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NANARLAND
Liste créée par Pecosa le 24/05/2019
30 livres. Thèmes et genres : cinema , cinéma gore , cinéma fantastique , cinéma x , beaux-arts

Nanar, série B, série Z etc etc..

Voir aussi la liste de Koalas, Blackploitation Action!



1. 101 nanars
François Forestier
3.81★ (43)

Dès que des gens par ailleurs notoirement fréquentables confrontent leurs avis sur les films qui viennent de sortir, la passion remplace peu à peu la civilité. (...) Puis les choses s'arrangent lors d'énormes apothéoses consensuelles saluant l'évocation d'un nanar hautement gratiné. Extrait de la préface de J.P. Jackson Kitsch, délirant, ahurissant, " naturel " ou " cultureux ", le nanar est un film raté, forcément rigolo. François Forestier, avec un mauvais goût très sûr, en propose un, chaque semaine, dans sa chronique du Nouvel Observateur. Il en a ainsi réuni 101, essentiels, regroupés en douze chapitres, allant des péplums lamentables aux chefs-d'?uvre surestimés. De Maciste contre les hommes de pierre à Sissi en passant par l'Amour parmi les monstres (un mélo poignant interprété par des siamoises) et Terror in Tiny Town (le seul western musical joué par des nains), il a sélectionné, avec patience et mauvais esprit, le meilleur du pire et, parfois, le pire du pire. Jayne Mansfield, Ed Wood, John Travolta, Antonioni, Don Johnson, Jean Gabin, Charlton Eston, Johnny Hallyday, Rita Cadillac, personne n'y a échappé (mais seul Mickey Rourke en a fait une carrière) : l'histoire du cinéma est faite de nanars. L'auteur propose même son favori, Oh ! Que Mambo ! Où Dario Moreno danse ! A propos de ce film, François Forestier conclut : " Si vous n'aimez pas ce film, vous n'aimez pas les nanars. Donc, vous n'aimez pas le cinéma. " Chaque début de chapitre est illustré d'une série de photographies tout aussi affligeantes et hilarantes que le texte.
2. Nanarland - Le livre des mauvais films sympathiques - Épisode 1
François Cau
4.44★ (65)

50 films, 50 nanars amoureusement sélectionnés et chroniqués pour vos plus belles soirées pizza et bière ! Que leurs auteurs soient d'innocents rêveurs à côté de la plaque ou de flamboyants escrocs au cynisme achevé, les cinquante films retenus pour cette anthologie possèdent tous à leur façon une âme à même de les élever au-delà de leurs objectifs de départ. S'ils nous font souvent rire à leurs dépends, leur caractère profondément unique finit par déjouer toute objectivité critique pour les imposer comme des ?uvres d'art brutes malgré elles.
4. Ze craignos monsters, tome 1
Jean-Pierre Putters
4.44★ (39)

Jean-Pierre Putters continue son exploration de l'histoire du cinéma à effets spéciaux. Il aborde dans ce tome 3 six nouveaux thèmes : Les Monstres Marins, qui peuvent aussi dormir au fond d'un lac noir ; les Zombies, morts-vivants de type graisseux ; les Momies, morts-vivants de type sec ; les Singes géants, issus de la famille Kong ; les Gorgones, présentes dans tous les péplums ; et enfin les Lutteurs Masqués Mexicains, catégorie de méchants certes restreinte mais passionnante. Du trucage le plus indéniablement raté au monstre le plus incrédible, de l'affiche publicitaire la plus ringarde au robot le plus toc, Jean-Pierre Putters explore avec jubilation la planète des séries Z. A lire absolument avant la prochaine invasionextra-terrestre.
5. Ze craignos monsters, tome 2 : Le retour
Jean-Pierre Putters
4.46★ (24)

Jean-Pierre Putters est éditeur et rédacteur en chef de la revue "Mad Movies". Dans ces trois ouvrages aussi érudits qu'hilarants, il explore 80 ans de cinéma fantastique, avec ses monstres, ses stars et ses univers délirants. Grâce à Putters, nous disposons enfin d'une bible du cinéma-bis. En passant du nanar le plus total au chef d'oeuvre oublié, Ze Craignos Monsters dresse un bilan réjouissant d'un genre cinématographique majeur, qui fait rire et peur à la fois.
6. Ze craignos monsters, tome 3 : Le re-retour
Jean-Pierre Putters
4.44★ (22)

