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Petits peuples des ponts et quais de Paris et de France ! !
Liste créée par fanfanouche24 le 26/08/2022
26 livres.

Une belle et brève échappée dans le pays de ma grand-mère maternelle, la région de Rennes et de la Vilaine m'a fait faire une rencontre doublement originale et bouleversante , celle du baroudeur- poète- street-artiste, Chris Ames, avec son récit illustré de ses dessins et photographies

" Sous le pont de Laennec".

Publication dénichée chez un libraire- bouquiniste de la Cité du Livre, Becherel...m'ont soufflé l'idée de cette sélection autour des ponts des villes et de leurs replis habités d'existences aussi singulières que malmenées: hommes, femmes en rupture de ban, dockers, éclusiers et éclusières, marins en partance, mariniers,bateliers, bouquinistes des quais, etc !

***le 26 août 2022***21 avril 2023



1. Sous le pont Laënnec
Chris Ames
5.00★ (6)

"Chris Ames est américain. Venu en Bretagne pour voir son fils début 2020, il se retrouve coincé par la confinement sur Rennes. SDF et routard, Chris s'installe sous le Pont Laënnec à Rennes. Confiné dehors, il entame alors le récit de ces confinements sous forme de poèmes et de photographies. Chris Ames est installé en France depuis 1993.Il a voyagé tout au long de sa vie dans plus de cent pays et parle huit langues."
2. Ceux des quais
Nathalie Bianco
4.48★ (150)

"Près des berges du Rhône, se retrouve tout un petit monde de marginaux ordinaires et loufoques, autour de Nono, un clochard flamboyant, féru de poésie et amoureux de Cyrano de Bergerac. C'est auprès d'eux que viennent s'échouer Malik, un jeune livreur à vélo poursuivi par des dealers, et surtout Roxanne, enfant « placée » qui, le jour de ses 18 ans, doit quitter le foyer dans lequel elle vivait. Ce n'est pas parce qu'on n'a pas de toit sur la tête qu'on ne peut pas vivre des histoires magnifiques..."
3. Sous les ponts : Paris
Isabelle Boccon-Gibod
"Pour Isabelle Boccon-Gibod, les espaces situés sous les ponts de Paris sont "les aisselles de la ville, les plis d'un corps, le lieu d'une étreinte. Je ne connais pas d'autre ville traversée par un fleuve, comme la Seine traverse Paris. Le fleuve traverse le coeur de la ville et il est suffisamment étroit pour que le dessous des ponts soit un lieu d'intimité. Etre sous les ponts est une expérience avant tout physique, c'est se trouver à la fois dehors et dedans. Chaque pont est attachant. Chacun offre son abri - même si cet abri se fait rugueux en hiver ou qu'il peut devenir inaccessible du fait des crues." Isabelle Boccon-Gibod, suivant les exigences de sa brillante carrière dans l'industrie, a vécu quinze ans dans des lieux éloignés de Paris. Elle a commencé à utiliser la photographie lorsqu'elle vivait en Angleterre et s'y est consacrée de plus en plus à compter de son retour à Paris en 2004. Pour ce premier grand projet, elle voulait juste enregistrer ce que voit l'oeil de celui qui se tient debout sous les ponts, sur la berge, mais son travail nous montre aussi une histoire de l'architecture et une histoire secrète de Paris à partir de l'eau. Elle a utilisé un appareil conçu pour le format 4 sur 5 pouces, avec une lentille de focale 135 mm qui restitue, à peu de chose près, ce que voit l'oeil humain. Elle attend longtemps avant de prendre un cliché, puisqu'elle travaille en argentique. Alors, que voit-on en regardant le dessous des ponts ? Les photographies d'Isabelle Boccon-Gibod nous montrent la beauté subtile de leurs surfaces vieillissantes, calcifiées, usées par des siècles de contact avec l'eau du fleuve. Les ponts reposent sur l'arc - cette invention miraculeuse qui permet de répartir le poids sur une amplitude assez grande pour laisser libre cours aux navires, invention utilisée dans nombre de lieux sacrés. En traversant la rivière, les ponts offrent un lieu où nos créations éphémères croisent le flot inexorable de la nature. Ils nous invitent à penser au passage du temps, ce que de nombreux poètes - Walt Whitman, Hart Crane, Guillaume Apollinaire, entres autres - nous disent à merveille."
4. Les bouquinistes des quais de Paris
Thierry Chardonnet
5.00★ (1)

