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EAN : 9782755636765
400 pages
Hugo Publishing (22/02/2018)
3.57/5   120 notes
Résumé :
Zack Lightman a passé sa vie à rêver. A rêver que la réalité pouvait être un peu plus semblable à celle montrée dans les innombrables livres de science fiction, films et jeux vidéos qu'il a dévoré toute sa vie. A rêver qu'un jour, un événement particulier viendrait bouleverser la monotonie de son ennuyeuse existence et le propulse dans une aventure galactique lointaine.

Il sait bien qu'ici, dans le monde réel, les adolescents ordinaires à tendance co... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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Culture populaire et littérature qui va avec.

Zack est accroc aux jeux vidéo et tout particulièrement à un simulateur de vol en drone pour dézinguer de l'envahisseur extraterrestre, au point d'être sixième mondial. Mais quand l'alliance de défense terrestre débarque IRL pour l'emmener combattre des aliens en tout point pareils à ceux du jeu vidéo, tout bascule.

L'auteur s'est fait connaître avec l'excellent Player one et reprend les mêmes codes ici avec de la culture sf années 80-90 à gogo. C'est toujours aussi plaisant pour le vieux demi-geek que je suis, de connaître ou reconnaître la plupart des références.
Pour autant. Si le concept fait furieusement penser à Starfighter, mâtiné d'une stratégie Ender, le style de l'auteur est loin d'atteindre celui de Card, pour rejoindre celui de A.D Foster qui a fait la novélisation du film starfighter. Et c'est franchement pas un compliment.
Autant je n'y avais pas particulièrement prêté attention pour son premier roman, autant ici, j'ai eu l'impression de lire oui-oui au pays de la SF.
Si on rajoute le volet « familial » de l'histoire, un poil pénible et hautement gnangnan... On passera allègrement sur la gentillette romance additionnelle, passage quasi obligé pour rassurer tous les adolescents geeks lecteurs sur leur avenir amoureux.

Ceci étant. J'ai malgré tout passé un bon moment avec cette histoire. Cela reste délassant, page turner et vide cerveau. Mignon quoi…
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Pour faire baisser ma PAL, j'ai lu Armada d'Ernest Cline.
Zack Lightman est un ado qui a passé sa vie à rêver.
A rêver que la réalité pouvait être un peu plus semblable à celle montrée dans les innombrables livres de science fiction, films et jeux vidéos qu'il a dévoré toute sa vie.
A rêver qu'un jour, un événement particulier viendrait bouleverser la monotonie de son ennuyeuse existence et le propulse dans une aventure galactique lointaine.
Il sait bien qu'ici, dans le monde réel, les adolescents ordinaires à tendance colérique et amateurs de jeux vidéo ne sont pas choisis pour sauver l'univers.
C'est alors qu'il aperçoit une soucoupe volante.. tout droit sortie d'un simulateur de vol massivement populaire du nom d'Armada, dans lequel les joueurs doivent justement protéger la terre d'une invasion alien.
Non, Zack n'a pas perdu la tête.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce qu'il voit est bien réel.
Il va enfin avoir la chance de jouer les héros..
Armada est un roman de science-fiction qui fait la part belle aux geeks amateurs entre autre des anciens jeux vidéos. Il y a un petit coté rétro dans cette aventure qui m'a plu.
J'ai aimé le personnage de Zach, adolescent qui au collège a pété un plomb et depuis traine quelques casseroles vis à vis des autres jeunes gens de son âge. Avec lui sa mère marche un peu sur des oeufs. Il n'a jamais connu son père, décédé alors qu'il était enfant dans un accident de travail. Il travaille à ses heures perdus dans un magasin de jeux vidéos quand il n'est pas au lycée. Il est touchant ce gamin pas toujours bien dans ses baskets.
Il n'imagine pas à quel point l'apparition d'une soucoupe voulante va changer sa vie. Zach va pouvoir prouver qu'il peut lui aussi être un héros.. Mais cela ne sera pas de tout repos..
J'ai bien aimé ce roman bien que je l'ai trouvé un peu prévisible.
Au départ, je ne suis pas une grande amatrice de science-fiction mais depuis le début de l'année j'en lis régulièrement et j'apprécie ce genre de plus en plus.
Armada est un roman intéressant à découvrir, pas un coup de coeur mais j'ai pris plaisir à le lire sur deux jours. Dès que je l'ai commencé, j'ai eu envie de savoir comment il allait se terminer.
Ma note : quatre étoiles.
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Armada… ou le bouquin pal qui date… faut faire descendre la pile …

