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Images de la guerre d'Espagne
Liste créée par Pecosa le 05/12/2017
34 livres. Thèmes et genres : guerre civile espagnole , photographie , journalisme , reporter de guerre , Photographes

" If your pictures aren’t good enough, you aren’t close enough." Robert Capa



2. La Guerre d'Espagne en images : 1636-1939
Jean Jour
Comme toute guerre civile, la guerre d'Espagne déchira le pays - et l'Europe par ses répercutions - avec une rare violence. Des frères qui se battent contre des frères ne le font jamais qu'avec la haine implacable que donne l'amitié ou l'amour déçus, le respect foulé aux pieds, le mépris des idées de l'"autre" qui, tout à coup, devient l'ennemi....
3. La guerre d'Espagne
François Fontaine
Dès les premiers jours du soulèvement franquiste contre la République espagnole la presse française dépêche un nombre impressionnant de journalistes et de photographes dans la Péninsule. Un déluge d’images envahit les unes des journaux et les couvertures des magazines. Des appareils modernes comme le Leica ou le Rolleiflex permettent aux envoyés spéciaux d’être au cœur de l’action. Certaines photographies connaissent une diffusion mondiale et contribuent à théâtraliser le conflit et ses enjeux. François Fontaine présente et replace dans leur contexte les photographies de la guerre d’Espagne publiées dans la presse. Ces clichés saisissants, signés Robert Capa, Gerda Taro, Chim, Georg Reisner ou Hans Namuth, témoignent de l’entrée du photojournalisme dans l’ère moderne.
4. De la chute de Barcelone à la Retirada
Eric Forcada
5.00★ (5)

Le 28 janvier 1939, le photojournaliste Robert Capa passe la frontière, suivant le flot de réfugiés républicains espagnols déferlant sur le Roussillon. Il retrouve au Perthus son confrère David Seymour-Chim ainsi que les correspondants de guerre et envoyés spéciaux des grands tirages français et internationaux présents pour couvrir la Retirada. Barcelone vient de tomber aux mains des fascistes. Le monde a les yeux braqués sur cette catastrophe humanitaire. Perpignan devient alors le centre névralgique de la presse mondiale. Depuis le Studio Chauvin, relai local de l'agence américaine World Wilde Photo for the New York Times, articles et clichés sont envoyés aux rédactions. Cet ouvrage donne à lire l'itinéraire des photoreporters couvrant ces moments clefs de l'histoire depuis la chute de Barcelone jusqu'à la Retirada et l'ouverture des camps sur les plages du Roussillon. Les photographies inédites de Capa, Seymour-Chim, Chauvin, ici rassemblées, retracent ces quinze jours décisifs qui ont mené à la première défaite du camp démocratique face aux forces franquistes
5. Février 1939 : La Retirada dans l'objectif de Manuel Moros
Grégory Tuban
4.00★ (3)

28 janvier 1939. Barcelone est tombée aux mains des troupes franquistes et la poche de Catalogne s'effondre. Les autorités françaises ouvrent la frontière de Cerbère à Bourg Madame afin de laisser pénétrer les civils et les blessés puis les miliciens, lors d'un exode jusqu'alors sans équivalent dans l'histoire occidentale du XXe siècle. Les Pyrénées-Orientales verront passer, jusqu'à la mi-février, près d'un demi-million de réfugiés. Manuel Moros, artiste peintre franco-colombien, installé à Collioure, quitte alors son atelier, armé de son appareil photo, pour aller au plus près de l'exode. De la frontière de Cerbère au camp d'Argelès, il va ainsi arpenter cette route du bord de mer où passeront quelque 150 000 personnes. Le reportage de Manuel Moros constitue un témoignage exceptionnel, resté jusqu'à présent inédit. Le journaliste et historien Grégory Tuban, auteur des "Séquestrés de Collioure", a reconstitué dans ce catalogue le puzzle d'un travail dispersé, victime des aléas de l'histoire et soumis aux vicissitudes de la vie de son auteur. En parallèle, ce livre retrace l'oeuvre du peintre méconnu que fut Manuel Moros.
8. La valise mexicaine
Yasmine Youssi
3.88★ (9)