"Leur tradition remonte au « bon roi » Henri IV et s'écrit avec celle des petits marchands de livres d'occasion et autres colporteurs. Il faut pourtant attendre 1789 pour que le mot « bouquiniste » apparaisse pour la première fois dans le dictionnaire de l'Académie française. Était ainsi nommé « celui qui vend ou achète des vieux livres, des bouquins ». Un petit monde à découvrir en flânant sur les rives de la Seine... A l'ère du numérique, les bouquinistes des quais de Paris résistent encore, à l'ombre de Notre-Dame qui renaît de ses cendres. L'ouvrage se compose de six chapitres et propose une centaine de documents rares, commentés avec précision."
5. Avec les bouquinistes des quais de Paris
Guy Silva
4.25★ (8)

"Les premiers bouquinistes se sont installés sur les quais de Paris voici plus de quatre siècles. Les berges et les ponts de la Seine sont désormais classés Patrimoine mondial par l'UNESCO. Les bouquinistes de Paris en font partie intégrante. Plus que la simple histoire d'une corporation, cet ouvrage constitue une peinture de la vie du livre dans la cité. Guy Silva évoque avec tendresse un univers méconnu. Il s'adresse à la fois aux amoureux de Paris et au vaste public des amateurs de livres. Abondamment illustré, ce guide permet de parcourir les sites historiques des quais grâce aux écrivains, aux artistes, aux films et aux chansons qui les ont évoqués. Le livre rassemble de nombreux témoignages, ainsi que des conversations complices avec les bouquinistes. "
7. Les Quais de la colère
Philippe Huet (II)
4.34★ (72)

" Le Havre, 1910. Dans le port, la vapeur des paquebots géants tue la navigation à voile. Sur les quais, le charbon est roi et s'engloutit par milliers de tonnes dans les entrailles des monstres d'acier. Cette boulimie de progrès fait la fortune des négociants, et notamment des " maîtres charbonniers " qui connaissent une prospérité sans précédent. A l'autre bout de la chaîne, les débardeurs vivent un véritable enfer. Rongés par la tuberculose et la misère, minés par l'alcool, les ouvriers charbonniers sont la lie du port, les parias de la classe ouvrière, ouvertement méprisés par les autres dockers. Sauf un. Révolutionnaire idéaliste et buveur d'eau, surnommé " le curé ", Jules Durand s'engage chez les charbonniers, reprend en main leur syndicat, devient leur leader. Devant cette menace, les maîtres du charbon n'ont plus qu'une idée : abattre cet homme qui les met en danger. Par tous les moyens. Avec cette fresque inspirée de faits authentiques, Philippe Huet fait revivre dans la plus pure tradition naturaliste la naissance des grandes luttes sociales à l'orée du XXe siècle."
9. Cloués au port
Jacques Josse
3.88★ (18)

"Dans un petit port breton, Rêveur se fait le chroniqueur de la vie dans la salle du bar Chez Pedro. Il regarde le Capitaine qui, pour Jimmy, l’ex-grutier, et les autres habitués, raconte des histoires de disparitions, de voyageurs, de malchance, etc."
10. Les marins perdus
Clément Belin
3.86★ (45)

