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Antonin Maillefer tome 2 sur 2
EAN : 9782221084731
330 pages
Robert Laffont (16/03/1998)
4.13/5   15 notes
Résumé :
1911.
Au village de Cassagnettes, Antonin Maillefer ne vit plus que dans l'espoir du retour de sa mère, la belle Adélaïde, partie pour l'Afrique. Une carte postale... une deuxième... puis plus rien. Protégé par l'institutrice, Madame Alice, Antonin poussera vaillamment ses études jusqu'au brevet. Et c'est grâce a elle encore qu'après l'armistice de 1918 il deviendra l'héritier de la Bastide, le beau domaine où règne Jules, l'ancien légionnaire. Mais quel secr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Avec son écriture fluide, Jean-Claude Libourel, nous raconte l'histoire d'Antonin Maillefer que sa mère, la belle Adélaïde, a laissé en 1911 le jour de son onzième anniversaire, décidée à rejoindre l'Afrique "tu verras lui dit-elle quand j'aurai assez d'argent, je reviendrai te chercher, et nous serons heureux toi et moi.....".
Madame Alice, son institutrice femme sans enfants, le prend sous son aile et l'élève avec beaucoup d'amour ; tandis que lui continue sa vie dans l'espoir du retour de sa mère.
C'est un très beau roman sur un fond d'amour, de solitude, de première guerre mondiale, d'héritage, une énigme que nous ne découvrons qu'à l'issue de ce beau roman.
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Je lu les trois tomes. J'ai bien aimé. Je me souviens vaguement l'histoire d'un petit gars, élevé à la campagne par sa grand mère. Sa mère mène la vie ailleurs, en ville... Elle vient de temps en temps le voir et repart vite. Il est toujours dans l'attente de la revoir. Un jour elle ne reviendra pas...
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Délicatement, j'ouvre l'enveloppe. J'en sors une carte postale, un peu abimée dans un coin, repeinte de couleurs vives. C'est la photo d'une rue, dans une ville, avec des petites maisons toutes sales. Sur un côté, deux palmiers rabougris et un homme habillé d'une grande robe. Il tient un âne par la bride. L'âne, il est tellement maigrichon qu'on n'en voudrait pas pour tout l'or du monde. De la rue non plus, on n'en voudrait pas, même si on vous la donnait toute.
Voilà, que je me dis, voilà toute l'Afrique des rêves d’Adélaïde. La pauvre, elle a dû être déçue, si c'est tout ce qu'elle a trouvé au bout du voyage. De penser à elle, seule au milieu de cette rue, avec ses bottines de chevreau qui pataugent dans la boue, et cet âne qui ne la regarde même pas, j'en ai les larmes aux yeux.
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- Antonin, me dit-elle, nous allons au-devant d'une guerre.
- Comment le savez-vous, madame Alice ?
Elle ne répondit pas. Elle regarda seulement le soleil qui en couchait en enflammant la cime des arbres.
- Quel dommage, dit-elle simplement, de gâcher un si bel été.
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- Petit, me dit-elle, les hommes politiques sont tous des vendus, et quand ils ne le sont pas on les assassine.
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