Les Potterhead

J'imagine que, comme tout babeliothecaires qui se respecte, vous êtes doué(e) en Francais. Mais qui peut en être sûr ?

Le français, ça va. C'est une de mes matières fétiches, peut être même celle où je me débrouille le mieux. En plus, ma prof est sympa et elle fait des points bonus, du coup j'ai 20 de moyenne.

Moi, sans me vanter, je suis vraiment bonne en cette matière. Je suis pas fan de conjugaison, mais je me débrouille super bien quand même !

Le mieux en français, c'est la rédaction !

Oui : La production d'écrit et tout ça... Moi qui rêve d'être écrivaine, c'est une lueur d'espoir quand les yeux des profs s'illuminent !

J'adore le français et j'ai des très bonne notes. Par contre on a plus la prof de français qu'on avait depuis le début de l'année (dépression). C'est dommage elle était vachement sympa et tout. On en a une nouvelle qui est nulle et un peu ******
Moi aussi j'adore les rédaction. L'année dernière, j'avais eu un 20 en rédaction et tout (vraiment tous) les autres avaient eu des notes basses. Du coup on m'a dit que j'était une intello pour diverse raison pendant tout le reste de l'année.

Je n’aime pas énormément, mais ça va quand même.

Moi, j'ai écrit un truc un jour et il avait compris un quart des mots utilisées dans ma rédaction, si bien, que, après, on a dit que j'étais la chouchoute...

Moi aussi on m'a dit ça.

C'est ****** car il sont simplement jaloux !

Oui, c'est nous les meilleurs!!

Tant pis, nous on va réussir notre vie.
(Rapelle-moi de te montrer la fiction que j'ai écrit qui se réfère à une de mes périodes d'harcélement par rapport à mon niveau en classe)

D'accord. Mais tu ne peux pas le faire maintenant?

Oui ! ;) !

Chapitre 1 : "Une lectrice amoureuse de la magie", écrit le 01/05/2018
Depuis toute petite, Elsa lisait. Lisait. Lisait. On se moquait de son prénom car il était celui de l’héroïne d'un dessin animé de princesse. Elle avait depuis, une aversion pour les dessins animés. Elle ne faisait que lire, peut importe que l'on se moque d'elle.

Elle n'aimait que la magie et les romans fantastiques. Ils lui procuraient un sentiments de bien-être si total qu'elle voulait faire parti de cela. Être le dragon qui portait la guerrière magicienne dans le combat qui faisait rage. Être la baguette qui lançait le sort puissant. Elle se surprenait même a espérer être le phœnix qui mettait le feu à la maison.

Depuis qu'elle savait lire, elle sentait que ce qui coulait dans ses veines n'était pas du sang, mais de la haine à l'état pur. Elle le remarquai quand on se moquait d'elle. Elle sentait tout ses muscles se contracter en même temps. Elle luttait même pour ne pas invoquer un esprit maléfique. Elle croyait comme à ses livres. Mais aussi, elle avait une passion pour les sortilèges et formules puissants et puissante. Elle avait apprit dans chacun de ses livres, un nouvel enchantement. Harry Potter avait été sa plus grande source, mais elle avait aussi été allé puiser dans des œuvres littéraires connues. Dans des fictions. Dans des recueils.

Elle avait une préférence pour les formules longues en latins. Elles étaient mystiques et claquaient sous le bout de sa langue comme une mélodie. Elle se laissait emporter par la prononciation du sortilège et se sentait frémir. Des fourmis lui parcouraient le corps, ses cheveux semblait voleter. Mais, lui disait sa mère, ce n'est qu'un fruit de son imagination. Elle lirait trop, selon sa mère, elle y croyait trop, racontait n'importe quoi…

Selon Elsa, on ne lisait jamais trop : si on racontait que quelqu'un lisait trop, c'était que l'on ne lisait pas assez, tout simplement.

Il est vrai que ses talents et pouvoirs étaient peut-être un peu de son invention, mais ces mondes existaient et elle serait bien la première à le démontrer.

Savait-elle que sa vie se chamboulerait durant sa lecture.

Un jour, CM2, école, quelques jours avant les vacances d'été.
Elsa, plongée, comme à son habitude dans un roman fantastique, assise sur un banc, entendit des voix au-dessus d'elle. Elle leva les yeux de son livre avec regret puis les vit. C'était deux garçons de sa classe. Ils affichaient des sourires narquois. Le premier était assez populaire, il était sans cesse en train de chercher des ennuis, ce qui lui valait un grand respect de la part des plus jeunes et de l'amitié de ceux de sa classe. L'autre, était un des garçons insolents de la classe, il était hypocrite et très beau. Ce qui lui mettait plusieurs filles à ses pieds. Le premier dit :
- Cela te dérange pas un peu d’être Rémi ?
- Rémi sans famille et sans amis, bien sur ! compléta le deuxième avec un sourire encore plus hypocrite qu'a son habitude.
- Oh non, les livres sont fantastiques, ils valent sûrement bien plus qu'une récré. Intello, fayotte.

