AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9791033912873
544 pages
Harper Collins (08/03/2023)
4.54/5   95 notes
Résumé :
125 personnalités racontent 125 victimes de féminicides.
Salomé avait 21 ans, était étudiante en sociologie et anthropologie, et voulait devenir institutrice.
Marie-Alice, 53 ans, était chercheuse en biotechnologie et féministe convaincue.
Myriam, 37 ans, était championne d’équitation, diplômée de Saint-Cyr et mère d’un bébé de 14 mois.
Gülcin, 34 ans, mère de quatre enfants, avait déposé plainte et écrit au procureur de la République.>Voir plus
Que lire après 125 et des milliers : 125 personnalités racontent 125 victimes de féminicidesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
4,54

sur 95 notes
5
28 avis
4
4 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Je viens aujourd'hui vous demander de lire ce livre.


Même si le sujet est de ceux qu'on préfèrerait glisser sous le tapis. Pour ne pas voir. Pour ne pas entendre.


Sous la direction de Sarah Barukh, elles sont 125 à raconter 125 victimes de féminicides.


J'ai découvert ces femmes et j'ai pris le temps de penser, quelques instants, à chacune d'entre elles.


Elles s'appellent Nadine, Hélène, Souad, Jessie ou Odile. Celles qui les racontent, ce sont Virginie, Agathe, Olivia, Viktor, ou Mélissa. Elles prêtent leur voix, racontent parfois leur propre histoire.


J'ai pris le temps de lire cet ouvrage essentiel, pour ne pas prendre à la légère le moindre mot, comme on se fait violence face à une réalité écoeurante.


Elles sont 125 et pourtant d'une seule voix, c'est un tsunami qui déferle à la gueule du lecteur. Une vague d'amour, une tempête de mots. Pudiques parfois, effroyables, à chaque fois.


Le drame à lui seul d'une seule d'entre elles est intolérable et pourtant elles sont cette armée qui ne doit plus être silencieuse. Ici elles deviennent vacarme, un cri qui se refuse de rester en dedans et qui vient enfin hurler à la face du monde qu'elles existent encore malgré l'horreur d'avoir croisé ces hommes là.


Je ne connais pas Sarah, nous nous sommes croisés plusieurs fois, et toujours, j'ai senti la lumière presque éblouissante qui émanait d'elle. Je ne connaissais pas ces ombres auxquelles elle a dû faire face. Car Sarah Barukh se raconte, elle déroule son histoire, comme un fil d'Ariane, entre les témoignages des autres victimes. Il faut du courage mais surtout beaucoup d'amour pour mener à bon port un tel projet, un tel livre, qui va bien au-delà de la littérature.


Il faut acheter, puis prendre le temps de lire cet ouvrage. Il faut l'offrir, le prêter, le glisser entre toutes les mains. A des hommes, à des femmes, à tous les êtres humains qui croient qu'un jour, à force de …


Si je ne devais retenir qu'un seul livre cette année, ce serait celui-là.

Lien : https://labibliothequedejuju..
Commenter  J’apprécie          462
Ce livre un bel et vibrant hommage à toutes ces femmes, dont la plus jeune avait seulement vingt ans, et qui ont toutes cru à l'amour. Qui ont toutes cru parfois à l'amour avec un grand A, mais qui ont toutes rencontré le diable.
Chacune a rencontré, sous l'habit du mari ou du concubin, un bourreau sans pitié, qui lui a fait endurer des pires souffrances, avant de la mettre à mort, parfois dans des conditions effroyables.
*

Elles sont cent vingt-cinq personnalités et plus, des journalistes, des romancières, des comédiennes, des politiques, qui ont honoré la mémoire de ces autres femmes, celles qui sont mortes sous les coups impitoyables de leur conjoint, de leur concubin, de leur ami.

Toutes victimes de la folie et de la cruauté de ces bêtes innommables, de ces sauvages.

J'ai ressenti dans tous ces textes, du questionnement, des interrogations, de l'amertume, mais aussi de la colère et de l'indignation.
C'était parfois un grand cri de fureur qui était poussé et était écrit, comme l'hommage rendu à Hélène Bizieux par Valérie Benaïm.
La journaliste écrit toute sa rage :

« Je refuse, tu refuses, il refuse, nous refusons, vous refusez, ils refusent. Non, non, non !
Hélène n'est pas cinq lignes dans une dépêche, Hélène n'est pas un féminicide de plus.
Hélène était une femme de chair et de sang, une mère aimante, une fille chérie, une soeur solaire, une amie indéfectible. »
*

D'autres textes sont tendres, doux et poétiques comme l'hommage rendu à Laura Berthin par Jessica Cymerman ou celui rendu à Sofya Rudeshko par Laetitia Colombani, ou celui rendu à Ghylaine Beugnet par Leïla Slimani.
J'ai beaucoup aimé la poésie de Lilia Hassaine rendant hommage à Claire Fargeas.