L?histoire de la photographie, à l?instar de l?histoire de l?art, est régulièrement parcourue d?événements inattendus qui la projettent soudainement sous les feux de l?actualité. L?annonce officielle, en 2008, de la redécouverte de la valise mexicaine de Robert Capa, dont la trace avait été perdue depuis 1939, a provoqué un engouement considérable dans l?univers du photoreportage et de la recherche historique. L?existence de cette valise était connue ; Robert Capa l?avait mentionnée à plusieurs reprises dans ses écrits, et son frère, Cornell, fondateur de l?International Center of Photography (ICP), n?avait jamais cessé d?en poursuivre activement la recherche. Après plus de soixante-dix années de pérégrinations rocambolesques et de péripéties diverses, la ?valise? (en fait, trois boîtes de rouleaux de pellicule, soigneusement classés) révélait son extraordinaire contenu : 4 500 négatifs d?images de la guerre civile espagnole, prises entre 1936 et 1939 par Gerda Taro ? compagne de Capa tragiquement disparue en 1937 pendant la bataille de Brunete ?, David Seymour dit Chim et Robert Capa. Une manne de documents, en très bon état de conservation et, pour une large part, totalement inédits, déployant le panorama détaillé d?un conflit qui a changé le cours de l?histoire européenne. D?un exceptionnel intérêt documentaire, ces films et clichés racontent aussi l?histoire de trois célèbres photographes, totalement investis dans la cause républicaine et antifasciste, qui, au prix de risques considérables, ont jeté les bases de la photographie de guerre actuelle et donné ses lettres de noblesse au photoreportage engagé. Dirigée par Cynthia Young, conservatrice des archives de Robert et Cornell Capa (ICP, New York), l?édition de La Valise mexicaine, sous forme d?un ouvrage en deux volumes, présente l?intégralité des films miraculeusement retrouvés ainsi que les documents d?époque (journaux, magazines, revues) qui permettent de restituer l?importance historique de cette somme iconographique. De nombreux textes et analyses critiques, rédigéspar les meilleurs spécialistes et chercheurs des différentes disciplines convoquées, éclairent de façon approfondie les différents aspects et problématiques que soulèvent la découverte de ces milliers d?images et la vie fascinante de leurs remarquables auteurs : Capa, le fonceur, Taro, l?intrépide et Chim, le réfléchi?
10. Kessel, Moral
Michel Lefebvre
Octobre 1938. Depuis le coup d'Etat militaire de juillet 1936, vingt-neuf mois plus tôt, l'Espagne est déchirée par une impitoyable guerre civile. Le monde entier a les yeux fixés sur l'affrontement entre les défenseurs de la République et les partisans du général Franco. Pierre Lazareff, le patron du grand quotidien Paris-Soir envoie en Espagne républicaine l'écrivain Joseph Kessel et le photographe Jean Moral. Les deux reporters vont rapporter de ce périple d'une quinzaine de jours - en bateau, en camion et en avion - dix reportages et deux cent cinquante clichés. Rarement l'écriture et l'image se seront ainsi alliées dans la vision commune d'un événement : une même approche humaniste, une même sympathie pour un peuple pris au piège de la guerre. A Barcelone, à Valence, à Madrid, Kessel et Moral captent la détresse et l'honneur des petites gens, l'insouciance joueuse des enfants, le rude courage des soldats espagnols et des volontaires internationaux, l'angoisse terrifiante des familles séparées. Sous la Cité universitaire court une ligne de front souterraine ; dans les théâtres bondés, on lance des cigarettes aux artistes ; les restaurants des palaces servent des lentilles frelatées ; les monuments sont méconnaissables sous leur gangue de briques... Et partout, à chaque instant, les bombes, les obus menacent. Marqué par cette expérience, Kessel retourne à Madrid en février 1939, pour assister aux dernières semaines de la République agonisante. Il en revient avec quatre reportages. Cette fois-ci, l'espoir est mort, et ces textes annoncent l'exil républicain et la vengeance franquiste. Ces reportages et ces clichés, nous les publions ici dans leur version originale parue dans Paris-Soir, avec un texte inédit de Kessel, longue et clairvoyante réflexion sur la guerre d'Espagne.
11. Kati Horna
Kati Horna
Livre neuf. Catalogue de l'exposition itinérante "Kati Horna" présentée successivement au Museo Amparo de Puebla, au Mexique, du 7 décembre 2013 au 28 avril 2014 et au Jeu de Paume, à Paris, du 3 juin au 21 septembre 2014.Le Jeu de Paume présente, en collaboration avec le Museo Amparo de Puebla (Mexique) , la première exposition rétrospective de la photographe Kati Horna (Szilasbalhási, Hongrie, 1912 / Mexico, 2000), retraçant plus de six décennies de production en Hongrie, en France, en Espagne et au Mexique. Photographe mexicaine d'adoption, Kati Horna fait partie de la génération de photographes hongrois (d'André Kertész à Robert Capa en passant par Eva Besnyö, László Moholy-Nagy, Nicolás Muller, Brassaï, Rogi André, Ergy Landau, Martin Munkácsi et bien d'autres) contraints de quitter leur pays en raison des conflits et de l'instabilité sociale des années 1930. Cosmopolite et avant-gardiste, Kati Horna est surtout connue pour son album sur la guerre civile espagnole, réalisé à la demande du gouvernement républicain espagnol entre 1937 et 1939. Son travail se caractérise à la fois par sa proximité avec les principes de la photographie surréaliste, ainsi que par sa manière très personnelle d'aborder le photoreportage.
12. Les grands photographes de MAGNUM photos : Robert Capa.
Robert Capa
4.40★ (11)