Elle le toisa sans broncher et voulu dire cela, mais elle se ressaisit :
- Tiens, je ne m'appelle plus Elsa, mais Rémi ! ou encore :
- Si tu lisait un peu plus plus tu n'aura pas redoublé. et finalement :
- Ça te dérange vraiment que je lise ? Tiens, prend-le, tu auras au moins de la culture !

Elle fixa avec hargne la main du deuxième et elle dit une formule latine avec le plus de haine possible.

- Qu'est ce que tu as dit ? Répète - le ! Tu as une tête zarbi, là !

Soudain, le second poussa un cri. Une gerbe de sang explosa. Sa main était maculée de sang.
Ils partirent en jurant.

Le lendemain, le premier arriva et dit « Sorcière ». Il lui envoya une claque et elle répondit, en transe, tout sourire :
- J'y compte bien !
Il partit. Depuis, on n'a jamais su dans quel institut elle était allée. Mais on mise sur Poudlard.

Je l'ai écrite rapidement, mais elle est assez bien ! (sans me vanter !)

C'est pas mal! C'est très bien écrit! C'est basé sur toi?

Pas tout ! Seuleument la scène dans la récré ! (Non, je suis pas sorcière ! )

Il y vraiment un graçon qui t'as giflé ?!!!!!!!!!!!!!!!

Non, je n'ai pas fait explosé sa main de sang, il n'aurait pas eu de raison de le faire

J'ai également commencé à écrire un roman. Bon il n'est pas du tout fini. Mais voici un apperçut 

Prologue

Cela c'est passé un nuit de juillet. Nous étions sortit faire la fête, nous quatre, seulement nous pour feter la fin de l'année scolaire. Nous avions seulement dix sept ans. Alex,il avait les cheveux chatain court et des yeux marrons.Tristan, avait les cheveux noirs et les yeux marrons tres foncés. Lili, avait les cheveux chatains qui lui tombait sur les épaules et de magnifique yeux bleux. Et moi, mes cheveux roux qui était long et mes yeux marron.
Nous étions dans la voiture et s'était Lili qui conduisait. Les garçons était montés à l’arrière et les filles devant. Lili conduisait vite. C'était un de ses nombreux défauts. Il ne lui était jamais rien arrivé au volant. Enfin, jusqu’à ce soir. Ce maudit soir....Elle n'avait pas vu le "céder le passage" au tournant, ni la voiture qui arrivé à vitesse normal, elle.
Le crash est arrivé très vite. Les bruit de vers brisés mélangés au cris des autres. Les airs bags qui souvrent à la volé. Et moi qui part en avant en n'arrivant pas à me contrôler et enfonce ma tête dans l'air bag. Je n'ai pas eu la force de tourner ma tête complètement mais j'ai tourné les yeux vers Lili. Elle avait du sang sur le front et se le tenait comme si elle avait un migraine insoutenable. Mes yeux se sont ensuite tourné vers Alex qui a, au même moment tourné la tete vers moi. Il a tendu la main vers moi et avait l'air horrifié. Mes yeux se sont plissés et je lui ai dit d'une voix presque inaudible: " Alex, je ne sens plus mes jambes ".
Et c'est comme ça que ça c'est terminé pour moi. Les secours n'ont pas mis longtemps à arriver mais j'avais déja sombré dans le noir de mon cerveaux qui m'avait paru complètement vide à ce moment. J'ai passé le reste de la nuit à l’hôpital, tout comme mes amis, mes parents et la victime de l'autre voiture. De toutes les victimes j'ai été la seule à avoir quelque choses de grave. Lili a été blessée à la tête. Tristan, Alex et l'autre conducteur n'avait rien. Le lendemain quand je me suis réveillé j'avais un intense douleur au jambes. Comme si des millions de piquants y été plantés. J'était couché dans un lit et la pièce autour de moi était blanche et remplie de toutes sortes d'outils de médecine et d'écrans affichant mon pouls et mon organisme. J'ai tourné la tête à droite et à gauche, où se trouvait ma mère et mon père assit tout deux sur des chaises.Mon père vit que j'était réveillé et se pencha vers moi. Ma mère fit pareil
Comment ça va ? Demanda mon père d'une voix inquiète 
Je ne sens pas mes jambes mais elles me font horriblement mal.

A+
J'espere que ca vous plaira