Editeur et rédacteur en chef du magazine Mad Movies, éditeur de la revue Impact, Jean-Pierre Putters reprend la situation dans l'état où il l'avait (lâchement !) abandonné au précédent volume des Craignos Monsters. Après les Savants Fous, les Insectes Géants, les Extraterrestres Envahisseurs, les Créatures de Frankenstein, les Robots d'acier ou de chair, Godzilla et les Monstres Japonais, les Géants Humains et les Abominables Hommes des Neiges, l'auteur s'attaque cette fois (avec une certaine bravoure, peut-être...) à de nouvelles créatures, encore plus invraisemblables. Ne vous étonnez donc pas de croiser dans ce troisième Craignos Monsters des Monstres Marins (perfides), des Zombies (plutôt destroy), des Momies (finalement peu causantes), des Lutteurs Masqués (toujours aux prises avec des bestioles pas possible), des Singes Géants (poilus et caractériels), et même des Gorgones (dangereuses mais ô combien fascinantes...). Après Ze Craignos Monsters et Ze Craignos Monsters le Retour (le gars qui ne s'embête pas avec les titres !) une nouvelle étude pertinente - et parfois impertinente -, illustrée par plus de 600 photos et affiches de films, apte à ravir aussi bien le cinéphile averti que l'amateur de nanars invétéré.
7. Ze Craignos Monsters : Le retour du fils de la vengeance
Jean-Pierre Putters
3.50★ (13)

Fondateur de la revue Mad Movies, Jean-Pierre Putters publia dans les années 90 Ze Craignos Monsters : une série de trois ouvrages aussi instructifs qu'hilarants, explorant 100 ans de cinéma de genre avec ses monstres outranciers, ses vamps décoratives, ses maquilleurs fous et ses décors surréalistes. Retrouvez-les dans cette précieuse anthologie pour quatre grandes thématiques (les Insectes mutants, les Robots, les Hommes invisibles, les Singes géants), suivies de portfolios meurtriers sur les principaux mythes du fantastique : Vampires, Momies, Loups-garous, Yétis, Mastodontes japonais, Zombies, Extraterrestres, Créatures de Frankenstein. Autant de thèmes immortalisés par d'irraisonnables cinéastes comme Roger Corman, Gordon H. Lewis, Jack Arnold, Edward L. Cahn, Bert I. Gordon, tous présents dans ce nouveau volume, accompagnés d'un long hommage à Jésus Franco, grand maître du cinéma bis disparu en avril 2013, ainsi que plein d'autres surprises (affiches méga-craignos, fiches d'identité de nombreux monstres pas beaux avec, Dieu merci ! les conseils du Dr Jabuse pour s'en débarrasser) ! Cadeau idéal pour les amateurs d'émotions fortes et de créatures excentriques, Ze Craignos Monsters dresse un bilan réjouissant d'un genre cinématographique majeur, humoristique et terrifiant à la fois. Près de 250 pages de bonheur, préfacées par Joe Dante (Gremlins, Hurlements, Panic sur Florida Beach). À lire de toute urgence avant que la postérité ne s'en empare !
8. Drive-in & Grindhouse Cinema - 1950'S-1960'S
Régis Dubois
4.33★ (4)

Durant les années 1950 et 1960, la production indépendante américaine va se lancer avec fièvre et passion dans la création de films que les bonnes m?urs du pays réprouvent. Des films dépeignant une jeunesse sauvage. Des microproductions aux explosions gore surréalistes. Des récits dont les seuls atouts sont les poitrines dénudées de leurs actrices. Les drive-in du pays et les grindhouses se mettent à carburer à la violence, au rock?n?roll, au sexe et à l?horreur. Pour le plus grand plaisir d?un public jeune avide de nouvelles sensations. Par leur vitalité, leurs refus des conventions et leur mise en scène souvent novatrice, ces films d?exploitation vont aussi former et influencer toute une nouvelle génération de cinéastes (Francis Ford Coppola, George Lucas, Martin Scorsese?). Découvrez 101 perles oubliées ou classiques du domaine !
9. Diables, zombies, monstres et compagnie
Philippe Lécuyer
3.79★ (19)