Les grands photographes. Robert Capa: "La guerre est une actrice vieillissante: toujours plus dangereuse, toujours moins photogénique."
13. Capa connu et inconnu
Laure Beaumont-Maillet
5.00★ (7)

Né à Budapest le 22 octobre 1913 sous le nom d'Endre Friedmann, dans une famille de la bourgeoisie juive, il est arrêté en 1931 à l'âge de dix-sept ans pour activités antifascistes et contraint par le régime de l'amiral Horthy à quitter la Hongrie. Il part pour Berlin où il trouve un travail dans une agence de photographie. En 1932, il réalise à Copenhague son premier reportage consacré à un meeting de Léon Trotski en exil, mais l'arrivée deHitler au pouvoir le contraint à nouveau à l'errance. Il s'établit à Paris en septembre 1933. Dans le quartier de Montparnasse, où se regroupent les étrangers, il noue des contacts avec des photographes qui deviennent ses amis : son compatriote André Kertész, David Seymour surnommé Chim, et Henri Cartier-Bresson. À l'automne 1934, il se lie avec une jeune Juive allemande réfugiée, Gerda Pohorylle,qui travaille pour des agences photographiques. Elle sera à la fois sa compagne et son agent. Vivant dans des conditions matérielles très précaires, ils décident d'adopter des pseudonymes : lui devient Robert Capa, elle, Gerda Taro. Tous deux émergent commephotoreporters à la faveur de la guerre d'Espagne, dans laquelle elle trouve la mort en juillet 1937. Robert Capa a photographié cinq guerres : la guerre civile en Espagne (1936-1939) la résistance chinoise à l'invasion japonaise (1938), la Seconde Guerre mondiale en Europe (1941-1945) la première guerre israélo-arabe (1948), enfin la guerre d'Indochine (1954) où il meurt en sautant sur une mine, le 25 mai 1954, à l'âge de quarante ans. Personne n'avait, avant lui, photographié la guerre avec un tel mépris du danger, ni avec une plus vive compassion pour les combattants et surtout pour les populations civiles victimes des conflits. Dès 1938, la presse l'intronise comme " le plus grand photographe de guerre ". Cette partie très importante de son ?uvre, qui appartient à notre imaginaire collectif, a occulté d'autres aspects de son travail. La présente exposition, organisée à partir des collections publiques et privées françaises, permet de découvrir, à côté d'icônes comme le portrait de Trotski à Copenhague, le milicien espagnol, les photographies du Débarquement du 6 juin 1944 et de tous les grands conflits couverts par Capa, des reportages étonnants sur les pèlerinages de Lisieux ou le Tour de France de 1939, sans oublier de remarquables portraits d'artistes. Après avoir vu ces photographies, sans doute comprendra-t-on mieux que Julia Friedmann, sa mère, ait refusé pour lui les honneurs du cimetière d'Arlington, au motif qu'il avait toujours haï la guerre.
14. Robert Capa
Robert Capa
4.44★ (19)

