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Aeternia tome 2 sur 2
EAN : 9782266260497
448 pages
Pocket (10/11/2016)
4.02/5   208 notes
Résumé :
C’est l’heure du duel décisif entre les deux camps qui s’entredéchirent pour la cité mère de Kyrenia. Deux champions vont s’affronter sur le sable de l’arène, un combat qui peut faire basculer le destin d’un peuple entier. Mais quelques heures à peine avant le coup de gong, le culte du Prophète a perdu son champion.
Qui affrontera le Corbeau, redoutable gladiateur du Temple ?
Déchirée par les luttes de pouvoir, la plus grande cité du monde est au bor... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (77) Voir plus Ajouter une critique
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Ce deuxième tome me laisse un goût d'inachevé en bouche.

L'histoire est toujours intriguante et intéressante , mais je la trouve un peu en dessous du premier tome. Pourtant l'univers dans lequel l'auteur nous projète était prometteur.
J'aime toujours autant ses personnages et son humour, mais j'ai l'impression que l'auteur n'a pas terminé son travail.. juste une esquisse.

Certes un beau clin d'oeil au puits des mémoires est fait dans ce tome et justement je pense que le fait d'avoir lu cette trilogie avant ce dyptique me l'a rendu moins séduisant. Donc si j'ai un conseil a donner ce serait de lire Aeternia avant la triologie de Gabriel Katz afin de pouvoir l'apprécier à sa juste valeur.
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Je pensais que Gabriel Katz avait compris, que le message était passé lorsque je l'avais frappé sans pitié avec son propre livre, lorsque je l'avais étranglé en lui demandant (gentiment) de ne plus me faire un coup pareil. J'ai répondu à la violence par la violence, mais au fond de moi, je le savais : j'avais adoré ça. Il y a finalement quelque chose de vraiment plaisant dans le fait de pleurer et de gémir en lisant un livre, de voir tous nos espoirs pulvérisés et notre coeur piétiné sans pitié. Oui, je suis clairement un peu maso, en définitive. Alors, je ne sais pas si le but ultime de Gabriel Katz est de faire hurler à la mort ses lecteurs avant de les abandonner, gémissant et pleurnichant en position foetale pendant des jours (true story) mais le fait est qu'il y arrive très bien. Et même lorsque le pauvre lecteur pense qu'il a déjà assez souffert et qu'il a droit à un peu de bonheur... Eh bien en fait, non.


Vous avez sûrement remarqué qu'en fantasy, on a l'habitude de voir l'honneur et l'honnêteté récompensés, les méchants punis, les trahisons vengées, ce genre de choses qui rend la vie acceptable ? Eh bien sachez que si vous lisez du Gabriel Katz, vous pouvez laisser tous ces clichés derrière vous : vous allez souffrir. le premier tome vous l'a sûrement fait comprendre, bien sûr, mais ne croyez pas que L'envers du monde est un roman apaisant qui chercherait à se réconcilier avec ses lecteurs : NON. La marche du prophète n'était que la partie immergée de l'iceberg, et nous, pauvres lecteurs, fonçons dessus avec entrain.


Clairement, j'ai adoré ce second tome et il a été, comme le fut le premier, un coup de coeur. Tout simplement parce que ça fait du bien de ne pas voir le roman se dérouler comme on l'espère, de pleurer, de s'étonner, de maudire l'auteur en refusant d'accepter les événements qui se produisent. Il en faut du cran pour oser infliger à ses personnages ce que Gabriel Katz leur fait subir, pour oser offrir ce résultat traumatisant à ses lecteurs. Et le pire, c'est qu'on ne peut pas lui en vouloir (enfin, pas trop) parce que tout ce sadisme est au service d'une histoire très bien ficelée et passionnante.