D'autres textes m'ont beaucoup touché comme celui de Julie Madar parlant avec justesse, attention et force de Kristina Ràdy, morte d'avoir peut-être trop aimé.
*

Mais ce livre émouvant, déchirant, ne contient pas seulement des hommages. Il collecte aussi des témoignages de magistrats, de philosophes et de docteurs.
Et Sarah Barukh elle-même, qui est l'initiatrice de cet ouvrage collectif, y raconte aussi sa propre et terrible histoire.

Je m'interroge.. Je m'interroge qu'une épouse puisse rester aussi longtemps auprès d'un homme, qui ne cesse de l'humilier, de l'avilir, de la réduire et surtout de la frapper ?
La réponse du docteur Muriel Salmona, présidente de l'association « Mémoire traumatique et victimologie » est édifiante.
Cette imminente psychiatre parle de « sidération », de victimes anesthésiées qui sont incapables de réagir et de se protéger de cette violence.

Mais je vous laisse découvrir tous ces mécanismes qui se déclenchent chez une femme confrontée à de la violence verbale et physique et à la puissance dévastatrice qui s'opère chez l'agresseur et futur assassin.
*

A lire cet ouvrage collectif, c'est tout notre système qui est défaillant. Qui ne fonctionne pas pour protéger toutes ces femmes victimes de violences conjugales, celles qui entrainent pour les plus malheureuses, la mort.
Et c'est ce dysfonctionnement qui me révolte le plus, car nos élites ne me semblent ni motivées, ni efficaces et si peu intéressées pour y remédier.

Le féminicide est une calamité incommensurable, dont certains pays commencent à prendre seulement conscience de l'ampleur de ce fléau universel. Cette énorme et indigne tragédie qui dévaste tout sur son passage et qui plonge des familles entières dans le chagrin, les larmes et le désarroi celui d'avoir perdu une fille, une mère ou une soeur.

Une pensée aussi à tous ces enfants orphelins qui ont vu mourir leur maman devant leurs yeux et qui auront bien du mal à se reconstruire.

Commenter  J’apprécie          144
.

Le livre indispensable à s'offrir aujourd'hui :
125 et DES MILLiERS .
Ouvrage collectif pensé et conçu par Sarah Barukh @hellohellosarahbarukh .
@harpercollinsfrance .

Il coute 20 € .
Les bénéfices sont reversés à l'Union Nationale Des Familles de Fémicide @unffeminicide .

125 Personnalités racontent 125 Victimes de Féminicide !
Savez vous qu'en France, une femme est assassinée par son compagnon ou ex compagnon tous les deux jours et demi ! Soit en moyenne 125 Femmes par an !.
Qui sont elles ?
Quelle est leur histoire ?
Comment en sont elles arrivées là ?
Pour une fois les victimes ont un visage !
125 personnalités nous racontent ces vies détruites .
Un livre indispensable pour se souvenir et faire réfléchir .
Élevons nos voix pour que ces Meurtres cessent .

J'ai une pensée pour mes filles en lisant tous ces mots , à toutes celles qui luttent chaque jour chaque minute contre l'absurde, l'innommable !

A nous de construire un monde où l'amour ne fait pas mal !
Selon les chiffres officiels sur ces 125 femmes : 20 ont moins de 30 ans , 66 ont entre 30 et 50 ans , 38 ont entre 50 et 70 ans et 22 ont plus de 70 ans .
C'est vous , c'est moi , c'est elle , c'est vos filles , vos voisines , vos amies , nos copines !…. C'est honteux et terrible .

Merci Mesdames.
Merci @hellohellosarahbarukh .
@sophie_de_baere . @sylvielebihan .
@agnesmartinlugand.auteur . @marialarreal . @amelie_cordonnier . @iamjuliegayet . @valerie.benaim . @caroline.laurent.livres . @valerie_trierweiler . @valerietongcuong . @adele_breau . @oliviaruizofficiel . @alessandra_sublet_officiel . @virginiegrimaldi . @julie.vasa . @serena_giuliano_ …. Et tant d'autres ….
MERCI
Et foncez à la librairie .
Je compte sur vous .
Ensemble on est plus fortes 💜