Il sont laids, méchants, ont décidé de faire de notre vie un enfer et s?y emploient à grands renfortsde tortures en tous genres. En un mot ce sont des Monstres. Pour établir la galerie de ces créatures cauchemardesques, nous avons choisi de les classifier par famille. On y trouve ainsi : les « vrais » monstres (Le fantôme de l?Opéra?), ceux qui ont été engendrés par la science (Docteur Jeckyll et Mr Hide, La créature de Frankenstein?), les diables, zombies et compagnie, les extra-terrestres (Alien, Predator?), les tueurs en série (Freddy, Jason?) et les grosses bêtes (Godzilla, King Kong?). En tout, 32 monstres emblématiques de la littérature, du cinéma et de la télévision, mis en scène dans une maquette et illustrée de photos spectaculaires et de dessins originaux.
10. Blaxploitation 70's Soul Fever
Julien Sévéon
3.62★ (11)

Alors que les Noirs ont été relégués à des rôles secondaires et caricaturaux durant les quelques 60 premières années du cinéma américain, les années 70 vont voir un soudain changement de perception de la communauté noire. Surprise, les producteurs hollywoodiens découvrent que les Afro-américains représentent une part non négligeable des spectateurs et peuvent leur rapporter gros. Et soudain, les Noirs se mettent à tenir les premiers rôles de productions musclés où les héros règlent leur compte à une société raciste, de films d'horreur imitant les succès d'hier ou de western inversant les formules du genre. La blaxploitation était né. Oscillant entre films mercantiles et ?uvres véritablement engagées, la blaxploitation est un courant protéiforme vénéré entre autre par Tarantino qui réussit à donner à la communauté noire-américaine ses premiers grands héros.
11. Blaxploitation cinema
Josiah Howard
4.50★ (3)

A Super-Bad Blast from the Past! Dazzling, highly stylized, excessively violent and brimming with sex, blaxploitation films enjoyed a brief but memorable period in motion picture history. Never before - and never since - have so many African American performers been featured in films, not in bit parts, but in name-above-the-title starring roles. Twenty five years after they first thrilled audiences the body of films known as blaxploitation are enjoying a renaissance. Not only do the pictures continue to captivate film fans, but the entire genre, with its bevy of colourful, utterly-contemporary film characters, irresistible soundtrack albums and catchy film titles, is finally taking its rightful place among the entertainment industry's most enjoyed, and influential, movies. Directly answering the call for a new and appreciative look back at a distinctly American motion picture phenomenon, Blaxploitation Cinema: The Essential Reference Guide is the first truly comprehensive examination of the genre, its films, its trends and its far-reaching impact, covering more than 240 blaxploitation films in detail. Blaxploitation Cinema: The Essential Reference Guide will become the primary reference book on the genre, covering not just the films' heyday (1971-1976) but the entire decade (1970-1980). From Aaron Loves Angela to The Zebra Killer, they're all here in one indispensable volume. Complimenting the text of Blaxploitation Cinema: The Essential Reference Guide are many of the vivid, highly-theatrical, motion picture posters and ads that promoted the films. Blaxploitation's rich and colourful poster art has been the sole subject of a number of coffee-table books. The hand-painted, elaborately illustrated posters and ad campaigns associated with the genre represent a now-gone golden era of sensational motion picture representation. Also features page after page of stunning action stills and original newspaper admats.
12. L'Art de la Hammer
Marcus Hearn
4.25★ (7)

Le studio Hammer est presque aussi célèbre pour la façon de promouvoir ses films que pour les films eux-mêmes. La légendaire maison de production britannique appuyait chaque sortie d?affiches accrocheuses qui sont devenues de véritables classiques du genre. Ce livre est la toute première compilation de ces affiches iconiques, avec plus de 300 exemples extraits des archives de la Hammer et de collections privées du monde entier. Certaines sont très connues, la plupart sont extrêmement rares.
13. Hammer glamour
Marcus Hearn
5.00★ (2)

