallions pour faire payer encore plus cher les spectateurs. Il y a des équipes de Quidditch un peu partout, sauf en France.

    Pour remplacer le Quidditch, nous avons les bavboules. Mais aussi un autre jeu que vous ignorez possible dans le monde des sorciers. Il s'appelle : Métamorphochat. Il consiste à toucher les autres pour les transformer en chats. Bon, au cas où une partie se déroulerait dans le récit, je vais faire une description claire et détaillée : chaque joueurs tend sa baguette au dessus de celle des autres pour former un cercle. Les joueurs lâchent leurs baguettes et entonnent une sorte d'air de musique. À un certain moment il la lève ou l'abaisse. Selon une logique compréhensible par seul l'arbitre, les baguettes sont retirées du cercle, seul celui dont la baguette est restée jusqu'à la fin devient « CHAT ». Il doit courir, baguette tenue droite devant lui jusqu'à un autre joueur qui, si le plaisir lui chante, peut s'envoler, transplaner ou courir pour échapper à la baguette qui le transformera en gros chat qui devra tenir la baguette tout comme la fait son camarde. Contrairement au Poudlard anglais, nous n'avons pas un seul terrain pour nous exercer. Un jour, un moldu nous a vu le pratiquer et s'en ai vanté les mérites de l'invention. Nous ne nous en plaignons pas même si cela nous énerve !

    Maintenant que je vous ai expliqué le fonctionnent de notre Poudlard, je peut vous compléter le tableau de ma vie avec quelques détails que j'ai oublié de mentionner dans mon récit : J'habite en Auvergne, dans un petit village. Il est à proximité de Poudlard. Je suis brun, je porte en permanence ma montre aux magnifiques couleurs de Gryffondor et je suis rentré de Poudlard il y a peu à l'occasion des grandes vacances.

    Ce matin, le soleil brillait ardûment derrière la vitre de ma chambre sans parvenir à me réveiller. Je manquais de sommeil, car j'avais passé la journée d'hier à l'intérieur du Poudlard express sans parvenir à m'endormir. Comme si cela ne suffisait pas, le magicobus brinquebalait et m'avais tant secoué, qu'il m'avait fallut une heure pour que mon ventre se calme une fois revenu chez moi. Maintenant, je devait à tout prix récupérer ces heures de sommeil manquées. Malheureusement, la faim me tordait le ventre et, après un effort magistral, je parvint à me tirer de mon lit. Le désordre que j'avais laissé avant mon départ était considérable. Et l'arrivée de mon énorme valise laissée en plan après mon retour de Poudlard n'améliorait pas le tableau. Ma baguette était posée en évidence dessus. J'avais du bouger dans mon sommeil car mon réveil gisait à terre, visiblement détraqué. Je fit l'effort de me diriger vers mon miroir pour constater ce à quoi je ressemblait : mes cheveux, décoiffés pendait autour de mon visage et des cernes magistrales descendait vers mes joues. J'étais extrêmement pâle. Je tenta vainement de remettre de l'ordre dans ma tignasse et de faire un sourire. Le résultat fut peu satisfaisant : mon sourire était désabusé et mes cheveux encore plus éparpillé de part et d'autre de mon visage.

    Je jeta un coup d’œil vers ma montre, qui serais sûrement plus fiable que mon réveil. Il était… plus de onze heure ! Il fallait que je m'habille en quatrième vitesse, j'ai déjà loupé le petit-déjeuné, je n'allait pas rater autre chose. Quelques minutes suffirent à ma tenue d'être prête et d'être enfilée. Je descendit les marches des escaliers en pantoufles. La cuisines semblait encore être occupée. Étrange, je savais mes parents et mon frère ponctuels, même en week-end ou en vacances. Il ne prenait pas non plus beaucoup de temps pour petit-déjeuner. Une simple tartine leurs suffisait. D'autant que mon père travaillait l'après-midi. Il ne ratait jamais une occasion d'enfiler son costume plus tôt. Je décida de jeter un œil vers la porte entrebâillée qui menait à la salle à manger. Des restes de petit-déjeuner trônaient sur la table. Mais il n'y avait plus trace du moindre bol et le grille-pain était manifestement éteint. La table était, après chaque repas, nettoyée et aménagée pour pouvoir s'asseoir autour et pouvoir jouer à des jeux de sociétés. Seulement, s'ils avaient attendu pour moi, ils auraient quittés depuis longtemps la table pour vaquer à leurs occupations habituelles. Soudain, je remarqua un détail frappant que j'avais oublié : mon frère était en uniforme de Poudlard. Son insigne de Préfet-en-chef luisait sur sa poitrine. Il l'avait astiquée. Je le savait très fier, mais au point de la porter, en plus de son uniforme alors que nous étions de retour chez nous, tout de même ! Des bribes de leur conversation parvinrent à mes oreilles :
    - Le garde-chasse est dans l'impossibilité de faire parvenir les lettres au nés-moldus qui ne connaissent pas le chemin jusqu'au Boulevard du mage.
    Je ne voyait pas vraiment

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