Commenter  J’apprécie          121
Qu'il est difficile de chroniquer ce livre...Tant de choses à dire et cette impression si vive que les mots ne seront pas à la hauteur. Comment dire qu'à peine ma lecture commencée, je n'ai pas pu m'arrêter. Et pourtant, toutes ces pages renferment tellement de souffrance et paradoxalement tellement de force de vie...
125 portraits de femmes, toutes victimes de féminicide et ce pari aussi fou que beau de leur redonner vie à travers les mots d'autres femmes. Des mots pour combattre les maux d'une société où les femmes meurent sous les coups de leur conjoint, le plus souvent quand elles parviennent enfin à se libérer de leur emprise.
L'emprise, un si vaste sujet que Sarah Barukh va nous expliquer en intervenant entre les différents portraits pour nous raconter son histoire, elle qui a la "chance" d'être encore en vie pour en parler. Elle va d'ailleurs bien au-delà en donnant une lecture plurielle du féminicide grâce aux différents invités qui s'expriment tout au long du livre. Tenter de comprendre, décrypter la mécanique implacable qui conduit au féminicide en interrogeant la justice, la psychologie, la philosophie et bien d'autres champs encore permet d'agrandir notre regard sur ce "fléau".
Alors oui, j'ai lu ce livre presque en apnée, incapable parfois de reprendre mon souffle, consciente que j'avais devant moi des vies brisées. Tout au long de la lecture, l'émotion est vive, la révolte aussi.
Et au-delà de ces portraits, il y a les autres : les parents, les enfants, les amies, tous ceux que l'on appelle les victimes "collatérales". Touchées dans leur âme, c'est parfois leur corps qui les lâche aussi, leur esprit qui vacille, leurs espoirs qui s'envolent. J'ai beaucoup pensé au sublime roman de Philippe Besson "Ceci n'est pas un fait divers" tout au long de cette lecture.
Qu'on se le dise, Sarah Barukh nous livre ici un livre d'utilité publique dont je recommande la lecture même si cette dernière nous remue au plus profond de l'âme.
Commenter  J’apprécie          93
Elles s'appellent Bernadette, Joanna, Laura, Marina, Nadia, Savannah, elles sont des épouses, des mères, des soeurs, des tantes, des cousines, elles sont mortes assassinées par leur conjoint, au moment où elles avaient enfin décidé de fuir la violence conjugale, au moment où elles entrevoyaient un carré de ciel bleu et une liberté qu'elles n'avaient jamais connue, mais le monstre -qui se sentait totalement dépossédé- guettait le moment opportun pour se venger.

J'ai mis un peu plus de huit jours à lire ce livre documentaire dans lequel, Sarah Barukh, -à l'initiative de ce projet-, rend un vibrant hommage à ces 125 femmes victimes de féminicide. C'est un travail colossal, Sarah a rencontré les familles qui ont accepté de lui raconter la vie des proches qu'ils ont perdus et elle a tout consigné dans des enregistrements.

Elle a ensuite contacté des personnalités de tous horizons et chacune de ces personnalités a été chargée d'écrire l'histoire d'une de ces femmes, à sa façon, avec un poème, un témoignage, des mots posés sur des maux pour redonner vie à ces femmes qui ne verront jamais grandir leurs enfants et petits enfants.

Elles étaient toutes solaires et pétillantes, elle aimaient la vie, avaient des projets, je me suis immiscée dans le vécu de chacune, pleine d'empathie, de compassion, d'incompréhension parfois, -quand on a pas connu la violence conjugale de près ou de loin, on ne peut pas imaginer toute cette violence physique et psychologique et le phénomène d'emprise qu'elles subissent-.

J'ai aussi ressenti de la colère et une forme de révolte parce que ces femmes n'ont pas été protégées par la police alors qu'elles avaient demandé de l'aide. Les instances judiciaires n'ont pas été à la hauteur non plus, certains meurtriers étaient des récidivistes qui avaient déjà été condamnés pour faits de violences, pourquoi n'étaient-ils pas plus attentivement surveillés ? L'injonction d'éloignement a montré ses limites et ses faiblesses, en clair ça fait beau sur le papier mais dans la réalité ça ne sert strictement à rien !

Au fur et à mesure que j'avançais dans la lecture, je devais faire des pauses, j'avais besoin de reprendre un peu d'oxygène, ce livre est dur mais il est nécessaire et je crois que toutes les femmes devraient le lire.

Sarah a tout compartimenté, il y a le vécu de ces femmes qui ne sont plus des numéros ou des statistiques mais des noms et prénoms. Il y a aussi celles qui ont réussi à sortir des griffes de leurs tortionnaires, elle les appelle « le clan des sous-vivantes » c'est tout à coup comme un rayon de soleil qui viendrait crever les nuages noirs, même si on sait que ces femmes sont meurtries à jamais, qu'il faudra un long cheminement pour qu'elle retrouvent confiance d'abord en elles-même puis ensuite en l'autre.

