L'auteur répond à toutes les questions que posent des personnalités, et donne des perspectives thérapeutiques. Le propos est ponctué de cas cliniques et d'exemples puisés dans la littérature.
Ce qu'on retrouve dans le plaisir de la lecture, n'est-ce pas le lieu d'une origine, d'une régression vers le paradis de la langue maternelle, là où le mot convoquait la chose ? La " page vierge " de l'écrivain n'est-elle pas ce territoire fantasmatique perdu où on peut faire comme si... le langage redevenait formule magique.
Que peuvent nous apprendre les imprécations du capitaine Haddock, les extravagances de la Castafiore, les distractions du professeur Tournesol, sur le secret qu'Hergé, peut-être, se cachait à lui-même ?
Etude minutieuse des rapports de Freud avec son cigare. Cette addiction le mena à la destruction et à la mort, dans une volonté d'aveuglement qui mérité d'être interrogée.
Ce livre s'intéresse aux enjeux psychologiques de nos comportements vestimentaires. Car derrière une apparente futilité, ceux-ci révèlent des mouvements intimes et méconnus de nos désirs.
Cerner la pulsion et le plaisir oral dans leur banalité, parler des trois repas par jour et de leur importance comme décharge pulsionnelle est un projet qui ne semble pas avoir attiré beaucoup de chercheurs.
Sur les pas de Freud explorant les résonances inconscientes du mot d'esprit, Philippe Grimbert se livre à une exploration des ressorts psychanalytiques de la chanson.
Les Aventures de Tintin décryptées à la lumière de la pensée de Lacan prennent ici une dimension psychologique qui a le mérite d'éclairer à la fois les concepts lacaniens et l'écriture d'Hergé
Star wars et ses héros font partie de l'inconscient collectif juvénile depuis deux générations. Les auteurs, psychanalystes et passionnés de cinéma, analysent ce phénomène et questionnent la connaissance intime et singulière qu'en ont leurs patients surtout adolescents
On comprend à lire ce livre la profondeur de notre ambivalence face aux images : nous les désirons parce qu’elles sont au fondement de la pensée et de la construction identitaire ; mais en même temps, nous les redoutons parce que nous craignons de céder à leur fascination et d’y entrer sans plus pouvoir en sortir.
Le statut de guerrier, que l'auteur distingue de celui de "massacreur", fussent-ils en uniforme, ou des "lanceurs de projectiles", correspond à une vocation énigmatique et paradoxale. Ce travail tente d'en saisir certains ressorts complexes et inattendus.