Je pense que je n'ai pas vraiment besoin d'en dire plus pour vous convaincre que cette saga vaut le coup, et pas qu'un peu. Mais il y a pourtant encore beaucoup de choses à dire dessus... Comme par exemple que j'ai adoré la galerie de personnages (sauf une personne. Nous y reviendrons. Oui, vous voyez très bien de qui je parle si vous avez lu le roman) qu'ils soient du côté des « gentils » ou des « méchants » parce que, justement, aucun camp n'est le bon et personne n'est foncièrement bon ou mauvais. Mais je dois dire que Desmeon, l'homme au coeur de l'histoire, a remporté haut la main le concours et reste le personnage que j'ai pris le plus de plaisir à suivre. Oh, il est insupportable, tout sauf modeste et incorrigible... mais très, très attachant. Sauf apparemment aux yeux de l'homme qui lui a donné la vie, monsieur Gabriel Katz himself, hum hum.


Les autres personnages ne sont bien sûr pas en reste, mais je vous laisse les découvrir et apprendre à les aimer et à les détester de votre côté. En revanche, je suis bien obligée de placer ici un mot pour Nessirya. Elle a fait une entrée fracassante dans mon top 10 des personnages les plus détestables de tous les temps à qui je souhaite plus de souffrances qu'aucun être humain ne peut en endurer. Oui, c'est violent, mais c'est mérité. Bitch !


L'intrigue, quant à elle, prend une jolie tournure que je n'attendais pas forcément, du moins pas de la façon dont elle arrive, après la fin du second tome. Tout m'a enchantée, pas forcément en me remplissant de joie et d'amour, mais même quand j'ai souffert et pleurniché, je n'ai pas lâché le roman à un seul moment. Je suis même passée par certaines phases du deuil, genre, le déni ( « Non, il n'a pas fait ça, il n'aurait pas osé, non, j'ai mal lu, je verrais au prochain chapitre, c'est une feinte... AH LE CHENAPAN » et bien sûr, je n'ai pas dit chenapan) ou la colère et la tristesse, bien sûr. Mais pas l'acceptation. Pas encore. Preuve en est le temps que j'ai mis à vous écrire cette chronique et le nombre de livre que j'ai lu depuis que j'ai terminé Aeternia (ZÉRO!)


Je peux aussi me la péter un peu (je suis ici chez moi, je fais ce que je veux) en vous disant que j'avais plus ou moins deviné le « truc » et que pourtant, quand la grosse baffe arrive, elle m'a quand même fait super-mal. Et quand les autres baffes, épinglées « révélation de folie » ou bien « souffre, lecteur ! » arrivent, on est déjà par terre à sangloter, mais on prend quand-même. Rien ne vous sera épargné, de la tristesse profonde à la rage, en passant par le désespoir le plus total... le tout assaisonné de quelques jolis moments de joie, et de beaux moments drôles tout de même !


Alors, voilà. J'ai mis quinze jours à écrire cet avis, et autant de temps à passer à autre chose. Je suis hyperémotive, ça a bien sûr dû jouer, mais le fait est que j'ai tant apprécié ma lecture qu'elle m'a donnée une panne de lecture sévère, ce qui ne m'arrive finalement pas si souvent. C'est dire si j'ai été touchée et transportée par L'envers du monde. Certes, Gabriel Katz m'a frappée alors que j'étais déjà à terre (métaphoriquement, calmez-vous!) mais je ne lui en veux pas du tout (encore une fois, je dis ça pour vous mais en vrai, je veux le secouer en hurlant « pourquoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ?! ») et je suis même prête à retenter l'expérience au plus vite. Vous qui avez la chance de pouvoir découvrir cette saga, n'hésitez plus ! Vous aurez mal, mais vous ne le regretterez pas une seule seconde. Il y a des choses qui valent la peine que l'on souffre pour elles, non ?
Lien : http://allison-line.blogspot..
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Après un premier tome enthousiasmant, Gabriel Katz clôt son diptyque « Aeternia » avec un second volume de très bonne facture mais légèrement moins captivant que le précédent. Cette fois l'heure de l'affrontement a véritablement sonné entre les disciples du culte de la Grande Déesse et les adorateurs d'Ochin venus porter la « bonne parole » dans la cité de Kyrénia : d'un côté une institution séculaire rongée par la corruption dont les membres ne pensent plus qu'à s'enrichir ; de l'autre un culte ayant pour lui l'attrait de la nouveauté mais dont les ministres font preuve d'au moins autant de cynisme et d'ambition que leurs rivaux. On suit une fois encore plusieurs protagonistes ce qui nous permet d'avoir une vue d'ensemble des intrigues fomentées par les deux camps. Comme dans le précédent opus c'est Desmeon, le guerrier crâneur et insouciant, qui tire son épingle du jeu, le personnage se révélant plus complexe et plus attachant que ne le laissaient croire ses premières apparitions. Les personnages secondaires ne sont pas en reste et certains parviennent même à surprendre, se révélant moins caricaturaux et plus profonds que prévus. Les dialogues sont quant à eux toujours aussi réussis, quoiqu'un peu moins légers que dans le précédent tome : la plupart des répliques font mouche et l'humour est heureusement toujours présent même si plus discret.

