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Alex Rider tome 1 sur 11
EAN : 9782013224635
214 pages
Hachette (10/10/2007)
3.89/5   538 notes
Résumé :
ALEX RIDER

STORMBRAKER
ANTHONY HOROWITZ

Suite à la mort de son oncle et unique parent, Alex Rider, quatorze ans, voit son existence tranquille de collégien londonien complètement bouleversée : il est enrôlé, contre son gré, par le MI 6, les services secrets britanniques. Sa première mission : découvrir ce qui se cache derrière le Stormbreaker, un nouvel ordinateur ultra-puissant.
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Critiques, Analyses et Avis (83) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai reçu ce livre en cadeau lors de l'achat de 2 J'ai lu Fictions. L'histoire a l'air très intéressante sur le thème du policier :-)

Le début du roman est plutôt prévisible grâce à tous les indices que voit Alex, le personnage principal. On se doute que malgré son jeune âge (14 ans), il va se jeter tête baissée dans la recherche de la vérité concernant son oncle et donc dans les ennuis. Qui est-il vraiment ? Quel est son vrai métier ? Pourquoi toutes ses affaires ont disparu de chez lui ?

Je pense même que ces indices ont été volontairement laissés par les employeurs de son oncle de façon à ce qu'Alex devienne leur espion malgré lui. Au cas où, ils avaient également d'autres moyens de pression pour pouvoir l'utiliser à leur avantage...

Malgré son âge, Alex est très curieux de nature et s'intéresse à différents domaines. Grâce à son oncle, il a également appris différentes langues et un sport de combat, entre autre chose.

J'ai un avis plutôt mitigé pour ce roman. L'histoire est intéressante malgré quelques incohérences et invraisemblances comme Alex allant dans un camp d'entraînement pour agents spéciaux en Angleterre...

J'ai mis longtemps à mettre le doigt sur ce qui me gênait le plus dans ce livre. C'est lié à l'écriture, de temps en temps, l'auteur rajoute des bouts de phrases ne servant à rien en mon sens. Ce livre est destiné aux enfants de 9 à 12 ans mais ce ne sont quand même pas des abrutis. Ces bouts de phrases sont des précisions sur la situation d'Alex mais qui pour moi tombent sous le sens et ne sont pas du tout utile à la narration. Cela l'alourdit un peu plus. Il y a également quelques phrases où on se demande s'il n'y a pas eu un problème de traduction car même en relisant plusieurs fois le paragraphe, je n'en comprenais toujours pas le sens.

Au vu de ça, je ne lirais très certainement pas la suite des aventures d'Alex Rider. L'auteur a voulu faire d'Alex un genre de James Bond, sauf que dans certaines situations, c'est tout sauf réaliste... Je pense que dans le même genre, je tenterais plutôt la série « A comme Association » qui remporte plus de suffrages sur Babelio :-)

Vous l'aurez donc compris que je ne vous conseille pas vraiment de lire cette série, à moins que vous n'ayez l'âge adéquat ^^ Mais comme on dit : « Chacun ses goûts » donc à vous de juger cette série...

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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« You're never too young to die. »

Alex Rider a la surprise de sa vie, lorsqu'il apprend que son oncle Ian s'est tué dans un accident de voiture en rentrant du boulot. Les circonstances ne collent pas au personnage, et tout semble remonter à la Royal & General, une banque douteuse aux employés douteux. Alex décide de mener sa propre petite enquête, et se fait prendre la main dans le sac en train de fouiller dans le bureau du patron de la banque. Ce qu'il va apprendre va dépasser son imagination...

Et bien, c'est un joli petit roman d'espionnage jeunesse que nous avons là. L'histoire commence tout de suite, un bon point, et on y rentre facilement dedans, un autre bon point non négligeable ! L'auteur Anthony Horowitz dit dans sa postface avoir eu l'intention de donner vie à un James Bond adolescent, et il a rempli son défi avec brio.

Au départ, j'avais un peu peur que Alex Rider ressemble à une autre saga culte d'espionnage jeunesse, Cherub. Finalement, pas du tout ! Là où dans Cherub, il faut mobiliser 15 agents secrets pour recueillir des infos sur le trafiquant de drogue du coin, dans Alex Rider, c'est un ado solo l'asticot qui est propulsé dans une mission impliquant généralement un milliardaire véreux ayant pour ambition de conquérir le monde. de même, Alex Rider est embauché de force par les services secrets anglais et est le seul ado à y travailler ; contrairement à Cherub, qui est une véritable usine à fabriquer des bébés espions (consentants, eux). Pas du tout le même genre, donc.