Photo Poche : cette collection a l'ambition d'offrir des livres de photographies soigneusement imprimés, maniables pal leur format, accessibles par leur prix, à tous ceux que passionne un moyen d'expression dont on reconnaît l'importance. Si l'on veut en couvrir tous les champs; la photographie offre une matière inépuisable. Monographies, sujets historiques, thématiques ou techniques varient à l'infini une iconographie qui est restée jusqu' à présent inédite en livres de poche. Il est reconnu internationalement comme le plus grand photographe de guerre. Ses images de la guerre civile en Espagne et du débarquement allié en Normandie sont célèbres. Correspondant des grands journaux illustrés, Life, Colliers ou Holiday, il a suivi tous les conflits, en Chine, en Israël et en Indochine où il meurt tragiquement en 1954. Par leur charge émotive, ses images dépassent la vérité historique, et ouvrent la voie au photojournalisme contemporain.
16. David Seymour, vies de Chim
Carole Naggar
David Seymour dit Chim fut, avec Henri Cartier-Bresson, Robert Capa et George Rodger, l'un des fondateurs de la prestigieuse agence Magnum en 1947. Ce livre est la première monographie et biographie consacrée à ce photojournaliste hors du commun que l'auteur porte enfin à la lumière en dévoilant certains aspects de sa vie privée qui n'étaient pas connus jusqu'à la découvertede plus de six cents documents dans l'appartement de son neveu Ben Shneiderman. Le texte met en avant l'itinéraire d'un intellectuel exilé et son engagement politique à gauche durant les débuts du Front Populaire puis la Guerre D'Espagne où il s'engagea pour les Républicains aux côtés de Robert Capa, Gerda Taro et de nombreux correspondants européens et espagnols en publiant ses images dans les grands magasines de l'époque comme Regards, Life ou Vu, en portant son attention sur les plus vulnérables.
19. Paul Senn, un photographe suisse dans la Guerre d'Espagne
Michel Lefebvre
4.50★ (5)

Catalogue de l'exposition "Un photographe suisse dans la guerre d?Espagne" au Mémorial du camp de Rivesaltes.
20. Gerda Taro : Une photographe révolutionnaire dans la guerre d'Espagne
Irme Schaber
3.79★ (19)

Gerda Taro est morte à l'âge de vingt-sept ans en 1937, écrasée par un char art cours d'un combat pendant la guerre civile espagnole. L'année précédente, reporter photographe sur les lignes du Front les plus exposées, elle avait fourni le monde en clichés " sensationnels " souvent pris avec le photographe hongrois Robert Capa, son compagnon. Elle fut saluée par la presse comme la première photographe de guerre morte sur les lieux mêmes où elle opérait. Ses photos entre 1936 et 1937 avaient notamment paru dans les magazines Regards, Vu, Life et Ce. soir. Par la suite, le souvenir de son ?uvre s'effaça derrière celle de son partenaire, devenu entre-temps mondialement célèbre. Ce livre d'Irme Schaber retrace pour la première fois le parcours tumultueux et tragique de cette jeune femme au charme magnétique. L'enterrement de Gerda Taro au cimetière du Père-Lachaise donna lieu à une grande manifestation contre le fascisme. Son aura demeura pourtant ambiguë : célébrée comme héroïne et martyre par les communistes français, elle passait plutôt pour incarner la " femme : fatale " aux yeux de certains comme Hemingway, qui lui reprochait ses infidélités envers Robert Capa, dont il était l'ami. L'Allemagne a peu gardé jusqu'ici le souvenir de cette jeune femme juive qui, dès 1933, avait fui le régime nazi et trouvé à Paris les premières conditions de son double engagement politique et artistique. A l'instar de Tina Modotti, Gerda Taro est aujourd'hui redécouverte dans sa dimension mythique quelque soixante-dix ans après sa mort. Une exposition itinérante la mettra à l'honneur au printemps 2007 à New York, Londres et Paris.
21. La boîte rouge
Antoni Campana
4.64★ (18)

