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EAN : 9782213704661
162 pages
Fayard (15/03/2017)
2.67/5   6 notes
Résumé :
Comme beaucoup d’entre nous, Guy Bedos avait suivi la dernière campagne de gauche, celle de François Hollande, avec espérance. Mais son regard sur ce quinquennat décevant, il l’a résumé en une phrase assassine : "Nous sommes toutes et tous des Valérie Trierweiler." À l’heure où l’extrême droite se projette au pouvoir, où tous les pronostics sont mis à mal par les rebondissements de l’actualité, il se livre de nouveau à son exercice favori : la revue de presse. Libre... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (0) Ajouter une critique
Là, on est en rase-campagne !
Il faut se souvenir du temps où Bedos était drôle.
Mais pour ça, il faut fermer fortement les yeux et surtout, ne pas lire ce "journal" de la dernière campagne présidentielle qui ne serait-ce que dans la forme, est déjà une arnaque : 150 pages dont certaines avec juste une dizaine de lignes, écrites en format 16...pour 16 € ! On a connu des donneurs de leçons mieux inspirés.
Quant aux idées : une collection de banalités humanistes rances qui sentent la caricature, les seuls mots (creux) "vraie gauche" à la bouche, l'évocation d'exil si le Pen..et une démagogie assez incroyable : n'a jamais entendu les corses parler de paillotes, évoque la préservation exceptionnelle du littoral de l'ïle...C'est bon Guy, elle ne sautera pas ta baraque.
Et quelle prescience : il admire Montebourg, se moque de Macron ("il aurait plus de chance comme acteur que comme président")...

On retrouve ça et là, quelques traits d'humour (quand même !) et on se reprend à espérer, mais quand on lit des fadaises telles " Ça concerne beaucoup de gens l'Euro (de football). Surtout ceux qui sont en manque d'euros"...ou, à propos de Sarkozy : "il a tout fait pour me séduire. Non pas sexuellement, non. Pas mon genre. Ou alors en partouze avec Carla"...on ne peut être qu'atterré.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
De l’air, de l’air ! Laissez la place aux vivants !
J’avais dit, il y a longtemps déjà, à propos de ce genre de gens : « Ce n’est pas en crachant dans les miroirs qu’on guérit de l’eczéma. Ça les démange, et ils se grattent sur la peau des autres ! »
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Que ce soit à l’école, où il ne fait pas bon être un enfant beur ou black, dans les entreprises où la plupart des emplois subalternes sont tenus par des Maghrébins ou des Africains souvent maltraités, l’urgence est d’adoucir la relation humaine à leur égard. Il y va de l’intérêt collectif de la nation. Si tous les Arabes et tous les nègres se mettaient en grève, ce serait une catastrophe nationale : plus de serveurs dans la plupart des restaurants, blocage des transports publics ou privés, des autobus au métro en passant par les trains et les taxis…
Si ce n’est pas le cœur qui parle, qu’au moins ce qui reste d’intelligence à certains citoyens français de France réap
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Macron.
Ni à droite ni à gauche. Il veut être devant.
Beaucoup plus critique, cependant, de la gauche que de la droite. Il va même jusqu’à reprocher à Hollande, son parrain, la politique économique choisie par l’actuel gouvernement…
Gonflé, le gamin ! L’économie, avant de trahir ouvertement son bienfaiteur, il en était le ministre.
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Les pauvres Africains spoliés par les marchands de pétrole qui, eux, fricotaient avec Pasqua, Omar Bongo ou Amin Dada ; les fonds secrets qui se font la malle dans les coffres des Safrane ministérielles… Et, en mai 1981, Raymond Barre – l’intègre monsieur Barre ! – qui s’était barré de Matignon avec un milliard… de centimes – un pourboire !
Pour couronner le tout : Strauss-Kahn, ministre des Finances ! Socialiste, suspecté d’avoir pris trop à cœur son rôle de responsable de l’argent à gauche, forcé à la démission… Une paille. Strauss-Kahn, le mari d’Anne Sinclair, ma copine aux yeux bleus, passible de… Menacé de… Mais silence : présomption d’innocence.
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J’étais attendu à Alger, ma ville natale, par Farid Benlagha, coproducteur d’un film que je dois tourner au printemps prochain avec, pour partenaire principal, mon ami Fellag.
Comme toujours, reçu comme un frère par les Algériennes et les Algériens que je croise un peu partout, dans la rue, à l’hôtel ou sur les marches de la casbah.
Alors qu’on claque de froid à Paris, ici, c’est le printemps. Du balcon de mon hôtel situé face à la baie d’Alger, je contemple, au bord des larmes, le ciel et la mer de mon enfance.
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Guy Bedos à propos de son livre "En attendant la bombe".
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