Passons au héros, le fameux Alex Rider. Je l'ai quand même trouvé un peu bêta par moments, ainsi que le Premier Ministre lui-même. La suite se fera sous balise spoiler !

Mais par-dessus tout, je soupçonne Anthony Horowitz de faire du placement de produit pour Mercedes. Regardez un peu la tartine de compliments qu'il écrit en faveur des modèles de voitures de l'entreprise (traduction maison, donc je m'excuse des possibles inexactitudes) :

"La Mercedes S600 gris argenté parcourait l'autoroute en direction du sud. Alex était assis sur le siège passager avec tant de cuir souple autour de lui, qu'il pouvait à peine entendre le moteur de 6 litres de 389 chevaux, qui le portait vers le complexe Sayle près de Port Tallon, Cornwall. À quatre-vingts milles à l'heure, le le moteur ne faisait que tourner au ralenti. Mais Alex pouvait sentir la puissance de la voiture. Cent mille livres d'ingénierie allemande. Une touche du chauffeur au visage de marbre, et la Mercedes bondissait en avant. C'était une voiture qui n'avait cure des limites de vitesse." Rien que ça...

Je crois que j'ai dit tout ce que j'avais à dire de notable sur ce bouquin. Un court livre palpitant qui ne laisse pas le temps de souffler. Les quelques invraisemblances que j'ai relevé ne doivent pas faire oublier que j'ai adoré. Pour ceux qui me lisent et qui se demandent pourquoi mes citations sont en anglais, la raison est toute simple : j'ai lu le livre en V.O. D'ailleurs, ma note de 5 étoiles sur 5 est notamment là pour "remercier" les éditions Harrap's Yes You Can d'exister ; je vous recommande leur collection ! Parfait pour débuter en anglais comme moi.

Bonnes lectures ! ;-)
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"Stormbreaker" est un sympathique roman d'espionnages jeunesse.
Quoiqu'un peu convenu, il constitue un parfait divertissement, dépourvu de toute prétention.
Le talent d'Anthony Horowitz réside dans son art de raconter des histoires banales de façon à les rendre intéressantes. Il a d'ailleurs un vrai art de raconter, de narrer, de conter.
En outre, il existe dans "Stormbreaker" de vrais mystères qui semblent souvent impénétrables.
Un bon roman d'espionnage jeunesse, donc.
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Alex Rider vit tranquillement chez son oncle, un banquier à la vie simple mais peu présent.

Lorsqu'on annonce au jeune homme que celui-ci est mort dans un accident de voiture banal, Alex n'y croit pas et enquête. Il va découvrir rapidement que son oncle n'était pas du tout banquier.

Ayant fait preuve d'un grand talent pour ses recherches, l'agence secrète décide d'employer le neveu pour terminer le travail de l'oncle.


Voilà ce que m'annonçait ce livre : un roman ado avec quelques aventures inexistantes.
Point du tout.
Ce roman commence à dater, et il ne ressemble pas à la plupart de ceux qu'on nous met sous le nez de nos jours.
Notre héros n'est pas parfait (quoique), se prend des coups, se loupe mais vit quand même de sacrées aventures qui nous entraînent derrière.
Bon, n'attendez pas non plus un James Bond version ado mais on s'en approche.
Le méchant est méchant, les services secrets sont…non, pas secrets, mais typés boulets face au héros, l'aventure est simple mais difficile à réaliser pour un ado ordinaire.
Bref, un roman, comme je vous le disais, qui parait bateau mais qui possède ce grain de puissance qui empêche le lecteur de s'ennuyer.
L'écriture doit aussi jouer un rôle important puisque le style n'est ni trop chargé ni trop simple et qu'il ne donne pas l'impression au lecteur d'être pris pour un sous-doué en lecture et en grammaire…Comme certains…Je ne nomme personne…car beaucoup de crabes…Brrreeff.
Ce premier tome a été adapté au cinéma et j'ai commencé le visionnage mais celui-ci ne m'a pas assez plu pour que je le continue.
A savoir que notre héros Alex Rider apparaît dans une suite assez conséquente, ce qui réjouira ceux qui ont apprécié le roman. Pour ma part, je m'arrête là…Je ne trahirai jamais James…
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Premier tome de la série des Alex Rider, une sorte de James Bond adolescent. Catapulté bien malgré lui dans l'univers très secret et mystérieux des espions anglais, le jeune Alex se voit confier la reprise d'une enquête menée auparavant par son oncle sur Harod Sayle et ses médiatiques Stormbreaker.
Le style est fluide, les personnages très cadrés, l'intrigue ciblée. Bref, on sait d'emblée où on met les pieds avec ce roman et il se conforme parfaitement aux règles du genre du roman d'espionnage. En ce sens, je pense qu'il peut être une belle initiation pour les jeunes lecteurs qui désirent découvrir ce pan de la littérature, ils ne seront pas perdus. Mais j'avoue que pour moi, c'est un peu convenu. Je ne suis pas le public cible de cet opus que je situerai plus vers les collégiens (de l'âge d'Alex en fait). D'Horowitz, je préfère nettement les récits historiques dans lesquels mon âme de lectrice adulte s'amuse beaucoup plus. C'est une lecture agréable et qui le serait certainement plus si je l'avais lue en classe de 4ème.
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
" Mon bureau est là-bas. ", indiqua Crawley en pointant le doigt.
Ils avaient dépassé trois portes lorsque Alex se figea. Chacune d'entre elles s'ornait d'un nom, et la dernière en portait un qu'il connaissait bien :
1504-Ian Rider