Over fifty years ago, with the release of "The Curse of Frankenstein" and Christopher Lee's iconic performance in "Dracula", Hammer ushered in a whole new era of blood and barely-restrained cleavage in glorious colour, mixing sex and horror with a style and panache that made the small British company world famous. Bursting at the seams with rare and previously unpublished photographs from Hammer's archive and private collections worldwide, and featuring many new interviews, "Hammer Glamour" is a lavish, full colour celebration of Hammer's female stars, including Ingrid Pitt, Martine Beswick, Caroline Munro, Barbara Shelley, Joanna Lumley, Nastassja Kinski, and of course Raquel Welch (who can forget her fur bikini in "One Million Years B. C."?).
14. Encyclopédie du cinéma ringard : Le cinéma de bazar et d'essais
François Kahn
3.00★ (7)

Au commencement était le film tous publics. Autrement dit un cinéma d'apparence soignée, destiné à plaire aux parents ou aux enfants de tous âges. Le cinéma destiné aux adultes était généralement sérieux, insipide et pesant, tournant autour de stars qui prenaient des décisions déchirantes sur fond de violons larmoyants. Le cinéma pour enfants parlait des exploits de gaminsmodèles comme Shirley Temple et Joselito, ou d'animaux savants, ce qui était au fond la même chose. Les enfants ne devaient pas être choqués par des films pour les grandes personnes, les adultes devaient subir les séances de leurs marmots. Et, au fond, rien ne se passait. Et puis au milieu des années 50, un petit studio fit une découverte fulgurante quidevait changer le cours de l'histoire du cinéma. Alors que la télé commence à tailler des croupières aux séries B, une ?uvrette d'épouvante au rabais baptisée I Was A Teenage Werewolf (J'ai été unloup-garou ado, 1957) rencontre un vif succès dans les salles à bon marché et les drive-in. Michael Landon, qui allait bien plus tard couper du bois dans La Petite Maison dans la prairie, tient le rôle principal. À peine cinq mois après, le réalisateur et les scénaristes ont déjà livré leur film suivant,I Was A Teenage Frankenstein. [...] (Extrait de "Ados")Cet ouvrage est le chaînon manquant entre Das Kapital (Karl Marx) et Cartel (Paul Loup Sulitzer). Il étudie tout à fait sérieusement, et avec une grandeérudition, tous les films ringards de la planète.
15. Cinéma bis : 50 Ans de cinéma de quartier
Laurent Aknin
4.71★ (16)

Regroupant des genres aussi divers, le cinéma bis est l'univers du cinéma populaire à petit budget. Il possède ses chefs-d'?uvre et ses navets, ses maîtres et ses ringards, ses stars et ses comédiens pathétiques ; mais il est avant tout le territoire d'un cinéma pas totalement " normalisé ", et donc propice à toutes les formes de transgressions. Cet ouvrage est le guide de ce vaste labyrinthe. Il propose de parcourir cinquante ans de cinéma bis mondial (1957-2007) à travers 250 personnalités : réalisateurs, acteurs et actrices, mais aussi quelques producteurs, scénaristes et techniciens. De John Agar à Alfred Zugsmith, de Dario Argento à Fred Williamson en passant par Roger Corman, Jesus Franco, Christopher Lee, Gordon Mitchell et de nombreuses créatures féminines ensorceleuses...
16. Les classiques du Cinéma Bis
Laurent Aknin
4.32★ (25)