L’œuvre d’Antoni Campañà n’est pas inconnue du grand public puisqu'il fut un des représentants du courant pictorialiste, et agit comme photographe pour des revues, auteur de cartes postales, photo-reporter, photographe de sport aussi. Son œuvre, réputée et estimée, est analysée dans de nombreuses études sur la photographie espagnole. Elle est aussi visible aussi dans la collection permanente du Musée National d’Art de Catalogne. Cet ouvrage dévoile pour la première fois les archives du photographe catalan consacrées à la guerre civile. Des archives cachées, découvertes après sa mort par ses enfants dans des boîtes rouges remisées dans le garage de sa dernière demeure qui allait être démolie. 80 ans plus tard, donc, pas moins de 5000 images, tirées ou sur négatifs, retrouvent la lumière. Chaque photographie présentée ici est expliquée et contextualisée. La Catalogne en guerre est le cœur du livre : un reportage d’une force inouïe, saisi sur le vif. Mais Antoni Campañà, républicain, démocrate et croyant, amoureux de son pays et de ses traditions, chronique aussi la vie quotidienne, à la ville et aux champs, les fêtes, qu’elles soient religieuses ou folkloriques, avec un fort accent catalan. En contrepoint, il offre aussi une vue sur le joug de la dictature en marche avec l’entrée des troupes franquistes à Barcelone : un impressionnant document qui montre les blessures externes et les brisures internes de son pays. Une édition conçue par le journaliste Plàcid Garcia-Planas, l’historien Arnau Gonzàlez Vilalta et le photographe David Ramos.
24. Guerra Grafica, Espagne 1936-1939
Michel Lefebvre
5.00★ (7)

La guerre d’Espagne a été autant un conflit armé qu’une guerre de l’image. Les deux camps se battent à coups de photos, de journaux, d’affiches. Les franquistes frappent fort en diffusant des photographies accablantes d’exactions antireligieuses. Dans le camp républicain, des photographes témoignent de la ferveur d’un peuple en armes. Les meilleurs graphistes dessinent des affiches à la chaîne ; des écrivains et dessinateurs produisent par centaines journaux, livres et brochures. Cette débauche graphique est sans équivalent et surtout mondiale, car l’effort de soutien est français, américain, anglais, russe… À travers 300 pages et plus de 600 documents légendés, ce livre vous immerge totalement dans cette extraordinaire créativité artistique, où les inspirations les plus passionnées ont toutes tendu vers un seul objectif : la propagande de guerre.Michel Lefebvre est journaliste au Monde, responsable des hors-séries du quotidien. Il est l’auteur de Kessel, Moral : deux reporters dans la guerre d’Espagne (Tallandier, 2006), de Brigades internationales, images retrouvées avec Remi Skoutelski (Seuil, 2003) et de Robert Capa, traces d'une légendes avec Bernard Lebrun (Éditions de La Martinière, 2011).
26. VIÑETAS POLÍTICAS REPUBLICANAS DE LA GUERRA CIVIL ESPAÑOLA
José Vicente Domènech
Libro prologado por Gómez-Guillamón en el que su autor, no se conforma con reenumerar y actualizar todas las viñetas políticas republicanas de la Guerra Civil Española aparecidas desde que Gómez-Guillamón publicó su catálogo en 1988 hasta el momento, sino que añade biografías de los personajes que aparecen en las mismas o de sus diseñadores así como información de partidos políticos, sindicatos, etc..., con gran profusión de imágenes. Con más de 2500 imágenes en color del 97% de las viñetas catalogadas, así como variantes de las mismas por dentado, papel, cambio de color, etc…, se convierte en un catálogo imprescindible para los coleccionistas de estas viñetas.
27. Pinturas de guerra : dibujantes de la guerra civil española
Miguel Sarró Santos
Mutis es viñetista, humorista gráfico, pintor e ilustrador. Colabora periódicamente en publicaciones varias: El Siglo, Generación XXI, TMEO, CNT o Diagonal. Es profesor de dibujo, ilustración y comic en el centro de cultura de Caja Madrid, La Casa Encendida. Su faceta de ilustrador ha estado siempre compaginada con su pasión por rastrear el pasado. En esta ocasión su interés por los ilustradores que defendieron la causa republicana contra el levantamiento militar, le ha llevado a realizar una exhaustiva reconstrucción de los itinerarios vitales de los dibujantes perdedores, durante y después de la guerra civil. Pinturas de guerra cubre, por tanto, una laguna historiográfica y de reconocimiento imprescindible a día de hoy. Miguel Sarró escribe un homenaje a la creación artístico política de ese momento y selecciona un importante número de viñetas originales de la Época, hasta la fecha desconocidas. Así fue como se fueron juntando algunos cabos sueltos de esta historia, la de los perdedores, los olvidados y de entre éstos dibujantes, a los que la recuperación de la memoria ha ido dejando a un lado, relegados a un segundo plano como artesanos ante los artistas de renombre. Fueron ellos los que diseñaron y construyeron las maquetas a escala de armamento pesado para confundir a la aviación franquista, los que pintaron los carteles de las milicias, los sellos republicanos. Ellos, los que maquetearon los manuales de alfabetización, los que dibujaron las viñetas de los periódicos del frente.
28. Espagne 36 : Les affiches des combattant-e-s de la liberté.
Anne-Marie Bibian
4.00★ (4)