Des lettres blanches sur une plaque en plastique noir.

Crawley hocha tristement la tête.
" Oui. C'est ici que travaillait votre oncle. Il va beaucoup nous manquer.

- Je peux entrer ? demanda Alex.
- Pourquoi ? s'étonna-t-il.
- Ça m'intéresse de voir son bureau.
- Désolé, soupira Crawley. La porte est fermée à clé et je ne l'ai pas. Une autre fois, peut-être."

Il fit un nouveau geste du bras. Il utilisait ses mains comme un magicien qui va faire apparaître un éventail de cartes à jouer.
" Mon bureau est juste à côté du sien. Ici."

Ils entrèrent au 1505. C'était une grande pièce carrée , avec trois fenêtres donnant sur la station de métro. À l'extérieur, une ondulation de bleu et de rouge attira l'attention d'Alex, qui se rappela le drapeau qui flottait sur la façade de l'immeuble. Le mât était juste à droite. Dans la pièce il y avait une table de travail avec un fauteuil, deux canapés, un réfrigérateur dans un angle, quelques gravures sur les murs. Un bureau très ennuyeux de directeur. Idéal pour un directeur ennuyeux.

" Asseyez-vous, Alex, je vous prie, dit Crawley en allant vers le réfrigirateur. Je peux vous offrir quelque chose à boire?"
[...]
Il fut interrompu par la sonnerie du téléphone et fit un geste d’excuse à Alex. Il causa quelques minutes puis raccrocha.

" Je suis désolé, je dois redescendre à la réception. Ça ne vous dérange pas ?
- Allez-y, dit Alex en s'installant confortablement sur le canapé.
- J'en ai pour cinq minutes."
Après un dernier signe d’excuse, Crawley quitta le bureau.

Alex attendit quelques secondes. Puis il versa le pseudo-Coca dans une plante verte, se leva, se dirigea vers la porte, et sortit dans le couloir. tout au bout, une femme chargée d'une pile de dossiers apparut, puis disparut derrière une porte. Aucune trace de Crawley. Il gagna rapidement la porte voisine et tourna la poignée. La directeur du personnel avait dit la vérité. C'était fermé à clé.

Alex revint dans le bureau 1505. Il aurait donné n'importe quoi pour passer quelques minutes seul dans celui de Ian Rider. Apparemment quelqu'un jugeait son travail suffisamment important pour le tenir secret. Ils s'étaient introduits dans sa maison et avaient littéralement vidées ses affaires. La pièce fermée à clé lui fournirait peut-être une explication. Dans quoi Ian Rider était-il exactement impliqué ? Et était-ce la raison pour laquelle on l'avait tué?

Le drapeau claqua au vent et Alex s'approcha de la fenêtre. Le mât était fixé sur la façade de l'immeuble à mi-distance exactement entre les deux bureaux mitoyens. S'il parvenait à l'atteindre, il pourrait sauter sur le rebord qui courait le long de la façade devant la pièce 1504. Évidemment, il était au quinzième étage. S'il sautait et ratait son coup, il atterrirait environ soixante-dix mètres plus bas. C'était stupide. Ça ne valait même pas la peine d'y songer.