Regroupant des genres divers (gore, fantastique, blaxploitation, kung-fu, porno, western, péplum, science-fiction, giallo...) et des réalisateurs mythiques (tels que Sergio Corbucci, Jésus Franco, Mario Bava, Russ Meyer...), le cinéma bis est l'univers du cinéma populaire à petit budget. Il possède ses chefs-d'oeuvre et ses navets, ses maîtres et ses ringards, ses stars et ses comédiens pathétiques. Mais il est avant tout le territoire d'un cinéma pas totalement " normalisé " et donc propice à toutes les formes de transgressions. Après " Cinéma bis, 50 ans de cinéma de quartier " (2007), cet ouvrage est le guide illustré et chronologique indispensable à tout amateur de " bis " Il recense et analyse 500 films, de 1955 à 2007, des oeuvres incontestables aux nanars inimaginables ! Un demi-siècle d'une autre histoire du cinéma.
18. Invasion Zombie
Antonio Dominguez Leiva
4.50★ (5)

Il existe peu d'images aussi marquantes, dans le cadre de l'esthétique contemporaine de l'extrême, que la surenchère transmédiatique et véritablement planétaire des morts vivants. Après une décennie (1985-1995) qui avait connue la "fin du zombie" dans le média qui lui avait été jusque-là le plus propice - le cinéma -, la créature, fidèle à elle-même, renaît de plus belle au tournant du nouveau millénaire, envahissant les plus divers recoins de l'iconosphère globale. Face à une telle invasion, et en syntonie avec la prolifération de "zombie studies", le temps est venu de s'attaquer de front aux morts vivants, et de rendre compte des mythèmes et des motifs essentiels qui configurent leur esthétique.
19. Grindhouse: Doors Open at Midnight Volume 1 - Double Feature
Alexe de Campi
4.00★ (1)

Literature: overrated. Morality: expendable. Midnight is right for some over-the-top sex and violence, and this Grindhouse double feature is packing the aisles with blood 'n' guts and T 'n' A! Gasp as insatiable alien insects overtake a Southern town with only a one-eyed deputy to stop them in "Bee Vixens from Mars"! Shudder as the sexy lady convicts of Block E revolt against an insane warden in "Prison Ship Antares"! Tremble in anticipation at the gallery of shocking "coming attractions"! Get filthy with this unique experience from Alex de Campi's Grindhouse: Doors Open at Midnight!
20. Grindhouse: Doors Open at Midnight Volume 2
Alexe de Campi
4.00★ (1)

Back for more, eh? We knew you couldn't stay away! Line on up for a sick and twisted double feature! First, in Bride of Blood, Branwyn's wedding is marked by atrocity beyond comprehension. With everything she's ever loved destroyed by reavers, all she has left is revenge! Then it's Flesh Feast of the Devil Doll! When a Puritan-era demon returns to her old stomping grounds to seduce and kill once more, the Camp Oneida hockey girls step up and make with the high-sticking! Don't miss a lick of the thrills, starting at midnight!
21. Grindhouse : Doors Open at Midnight, tome 3
Alexe de Campi
4.00★ (1)

Check your good taste at the door, because Grindhouse is back, and it's meaner, badder, and dirtier than ever, with two brand-new exploitation opuses from writer Alex de Campi (Smoke/Ashes)! Take a "Slay Ride" with R. M. Guéra (Scalped) through a snow-covered West terrorized by child-flaying demons! Go around the world with Afua Richardson (24 Seven) and that superfly black super spy, "Lady Danger: Agent of B.O.O.T.I.," as she tussles with Thai drug lords and sticks it to the CIA! We know you love it filthy, and we're going all night long!
22. Fears Without Frontiers: Horror Cinema Across The Globe
Steven Jay Schneider
3.00★ (2)

Horror movies have always found receptive audiences in their home countries. Finally, the genre's most colourful and least familiar directors and stars are given their due in this wide-ranging collection of articles and interviews from a fine assembly of renowned world horror experts. sDiscover such hidden treasures of world cinematic horror as Singapore's pontianak cycle, 1930s Mexican vampire movies, Austrian serial killer flicks, Germany's Edgar Wallace krimis, Bollywood ghost stories, Indonesia's penanggalan tales, the Chinese take on Phantom of the Opera, and the Turkish versions of Dracula and The Exorcist. s24 pulse-pounding chapters with selected filmographies and scores of images from the movies under discussion, including a stunning 16-page full-colour section !
24. The Art of B-Movie Poster!
Peter Tombs
4.50★ (4)