Il y a l'interview très intéressante et instructive du Docteur Muriel Salmona, Psychiatre et Présidente de l'association Mémoire traumatique et victimologie, qui nous permet de cerner et de comprendre les mécanismes du cerveau des femmes qui sont victimes de violences, le phénomène de l'emprise qui en découle et pourquoi ces femmes n'arrivent pas à quitter les conjoints violents. Il y a aussi les conseils de l'UNFF (Union Nationale des familles victimes de féminicides) qui donne des informations pour fuir un mari violent. Il y a enfin le témoignage de Sarah qui m'a totalement bouleversée, je réalise qu'au moment des violences qu'elle subissait, rien ne transparaissait sur sa page Instagram et si parfois elle jetait une petite bouteille à la mer, j'étais bien loin de m'imaginer tout cela. Pardon Sarah de ne pas avoir su lire entre les lignes.

J'ai apprécié cette lecture qui est là pour sensibiliser, pour nous amener à comprendre et pour rendre hommage. C'est un livre important. J'ai beaucoup aimé comment chaque personnalité a fait renaître la personne qui lui avait été attribuée, comment elle lui a donné vie et sa façon pleine de pudeur de parler d'elle, de la mettre en lumière, le temps de quelques lignes.

Les bénéfices de ce livre seront reversés à l'UNFF, l'acheter c'est apporter une minuscule pierre à l'édifice afin que les familles qui sont des victimes elles aussi, puissent se reconstruire, même si plus rien ne sera jamais comme avant.
Lien : https://jaimelivreblog.wordp..
Commenter  J’apprécie          42


critiques presse (2)
MadmoizellePresse
11 avril 2023
Avec 125 et des milliers, paru en mars chez Harper Collins, la romancière Sarah Barukh livre un splendide projet éditorial dans lequel 125 personnalités – Julie Gayet, Delphine Horvilleur, Leïla Slimani, Andréa Bescond, Virginie Grimaldi, Marlène Schiappa… – racontent 125 victimes de féminicides. Plus qu’un recueil de portraits, cet ouvrage invite à une réflexion collective sur les mécanismes communs des féminicides, mais aussi sur le rôle de la société.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
MadmoizellePresse
30 mars 2023
125 et des milliers (Harper Collins) conçu et dirigé par la romancière Sarah Barukh, rassemble les textes de 125 personnalités – Julie Gayet, Delphine Horvilleur, Leïla Slimani, Andréa Bescond, Virginie Grimaldi, Marlène Schiappa… – racontant 125 victimes de féminicides.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Tu avais tout abandonné
Tes habitudes et ton métier
Avec une seule volonté :
Le rêve de pouvoir enseigner.

Claire, je ne t'ai jamais rencontrée,
Je sais de toi ce que j'ai lu,
Et ce que ta grande fille a vécu.

Tes taches de miel, ton tient hâlé,
Tes dents du bonheur écartées
Tout ce qui-de toi-doit rester.
Et ne jamais être oublié
*

Hommage à Claire Fargeas par Lilia Hassaine
Commenter  J’apprécie          160
Lorsque, avant de dormir, je l’embrasse en lui chuchotant que je l’aime plus loin que les étoiles, elle réplique « et moi je t’aime plus loin que l’univers », j’enchaîne avec « moi plus loin que l’infini », alors elle conclut invariablement par « moi maman, je t’aime plus loin que les protéines ».
Commenter  J’apprécie          30
Respecte celles et ceux qui t’aiment et accepte qu’un jour ils ne puissent plus t’aimer. Quitte ou laisse partir en chérissant ta liberté et celle des autres, ne t’accroche pas, n’entrave le choix de personne car tout passe avec le temps, on se remet de tout, même d’une absence.
Commenter  J’apprécie          20
Aimer est un verbe d’action. Être amoureux est un état, une immobilité. Aimer est un choix, une conquête, sur soi avant tout. C’est lutter contre ses peurs, son éducation, ses schémas destructeurs. C’est retenir les pièges du passé sans les laisser condamner le futur. C’est accepter de parier sur un autre qu’on ne connaît pas, qui, souvent, ne se connaît pas lui-même non plus.
Commenter  J’apprécie          10
J’avais un cerveau qui fonctionnait « normalement » et je ne pouvais pas rivaliser avec un cerveau malade qui suivait une logique échappant à tous les codes de la société. Son assurance était une arme de persuasion redoutable.
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Sarah Barukh (12) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sarah Barukh
Sarah Barukh - 125 et des milliers
autres livres classés : féminicideVoir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus


Lecteurs (340) Voir plus



Quiz Voir plus

Les emmerdeuses de la littérature

Les femmes écrivains ont souvent rencontré l'hostilité de leurs confrères. Mais il y a une exception parmi eux, un homme qui les a défendues, lequel?

Houellebecq
Flaubert
Edmond de Goncourt
Maupassant
Eric Zemmour

10 questions
562 lecteurs ont répondu
Thèmes : écriture , féminisme , luttes politiquesCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..