Espagne 1936-1939. la révolution avait aussi des couleurs. Les affichent des combattant-e-s de la liberté. Le temps des cerises, le mur des Fédérés, un gréviste le poing levé, une barricade, un pavé et des affiches sur les murs de la Sorbonne... Toutes ces icônes sont définitivement associées à la Commune de Paris, au Front populaire, à Mai 68. Pour l'Espagne entre 1936 et 1939, que reste-t-il dans nos mémoires ? Un slogan : No Pasaran ! Une photo de Robert Cappa : un milicien anarchiste fauché par une balle franquiste. Un tableau : Guernica. Une, voire, dix affiches... Toujours les mêmes. Pourtant, en moins de trois ans, 3 000 affiches ont été imprimées. Plus de 3 000 " cris " collés sur les murs de Barcelone, Bilbao, Madrid, Malaga, Valence... Ce livre vous propose de découvrir deux cents affiches, timbres, cartes postales, éditées par les organisations libertaires : CNT, FAI, FIJL, Mujeres Libres, SIA... Deux cents sur plusieurs milliers c'est peu, mais c'est suffisant pour vous forger une opinion. Deux cents affiches pour réhabiliter ceux qui les ont dessinées : une soixantaine de graphistes a été identifiée, une vingtaine de biographies vous est présentée. Deux cents pour constater que leur production a été plus variée que la légende ne le dit. Pour comprendre la situation sociale, culturelle d'un quartier, d'une ville, d'un pays, il suffit de regarder ce que racontent leurs murs. C'est le pari que nous avons pris dans cet ouvrage. Ouvrez ce livre, découvrez ce que nous disent les murs de l'Espagne antifasciste.
32. 1936-1939. La guerra de España en la pantalla. De la propaganda a la historia.
Roman Gubern
4.00★ (2)

Monografía publicada con motivo del cincuentenario del inicio de la Guerra Civil Española.
34. La memoria cinematográfica de la Guerra Civil española (1939-1982)
Jorge Nieto
4.00★ (2)

La Guerra Civil es el indiscutible hito fundacional del franquismo. Su recuerdo requirió un culto permanente durante la dictadura, al mismo tiempoque evolucionaba en relación a la necesidad de legitimar el régimen en cada contexto histórico. Este libro analiza los cambios en la evocación delconflicto a través de de las películas que abordaron directa o indirectamente. De la exaltación épica del origen de la guerra, en conexión con otrasgestas de un supuesto pasado glorioso, se pasa a su memoria como una contienda trágica pero necesaria para la paz y el desarrollo definitivosdel país; del recuerdo alternativo abocado al posibilismo, a las rupturas imposibilistas de la transición a la democracia y el nuevo consenso por elolvido. Todo ello se encuentra en el cine, imbricado en su especificidad, considerado de un instrumento de socialización y un lugar priviligiado dela memoria.
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