Exploding off the page with over 1,000 of the best examples of exploitation, grindhouse, and pulp film poster design comes The Art of the B-Movie Poster, a collection of incredible posters from low-budget films from the 1940s, 50s, 60s, and 70s. Once relegated to the underground and midnight movie circuit, these films and their bombastic advertisements are experiencing a surge of mainstream popularity driven by fans appreciative of the artistic skill, distinctive aesthetic, and unabashed sensationalism they relied on to make a profit, with the quality of the poster often far surpassing that of the film itself. The book celebrates this tradition with sections divided into ?moral panic? films, action, horror, sci-fi, and of course, sex, each introduced with short essays by genre experts such as Kim Newman, Eric Schaefer, Simon Sheridan, Vern, and author Stephen Jones, winner of the Horror Writer?s Association 2015 Bram Stoker Award for Non-Fiction. Edited by Adam Newell and featuring an introduction by author and filmmaker Pete Tombs, The Art of the B-Movie Poster is a loving tribute to the artwork and artists that brought biker gangs, jungle girls, James Bond rip-offs and reefer heads to life for audiences around the world.
26. Le drive-in
Joe R. Lansdale
3.02★ (51)

Imaginez le plus grand drive-in du Texas.Quatre mille automobiles parquées devant six écrans géants pour la nuit de l'épouvante.Quel spectacle déjà!Et soudain une monstrueuse comète rouge embrase le ciel et donne le signal.Somptueuse fiesta ou folie sanguinaire? Piégés dans le drive-in,les gens sont coupés du monde. Et tandis que sur les écrans repasse pour la énième fois Massacre à la tronçonneuse,sur le terrain,l'aventure bat son plein.L roi du pop-corn harangue les foules,in sourire sur ses deux visages.Au milieu des tortillas,chips,des rockers punks dansent comme des enragés.Feu et soufre.Dans cet univers livré au hasard,héros de série B,monstres en rut et motards en cuir se mesurent dans un méli-mélo digne duGrand-Guignol.C'ets romantique,c'est dingue,c'est peut-être mortel!
27. Dans l'enfer vert de la Rambosploitation
Claude Gaillard
3.25★ (5)

Dans les années 1980, le cinéma de guerre et d'action connait un renouveau inattendu. Avec John Rambo, l'Amérique de Reagan, mais plus globalement le monde occidental, démocratique et libéral s'est trouvé une icône, une vitrine de chair et de muscles, une carte de visite guerrière, tendue à l'empire du mal et à un bloc sur le point de fondre dans un verre de Coca-Cola. En deux apparitions cinématographiques seulement, Rambo: First Blood de Ted Kotcheff (1982) puis Rambo: First Blood Part II de George Pan Cosmatos (1985), la machine de guerre est entrée dans l'imaginaire collectif, a généré des codes et un décorum que ses clones ne cesseront d'observer avec la méticulosité du faussaire. Retour dans l'enfer vert de la Rambosploitation en plein âge d'or vidéo locatif, où Rambo, ses clones et ses frères d'armes livrèrent une bataille sans merci sur fond de guerre froide.
28. Bad Requins : L'histoire de la sharksploitation
Alexis Prévost
3.62★ (14)

Après son énorme succès international, les Dents de la mer va durablement inspirer pour le meilleur (parfois) et le pire (souvent) des producteurs avides d'exploiter l'appétit mondial pour les monstres aquatiques, donnant naissance à un sous-genre du cinéma d'exploitation encore pérenne de nos jours : la « sharksploitation ». De Peur Bleue (1999) à Sharknado (2013), en passant par Bacalhau (1975) ou Snow Shark (2014), ce livre richement illustré offre la première étude d'ensemble sur ce phénomène. Des chefs-d'oeuvre aux nanars, il n'y a qu'un pas et vous venez de le franchir.... INCLUS LE DVD : SHARKENSTEIN
30. Redneck movies : Ruralité et dégénérescence dans le cinéma américain
Maxime Lachaud
4.92★ (19)

Quelques nanars dans cet ouvrage, catégorie hicksploitation.
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