Pitch :
Zack est un gamer… un sacré gamer, un des meilleurs, dans le top dix mondial sur le jeux Armada. Un Mmorpg..
- Un quoi ?
- Un Mmorpg… massively multiplayer online role-playing game dans la langue de Molière : un jeu de rôle en ligne massivement multijoueur.
-Ah…
- Bon je peux rependre ?
- Vi…
- Donc, Zack un as à Armada, jeu de sf où faut faire des missions, aller dézinguer des méchants aliens, batailles spatiales version Star Wars… heu ça va ou tu veux que j'éclaire encore ta lanterne ?
- Nan star Wars ça va… faut pas déconner non plus !

Y a la version sur terre Terra Forma où la tu pilotes un robot et tu défends la planète toujours contre ces maudits aliens… il aime moins mais y joue quand même avec ses potes et même sa mère… Mais Zack n'est pas que cela, il est aussi un jeune homme en manque, en manque de papa, papa mort quand il était bébé, et malgré le temps le manque est toujours là… les questions qui reviennent, les interrogations, l'envie d'être comme lui, de l'avoir connu, la colère de l'absence… Toute info est bonne à prendre, tous souvenirs bons à garder… Même si ce qu'il a appris jusque-là le laisse un peu dubitatif.. le papa semblerait avoir été complètement dingue, vraiment frappé du bocal, même si très amoureux de maman.. Est-ce que cette folie se repasse dans les gènes ? parce que Zack a vu un truc… qui franchement ne peut vouloir qu'une chose.. il est dingue aussi… dingue comme feu papa….

Ohhhh que je suis déçue… déçue déçue déçue déçue…. Faut dire que Cline je le connais déjà pour Ready player one (son premier roman) que j'avais adoré ! et pour son film Fan boys qui m'avait fait bien rigoler. Cline s'adresse à moi. Moi geekette de quarante ans passés
- Bien passés même..
- Oh ça va !

Ouais il s'adresse à moi dans les références pop culture, dans les jeux, les films, un peu moins la musique, les références livresques… enfin un auteur comme moi, avec les même private joke, les même quote… Youpi chouette houra… pasque quand même y en a pas tant que ça… et ça fait plaisir, sourire étoutétout…
Donc j'étais contente de le retrouver, je me demandais pourquoi j'avais mis tant de temps à le commencer parce que ça commençait drôlement bien… tout pareil que Ready player one… sourire référence étoutétout… coup d'oeil vers chéri mutique quand je lui parle du livre avec même la moue en coin (pas la sympa).. bon…

Et le bouquin se déroule, et le sourire s'affaisse… et la boule de déception grandit… et la fin…

Et non… non c'est pas un bon livre. Ça aurait pu.
La première moitié du livre est bien foutue, et puis après ça part en vrille. Cline à choisit un chemin sans grands intérêts, même si on pouvait se douter qu'il choisirait ce chemin-là, vu comment c'est amené. Parce que attention, c'est pas parce qu'on est geek, fan de pop culture qu'on aime les trucs faciles, téléphonés… Nan au contraire !

Nan dans pop culture, y a le mot culture, et en Sf y a de quoi faire (je regroupe tout autant les livres que les films) et des grands, des chefs d'oeuvre, d'une intelligence folle. C'est pas parce que c'est de la lecture de « genre » que c'est con.
Bin là si… d'une facilité scénaristique, rempli de tous les cliché existants, et c'est pas des clins d'oeil, ni des références… c'est juste nul… avec en plus la couche de pathos qui va bien (mais que ça émeut pas un copec, parce que faite aux gros sabots et bien trop rapidement) et même avec le zeste de romance qu'a rien à foutre là ! (vu le contexte)

Nan la grosse déception… presque le truc triste, en se rendant compte que Cline surf sur la vague, limite le côté je vais faire du blé tranquille à l'aise Blaise vu comment Ready player one avait marché…

Et pour finir de t'achever le remerciement à Spielberg qui a adapté Ready, l' a transformé en grosse bouse commerciale, a viré tous les éléments d'importances (les trucs glauques et noirs, les enjeux sombres, la dystopie qui lance l'alerte), a viré aussi les référence pointues qui s'adressent à un certain publique (les moi) pour en faire un truc débile, commercial à mort…
Bon je me dis quand il a écrit le remerciement, le film était pas encore sorti… il est peut-être revenu sur son avis.. ou alors c'est juste un autre auteur qui a vendu son talent et son cul sans remord devant la planche à billet… y en a eu d'autre avant y en aura d'autre après…

Les purs sont en voies de disparitions… et je suis dépitée.
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Après Player one, premier roman de l'auteur, j'ai découvert grâce à la MC de Babelio, le 2e roman d'Ernest Cline.