"Pour son premier livre de bande dessinée, Clément Belin, marin de la marine marchande et dessinateur autodidacte, signe une adaptation touchante et juste du roman Les Marins perdus de Jean-Claude Izzo. Marseille. Depuis cinq mois, l'Aldébaran est relégué au bout de la digue du grand large. Étrangers, sans le sou, séparés de leurs familles, les marins vivent à bord, dans la promiscuité et le dénuement en attendant un repreneur pour ce foutu cargo. Leur capitaine est Abdul Aziz. C'est un Libanais. Son second, Diamantis, est grec. Marin par tradition et par goût. Autant Diamantis est perméable aux autres, autant Aziz est renfermé, arc-bouté sur ses principes. Ils ont de l'estime l'un pour l'autre. Mais d'amitié, il n'y en a pas. Leur seul lien, c'est la mer. Un jour, l'équipage est débauché. Seuls Abdul et Diamantis restent à bord... Commence alors une vie d'errance, sur le bateau, les quais, aux alentours du port. Ils y côtoieront, l'espace de quelques nuits, d'autres êtres aussi perdus qu'eux avec lesquels ils danseront le ballet dérisoire des éphémères avant d'affronter leur destin."
11. Les Marins perdus
Jean-Claude Izzo
3.94★ (508)

"Un matin pluvieux dans le port de Marseille. Les trois marins de l'Aldébaran se lèvent, "le moral poissé dans la grisaille". Voilà cinq mois que leur cargo est à quai : leur armateur, non content de sa faillite, a pris la fuite. Le navire et son trio sont condamnés à attendre que la justice s'intéresse à leur avenir. D'ici-là, il faut survivre, entre la mer et la terre, où ils fréquentent d'autres êtres à la dérive, en quête du sens de l'existence. Marseille, la belle, veille sur eux tel "un éblouissement.(...) Une femme qui s'offre à ceux qui arrivent par la mer" et rappelle à leur souvenir "le bonheur, simple, qui descend du ciel vers la mer". Jean-Claude Izzo, chantre de Marseille, qu'il met en scène comme un personnage dans tous ses romans, notamment dans sa trilogie "noire" ("Total Khéops", "Chourmo", "Solea"), est aussi fasciné par le destin des êtres en perdition, par ce moment de bascule qui les précipite dans l'irréparable, les bannit du bonheur. Son dernier roman, "Le Soleil des mourants" est consacré aux hommes perdus derrière les initiales "SDF"…"--Laure Anciel
12. Mariniers : vie et quotidien : 1880-1960
Laurent Roblin
" A la fin du XIXe et pendant toute la première moitié du XXe siècle, des milliers de bateaux, soit une communauté marinière de plusieurs dizaines de milliers d hommes, de femmes et d enfants, vivent et travaillent au fil de l eau... Ce monde batelier se caractérise par une très forte identité de groupe, malgré de multiples clivages : artisans-salariés, « gars du Nord »-« gars du Berry », péniches « tractionnées »-automoteurs, etc. Pour témoigner de cette véritable « microsociété » foisonnante et ô combien attachante, rien de tel que les vieilles photographies de famille. Encore faut-il pouvoir feuilleter des albums jalousement gardés et qui ne sont pas destinés au tout-venant! "
14. Je me souviens du canal Saint-Martin
Marie Babey
4.00★ (3)

"Je me souviens des bateaux ''montants'', blancs du sel du Midi et des bateaux ''avalants'', noirs du charbon enlevé au pont de Flandre, je me souviens des ''carapatas'', les haleurs aux gros bras et au gosier sec, je me souviens des coltineurs qui déchargeaient les sacs de ciment au bassin du Combat, je me souviens qu'éclusiers et mariniers allaient souvent boire un verre à la Chope des Singes ou à l'Ancre de Marine, je me souviens que l'on pouvait traverser le canal sur les portes des écluses, je me souviens que les mariniers avaient rebaptisé la compagnie HPLM (Havre-Paris-Lyon-Marseille), ''Hachez-Pillez-Les-Malheureux'', je me souviens de la pêche aux écrevisses avec une épingle à nourrice... Je me souviens que l'on patinait sur la glace les hivers de grand froid, je me souviens que la sortie des artistes de l'Alhambra donnait sur le canal, je me souviens que les bateaux n'avaient pour guides que les bouches d'aération quand ils passaient sous la longue voûte du boulevard Richard-Lenoir, je me souviens qu'on faisait de drôles de récoltes quand on vidait les bassins, je me souviens des usines, des entrepôts, des cités d artisans qui longeaient le canal, je me souviens que le décor du canal a été entièrement reconstitué pour les besoins du tournage du film de Marcel Carné, Hôtel du Nord, je me souviens du temps où on jouait à la manille, où on chantait et où on parlait politique dans les cafés, je me souviens... du canal Saint-Martin. ‎"
15. La péniche de Saint-Nicolas
Michel Caffier
3.40★ (36)