Le premier tome comportait déjà son lot de scènes tragiques mais « L'envers du monde » est encore plus dramatique si bien que ceux qui apprécient d'ordinaire les « happy-end » risquent d'être un peu déçus. L'auteur ponctue son roman de nombreux rebondissements rarement imprévisibles mais néanmoins saisissants pour le lecteur qui ne s'attendait peut-être pas à ce que le sort de tel ou tel personnage soit scellé de façon aussi brutale. On devine cela dit assez vite où l'auteur veut nous emmener si bien qu'on est jamais véritablement surpris ou choqué par ses révélations qui manquent parfois de finesse. le final est pour sa part un peu frustrant car il laisse plusieurs choses en suspend : les motivations de certains personnages ne sont pas toujours bien explicitées et certaines révélations ou confrontations qu'on attendait avec impatience depuis la fin du premier tome n'ont finalement pas lieu. L'auteur se garde bien une fois encore de proposer une vision purement manichéiste du conflit opposant ces deux cultes ennemis. Les religions en prennent d'ailleurs assez souvent pour leur grade, de même que le « peuple » en général, fustigé pour son ignorance crasse et sa passivité devant les manipulations peu subtiles des puissants pour les maintenir dans un état de soumission permanent.

Un second tome légèrement en dessous du précédent mais malgré tout très divertissant. Sans être vraiment originale, l'intrigue se tient relativement bien et c'est avec intérêt qu'on suit le parcours des différents protagonistes dont la plupart sont suffisamment attachants pour nous faire passer un agréable moment de lecture.
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L'envers du monde poursuis le récit d'Aeternia. On était resté sur un événement uppercutant, il me tardait de savoir si c'était du lard ou du cochon. Mais ce serait dommage de déflorer cela aux futurs lecteurs...

Dans ce second tome, l'antagonisme des tenants de la Grande Déesse et des sectataires d'Ochin monte de quelques crans jusqu'à tendre à la confrontation pour la possession de Kyrenia et de l'espace divin.
Gabriel Katz dépeint avec efficacité les intrigues, complots, manigances et trahisons qui agitent le Temple, un vrai noeud de vipères dont certaines sont plus dangereuses que d'autres. du côté Ochin, ce n'est guère mieux car les grands prêches du Prophète au nom de L'Oeil (je suis comme Desmeon, quand Annoa annonce que L'Oeil va parler ou qu'il faut écouter L'Oeil, ça me fait doucement rigoler) masquent un cynisme et des objectifs assez dérangeants - ou dérangés, au choix.

Le personnage de Desmeon d'ailleurs prend de l'amplitude dans ce volume. Ses insolences n'ont d'égales que la virtuosité de ses lames. Son âme mercenaire mise en avant dans La Marche du Prophète est tempérée ici par d'autres aspects de sa personnalité.
D'autres font preuves de plus d'ambiguïté, voire de veulerie. A l'image de Desmeon, Varian du côté du Temple, s'étoffe. le naïf orphelin campagnard s'est dégrossi à se frotter contre les Hauts Prêtres. Il apprend avec une redoutable efficacité à glisser entre les vipères en évitant leur venin à défaut des coups de dents.