Alex ouvrit la fenêtre et l'enjamba. Le mieux était de ne penser à rien. Il réussirait. Après tout, s'il s'était trouvé au rez-de-chaussée, ou sur un portique d'escalade dans la cour de l'école, c'aurait été un jeu d'enfant. Ce qui rendait la chose terrifiante était le mur de brique qui tombait à pic jusqu'au trottoir, les voitures et les bus qui roulaient tout en bas comme des miniatures, et le vent qui lui fouettait le visage. Ne pas y penser. Le faire.

Alex se laissa glisser sur la saillie devant le bureau de Crawley. Les mains derrière le dos, il s'accrochait au rebord de la fenêtre. Il respira à fond, et sauta.

Une caméra installée dans une pièce de l'immeuble d'en face le filma alors qu'il s'élançait dans le vide. Deux étages plus haut, Alan Blunt était toujours assis devant sont écran de contrôle. Il rit. Un rire sans humour.

"Je vous l'avais dit. Ce garçon est extraordinaire.
- Il est fou, vous voulez dire, rétorqua la femme.
- C'est peut-être ce qu'il nous faut.
- Vous allez rester assis là à le regarder se tuer ?
- Je vais rester assis là à espérer qu'il survivra."
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Alors pourquoi se sentait-il si triste ? La réponse est simple. Blunt l'avait enrôlé de force. Finalement, la grande différence entre lui et James Bond n'était pas l'âge. C'était la loyauté. Autrefois les espions faisaient ce qu'ils faisaient parce qu'ils aimaient leur pays, parce qu'ils croyaient au bien-fondé de leur action. Mais lui, on ne lui avait pas demandé son avis. Aujourd'hui les espions n'étaient pas employés. Ils étaient utilisés.
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- Que ferez-vous si Yassen tue Alex ?
- Ce n'est pas mon problème, madame Jones. Si le garçon se fait tuer, nous aurons la preuve définitive qu'il se passe des évènements anormaux. Cela me permettra au moins de différer le projet Stormbreaker et de m'intéresser de très près à ce qui se passe à Port Tallon. Dans un sens, cela nous arrangerait qu'il se fasse tuer.
- Il n'est pas encore prêt. Il va commettre des erreurs. Les autres ne tarderont pas à découvrir qui il est, soupira Mme Jones. Je crois qu'Alex n'a aucune chance.
- Je suis d'accord avec vous », répondit Blunt en se détournant de la fenêtre.
(…)
« Il est trop tard pour s'inquiéter de ça maintenant, reprit-il. Nous n'avons plus le temps. Arrêtez son entraînement et expédiez-le sur place. »
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Alex Rider est un adolescent ordinaire de quatorze ans, orphelin, qui vit chez son oncle et sa gouvernante Jack, sa tutrice et meilleure amie. Il mène une vie tranquille jusqu'à la mort brutale de son oncle Ian, qui n'était pourtant qu'un simple banquier. Peu après sa mort, Alex est convoqué à la banque Royale & Générale, où travaillait son oncle, pour y entendre la lecture du testament de ce dernier. C'est alors qu'Alex découvre que son oncle Ian était en réalité un espion. Malgré son jeune âge, voici Alex Rider enrôlé à son tour par le MI 6, les services secrets britanniques, pour qu'il puisse finir ce qu'avait commencé son oncle : découvrir ce qui se cache derrière le Stormbreaker, un nouvel ordinateur ultra-puissant qui inquiète le MI 6. Malgré l'aide de Smithers, qui lui fournira des gadgets d'agent secret, son expérience en karaté et son courage, Alex passera plusieurs fois à deux doigts de la mort. Pourtant, il est bien décidé à ne pas décevoir le MI 6.
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A l'instant même où la vérité se faisait jour dans son esprit, Alex sentit un objet dur et froid contre sa nuque. Il n'avait pas entendu la porte s'ouvrir derrière lui. Une voix douce lui souffla quelque chose à l'oreille et il se raidit.
"Lève-toi. Mets tes bras le long du corps. Si tu fais le moindre geste brusque, je te colle une balle dans la tête."
Il se retourna lentement. Un garde se dressait derrière lui, arme au poing. Alex avait vu la même scène cent fois au cinéma et à la télévision, et il eut un choc en constatant à quel poing la réalité était différente. Le pistolet était un Browning automatique. Une légère pression de l'index sur la détente, et une balle de neuf millimètres lui ferait exploser la cervelle. Le seul contact de l'acier lui donnait la nausée.
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