" L'histoire d'une famille en Lorraine de 1813 à la fin du second Empire et les débuts de la batellerie française. Manuelo Garcia, Espagnol prisonnier en France sous Napoléon Ier, choisit, à sa libération, de rester en Lorraine, dans un petit village des Vosges, et d'y faire souche. Il travaille d'abord comme flotteur de bois sur la Moselle. Puis, de retour au village, il s'y marie, devient l'âme de la communauté, fonde une école et un atelier de confection où travaillent les femmes du pays. Après la mort de ses parents, Isidore, le fils de Manuelo, dessinateur dans une imprimerie de Metz, part à l'aventure aux Etats-Unis. Il montre le même esprit d'entreprise que son père mais, tombé amoureux de Norma, il l'arrache à un mariage arrangé par sa famille et regagne la Lorraine avec elle. Séduit par la liberté qu'offre la navigation fluviale, Isidore prend la barre de la péniche Saint-Nicolas. A son bord, il parcourt en famille la Lorraine, l'Alsace et les canaux ouverts au développement industriel. Michel Caffier nous fait rencontrer de nombreux personnages attachants et connaître sa région dans tous ses aspects, une époque et un monde qui se cherchent. "
16. La boîte sous la péniche
Valérie Larrivain
4.75★ (64)

?"En se promenant avec son chien Benny sur les bords de Seine, Mark repère une boîte en métal sous une péniche voisine de la sienne. Il la repêche et y découvre un contenu d’objets hétéroclites, une date, un nom. Sur fond de poésie et d’histoire, la découverte de la boîte est le préambule à l’intrigue romancée des vies d'Alice et Jacques. Le roman nous fait partager une aventure humaine rendue possible par un formidable concours de circonstances. Pour son premier roman, Valérie Larrivain rend hommage à sa grand-mère maternelle Alice. Cette intrigue familiale fictive basée sur des faits réels a vu le jour pour en conserver le souvenir. "
17. La Seine des photographes
André Velter
"Album hors série, Gallimard Loisirs Parution : 02-02-2006 «Où que l'on soit au monde, quand on ferme les yeux pour penser à la Seine, c'est aussitôt Paris que l'on voit : le Paris des quais, des ponts et des îles, le Paris qui borde les flots et paraît quelque peu en partance, comme s'il était possible d'être à la fois le navire et le port, et de justifier par là cette devise de batelier, Fluctuat nec mergitur, qui suggère que l'âme de la cité étant de terre et d'eau, elle flotte et ne sombre pas.» André Velter.
18. Le Dernier Voyage
Bruno Poissonnier
3.56★ (19)

" Raymond est marinier; veuf et solitaire il parcourt les canaux au gré des chargements qui sont confiés à son bateau, le Gueule d'amour, magnifique péniche des années 30. Ce jour-là, à la Bourse de Conflans, il a accepté un fret précieux et bien payé devant deux frères propriétaires de bateaux neufs et rapides. En route avec son chargement pour Arles, au gré des difficultés du voyage, orages et mauvais tours joués par ses deux concurrents, aiguillonné par l'orgueil d'arriver à temps pour sa livraison, il revoit sa vie le long des canaux avec sa femme et son fils, dont il ne sait plus rien, une vie qu'il va finir à la barre. L'auteur de ce roman sensible et émouvant, hors des modes, va à l'essentiel avec une tendresse palpable pour son protagoniste et un grand talent pour raconter les paysages naturels et humains."
19. Au revoir Monsieur Friant
Philippe Claudel
3.62★ (101)