Dans l'ensemble, L'envers du monde se lit avec plaisir bien que je l'aie trouvé un chouïa en deçà du précédent. Certaines parties sont passées trop vite alors que d'autres s'étendent sans nécessité véritable. Un manque d'équilibre dans le récit. Il réserve néanmoins quelques surprises de taille. Une chose est sûre, on ne peut accuser Gabriel Katz de rester sur un manichéisme basique: les bons gagnent et les méchants sont punis. de plus, pour déterminer les camps, à un moment, ça devient vite compliqué.

L'image des cultes et des religions en général ressort plutôt froissée de ce diptyque. On sent une manipulation du peuple des deux côtés, Ochin s'adressant au plus grand nombre des petites gens. Une faim sociale et de meilleure situation répond aux appels des prêtres et prêtresses. Les émeutes dans Kyrenia font penser aux épisodes de grandes jacqueries qui secouèrent de violents soubresauts l'Ancien Régime occidental.

Les deux volumes d'Aeternia, en dépit de détails qui font défaut sur certains points dans le second, me donnent envie de découvrir plus avant l'oeuvre de Gabriel Katz. Sans doute sa première trilogie fera partie de mes prochaines lectures.
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J'ai eu la chance de recevoir le Tome 2 " l'envers du monde" de la part de Scrinéo que je remercie vivement une nouvelle fois, et sitôt reçu, je me suis enchaînée la duologie.

Dans le tome 1, on découvre Leth Marek, un champion d'arènes qui est sur le point de prendre sa retraite, afin de rejoindre avec ses fils la grande ville Kyrenia pour leur faire bénéficier d'une éducation privilégiée. Mais une rencontre sur la route va bouleverser l'avenir de Leth Marek. Dès lors, ce dernier va découvrir un monde insoupçonné, dans lequel se déroule une guerre des cultes des plus fanatiques.

Le lecteur est captivé dès les premières pages, puisqu'on découvre Leth Marek à la fin de son dernier combat. On apprend très vite sa situation financière et familiale.
Comme toujours, l'écriture de Gabriel Katz est intuitive, entraînante et le roman étant composé de courts chapitres, cela en devient très vite un page turner. Dès le chapitre 4 on découvre ce qui va chambouler l'avenir du champion et cela a été la première "baffe-surprise" de la duologie, et c'était loin d'être la dernière...

On découvre petit à petit la vie à Kyrénia : d'un côté, le culte de la Déesse, dans lequel va s'engager notamment le jeune Varian, un garçon plein d'ambition et courageux. Mais face à eux se trouve le culte d'Ochin, et les deux communautés pratiquantes et fanatiques se vouent une guerre depuis très longtemps.. Cela vous rappelle des faits d'actualité? parce que pour moi, j'ai eu l'impression d'avoir des échos des guerres d'aujourd'hui et d'antan. Cela est très bien mené et en aucun cas lourd de religion. On découvre surtout comment le peuple peut être manipulé par des croyances et un peu de magie.... Je n'en dirai pas plus à ce sujet :) Sans parler que des Rédempteurs profitent de toute cette agitation pour semer encore plus de zizanie parmi le peuple

Au milieu, va se trouver notre héros. Leth Marek, qui par le cours des évènements, va devenir une arme de l'un des cultes. Il va rencontrer plusieurs personnes, notamment Desméon, un autre gladiateur, ou Nessyria qui fait partie du culte d'Ochin dirigé par le prophète Annoa.

En parallèle, on va suivre l'histoire de Synden, une prostituée de luxe, qui va être témoin du meurtre d'une personne très importante et qui va donc voir sa vie en danger. Poursuivie par les assassins, elle va chercher refuge auprès d'un des deux cultes ...

Ainsi, les histoires de Varian, Leth Marek, Desméon, Nessyria et Synden vont s'entrecroiser pour se retrouver au fil de l'histoire. L'histoire est narrée à la 3e personne, et par le regard de l'un de ces personnages. Ce qui rend l'ensemble encore plus dynamique!