Tout d'abord, il se lit tout seul ou presque ! On tourne les pages les unes après les autres. On retrouve cette même omniprésence de références à la culture Geek, et on suit les aventures d'un jeunes lycéens.

Cependant, l'histoire m'a moins convaincue. L'idée d'une invasion extra-terrestre, n'étant pas le sujet qui me passionne le plus au monde.
J'ai trouvé ce roman moins "mature" que "Player one".

Si vous n'êtes pas amateur de jeux vidéos ou peu intéressé par la culture pop / geek, beaucoup de références ne vous parleront pas du tout. Pour ma part, cela n'a pas trop gêné ma lecture, mais j'aurais du prendre un petit carnet pour noter les nombreux titres qui émaillent le récit : jeux vidéos, musique, cinéma, science fiction. Et puis ayant lu ce roman en mars 2018 (publié en VO en 2015), les références à Stephen Hawking prennent une toute autre couleur.

Si vous avez aimé le premier roman d'Ernest Cline, que vous êtes amateur de culture geek, d'invasion extra-terrestre, de jeux de combat (Space invader etc...). Ce roman devrait vous plaire !

Quelques petits bémols...
Cependant, je déplore les nombreuses coquilles qui émaillent le roman : une phrase répétée deux fois à l'identique dans le même paragraphe, desphrasessansespacesentrelesmots, des lettres à la place d'autres lettres, à force cela devient agaçant.

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L'enfant qui joue perd contact avec le réel et évolue dans l'autre monde du jeu. Quand il grandit, son aptitude à s'illusionner décroît, mais la technologie (cinéma, jeux vidéos, etc) l'aide à rêver avec la même puissance hallucinatoire. Ce roman d'Ernest Cline émane de l'univers parallèle des jeux guerriers, des romans et films de SF, et du rock qui les accompagne : les références à cette sub-culture cohérente sont si nombreuses qu'il faut être sans doute un "geek" accompli pour tout saisir. Le jeune héros, au lieu de passer un jour, fatalement, à l'âge adulte du réalisme, à l'acceptation du monde et de la mort (honnis dans les paroles puériles des chansons de rock citées) -- le héros s'enfonce dans l'illusion du "game" quand celle-ci se révèle à lui, un beau jour, comme vraie. Mais cet autre monde où il accède, en guerre spatiale contre de menaçants aliens -- ne serait-il pas, lui aussi, une forme d'illusion qu'il faut dissiper, non pour aller vers la vérité, mais vers une autre illusion, un mensonge de plus ? D'illusion en illusion, le roman progresse un peu comme une histoire de Philip K. Dick, après avoir commencé comme "La stratégie Ender" d'Orson Scott Card. Si l'intrigue ne manque pas d'intérêt, le style est extrêmement plat et prosaïque (il y a autant de poésie et d'inspiration dans ce roman que dans "Starship Troopers"), et la surabondance des citations, allusions et références est fatigante.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Comme presque tous les envahisseurs venus d’une autre planète décrits dans les œuvres de SF, les Sobrukais étaient largement en avance sur nous, technologiquement parlant : ils avaient d’immenses vaisseaux de guerre capable de traverser l’espace interstellaire. Ils étaient largement en avance, et pourtant trop cons pour terraformer à leur convenance un monde inhabité. Ces types préféraient se lancer à la conquête d’une planète déjà occupée par des milliards de primates dotés de l’arme nucléaire.
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Si ce soir ce n’est pas la fin du monde, et si demain nous sommes encore en vie tous les deux, je suggère une sortie en amoureux, a-t-elle conclu. Tu es d’accord ?
Marché conclu.
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Je ne m’y connaissais pas assez en alcool forts pour identifier celui-ci. Un mélange de propergol et de diluant pour peinture sûrement.
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Le syndrome du Stormtrooper : Ces types n’arriveraient pas à toucher l’eau s’ils tombaient d’un bateau.
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Si l’on ne finit pas la guerre, la guerre nous finira.
H.G. Wells.
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