Un petit bijou que j'allais omettre, où Philippe Claudel, en plus du peintre , Mr FRIANT, qu'il nous fait découvrir, rend hommage à une grand-mère adorée, qui était "éclusière": "Ma grand-mère vivait dans une petite maison au bord de cette eau faussement dormeuse. Elle était éclusière. Ce métier d'homme lui allait comme un gant. Le canal alors était parcouru par de lourdes péniches dont les ponts sentaient le goudron, le sel, le coke, le hareng et le café, la potasse et le vent. Il y avait chaque jour sur l'eau des morceaux d'Europe qui passaient ainsi (...) (p. 10 / Stock, novembre 2016)
20. Le charretier de la providence
Georges Simenon
3.71★ (412)

*****Voir excellentes critiques d'HORUSFONK et d'Eric76 "https://www.babelio.com/livres/Simenon-Le-charretier-de-la-providence/507950/critiques/2473660
21. La France des marges. Géographie des espaces « autres »
Samuel Depraz
4.00★ (4)

Pour approfondir...la réalité des espaces de vie, différents, en marge, de la ville et de ses "centres" !--- "Les « marges » désignent des territoires discrets, qui occupent une position périphérique par rapport aux centres d’impulsion de l’économie et de la vie publique française que sont les métropoles ou les grands sites économiques et touristiques. Banlieues, espaces périurbains, marges rurales, petites villes en déclin, espaces interlopes des cœurs de ville, îles et territoires ultramarins, marécages, montagnes et forêts… ces territoires méconnus et en transition permanente font ici l’objet d’une analyse précise. À travers une lecture fine de ces espaces « autres », sont ainsi mis en évidence l’organisation socio-économique régionale de chacun d’eux et les mécanismes d’inscription des inégalités dans les territoires. La géographie des marges vient alors révéler la complexité de ces espaces, animés à la fois par des logiques de mise à l’écart, mais aussi d’affranchissement vis-à-vis des dominations extérieures. L’étude des marges permet ainsi, en miroir, de mieux revenir sur la puissance des centres. Elle permet aussi de s’interroger sur ce qui fait la norme sociale et sur les moyens d’atteindre une meilleure justice spatiale."
22. Le rêveur de l'écluse
Henriette Bernier
"Fin des années 1930, dans la campagne lorraine... A Martinpré, au bord du canal de l'Est, Louis Champart, fils d'éclusier, puis éclusier lui-même, rêve de voyages et d'ailleurs. Jusqu'à sa rencontre, fortuite, avec une saltimbanque, l'énigmatique Rose, qui le rapproche de cette existence fantasmée. La révélation de l'histoire de la jeune femme, marquée par la souffrance et la solitude, transformera-t-elle le rêve de l'éclusier ? Le récit d'un bel amour sur fond de batellerie, cet univers à part, hors du temps."
23. L'Écluse (BD)
Philippe Pelaez
3.39★ (109)

"Il est des eaux moins paisibles qu’elles en ont l’air. Trois noyées en moins d’un an… C’est beaucoup pour la petite écluse dont s’occupe Octave. Dans le village, les rumeurs vont bon train et le jeune éclusier un peu attardé au visage déformé a tout du suspect idéal. L’émoi est tel que deux policiers de la ville viennent enquêter pour tirer cette affaire au clair, mais aussi pour faire face à la fureur des habitants bien décidés à rendre la justice eux-mêmes. Les eaux de la rivière sont paresseuses, mais dans ses méandres, la cruauté et la méchanceté ne sont jamais très loin."
25. Les Chats éraflés
Camille Goudeau
3.68★ (497)

Ajout le 21 avril 2023------ "Soizic, vingt-deux ans, monte à Paris sur un coup de tête pour fuir une jeunesse sans perspectives. Elle se jette dans une ville où personne ne l’attend, vit de jour comme de nuit, découvre la débrouille, la violence et la beauté de la capitale. Un peu par hasard, elle devient bouquiniste sur les quais de Seine. Entre les livres, les bibliophiles et les touristes, au milieu des passants et des égarés, elle tourne la page de l’enfance et se construit une nouvelle vie. Mais pour vraiment y parvenir, inventer sa liberté et son monde, elle devra se confronter à un passé qui s’est fait sans elle et retrouver une mère qui l’a abandonnée. "
26. Quais et ponts de Paris : Guide historique
Marc Gaillard
3.00★ (5)

Suggestion de talou61....
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