Je n'ai pas de préférence tranchée comme certaines de mes copinautes, chacune de ces personnes étant bien approfondie d'un point de vue psychologique. Leth Marek pourrait être considéré comme un gros nounours au coeur tendre malgré son physique, sa réputation et sa hâche, Desméon est le marrant de la troupe, celui qui apporte de la légèreté peu importe les situations dans lesquelles il se retrouve, Varian est un jeune homme qui est arrivé au bon endroit au bon moment pour grimper rapidement les échelons, même si cela l'entraîne en première ligne du combat, Nessyria est une personne bien plus complexe qu'elle n'y paraît, quant à Synden, c'est une femme à l'histoire très touchante et que j'ai eu envie de protéger...

L'intrigue du roman est complexe, puisque les choses ne sont pas si simples qu'elles pourraient en paraître. Ici, ne cherchez pas de manichéeisme, vous n'en trouverez point et c'est également un élément qui m'a beaucoup séduit. Chaque personnage, nuancé, a commis des choses peu recommandables. Mais on s'attache à eux (ou presque) , et on peut comprendre les engagements de chaque fidèle.. Jusqu'à ce qu'on apprenne la vérité, rien que la vérité.. Cela met notamment un point d'honneur à la fin du tome 1.

Vu les réactions des lecteurs, je m'attendais à la fin, tout en gardant espoir "Non! Gabriel ne va pas faire ça!" et bien si il l'a fait, et m'a mis une double "baffe-surprise" a la fin du 1!

J'ai donc enchaîné directement sur le tome 2, différent du 1 mais tout autant passionnant! Et là, on entre encore plus dans la violence des guerres; Il va y avoir des trahisons, des vengeances à prendre, un petit chien toujours joyeux quand il retrouve son maître, de la magie noire, et des courses poursuites!

Je ne lui ai trouvé aucun temps mort! J'ai adoré les descriptions faites par l'auteur. Sans être trop détaillées ni imposantes, je me suis facilement repéré dans cette nouvelle ville et les forêts annexes.

J'ai également adoré les petits clins d'oeil aux autres romans, avec notamment une phrase comme "Non mais tu m'a pris pour le roi de Woltan"! Cela rappelle au lecteur que tout se passe dans le même univers!

En conclusion, vous l'aurez compris, cette duologie est un coup de coeur, comme le fut les autres romans de Gabriel Katz. A tel point que je ne sais plus du tout lequel vous recommandez pour découvrir l'auteur. Ici, on a une série en deux tomes, très addictive, dans laquelle se déroule une guerre de cultes menées par des fanatiques, l'intrigue est complexe et plaira aux novices comme aux vétérans de fantasy. Les personnages sont fouillés, loin d'être manichéens, et au milieu de la violence décrite, on a l'humour de Desméon qui apporte de la légèreté, ainsi que la présence de ce petit chien qui rend l'histoire un peu plus mignonne! Ce roman est plein de surprises, de révélations auxquelles on pourrait s'attendre.. ou pas! La fin de la duologie est elle même une grande surprise que je n'avais pas du tout vu venir! J'ai dévoré pas loin de 700 pages en 4 jours, et cela faisait très longtemps que ça ne m'était pas arrivé ! Merci Gabriel !!
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critiques presse (1)
Elbakin.net
18 février 2016
Un roman prenant, poignant à certains égards, et d’une profondeur qu’on ne soupçonnait pas à la lecture du premier tome.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
- Ben alors? lança Desmeon, frondeur. T'es déjà crevé?
- Tu vas voir si je suis crevé, cracha le Corbeau.
- C'est tout vu... Tu vas moins vite que ma grand-mère avec le vent de face.
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Rien n’est plus facile que de faire entendre à un minable qu’il est un génie méconnu.
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- La seule femme dont un prêtre ait besoin, c'est la Déesse, et elle est là jour et nuit.
- C'est pas elle qui te réchauffera les pieds en hiver!
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Il la regarda rire, se forçant à se fixer sur ses yeux. Cette fille était la tentation incarnée... Comment faisaient-ils, tous, pour résister à la chair ? Au monastère, l'idée de s'unir pour la vie à une déesse immatérielle ne semblait pas si difficile, mais en ville, l'épreuve était insurmontable.
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On peut enfermer des hommes, chroniqueur, pas des idées.
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Videos de Gabriel Katz (28) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Gabriel Katz
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