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Christine Barbaste (Traducteur)
EAN : 9782266158350
343 pages
Pocket (01/06/2006)
2.73/5   315 notes
Résumé :
Blonde comme les blés et belle à se pâmer, l'excentrique et sexy Julie Bergdorf- richissime héritière des magasins de luxe du même nom - a vraiment tout pour plaire. Quotidiennement entourée d'une meute d'admiratrices, cible privilégiée des magazines people et déesse incontestée des boîtes de nuit fashion et autres restaurants huppés, la lolita de la mode règne en maîtresse absolue sur la toute-puissante jet-set new-yorkaise. Seul hic, mademoiselle est célibataire. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
2,73

sur 315 notes
Moi qui voulait une lecture légère, me voilà servie. Trop légère, je dirais, même.
J'apprécie de temps en temps la chick lit. Même si il n'y a que peu de mystères sur la fin, j'apprécie les moments drôles, les situations gênantes, les scènes romantiques.
Je pensais donc faire bonne pioche avec ce titre. Grossière erreur. L'histoire est centrée autour d'une narratrice égocentrique - mais dont on connaît pas le nom - qui fait partie des Princesses de Park Avenue : superficielle à souhait donc. La 4e de couv' induit d'ailleurs en erreur.
Bien que consciente des caprices insensés des divas, la narratrice tombe elle-même dans ces travers, nous offrant ainsi un personnage auquel je n'ai pas su m'attacher. J'ai bien conscience qu'l y avait une idée satirique dans tout ce récit. Pour autant, même en le sachant, l'histoire m'a déplu. Les scènes ne sont pas si drôles que cela, tout juste une esquisse de sourire de temps en temps. le seul point positif est le personnage de Charlie.
Plusieurs fois, j'ai voulu refermer ce livre et passer à autre chose. Mais abandonner un livre en cours n'est clairement pas dans mes habitudes. Je le referme donc en me disant que ce n'était pas un livre pour moi. Tant pis, au suivant!

Challenge coeur d'artichaut
Challenge Multi-défis
Challenge Féminin
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Ah si j'avais un fusil...Non sans rire, il y a pas déjà assez de dindes dans ce genre de bouquins il faut que Plum Sykes en remette une couche!
Le fin du fin de la bêtise en mode caviar et billets de banque.Au défilé du pathétique je demande Julie Bergdorf et son affreuse copine qui tient lieu de narratrice à l'histoire.
C'est artificiel,grossier tout juste digne d'un destructeur à papiers!
Mea culpa pour les fans du genre mais moi qui suis ouverte à tout tant d'idiotie réveille en moi de violents accès de nerfs.
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C'était, il y a quelques années, mon tout premier roman de chick-lit et j'avais adoré.
J'ai donc souhaité le relire, pour voir si j'appréciais toujours autant et, effectivement, Plum Sykes est à nouveau parvenue à me faire rire. A l'époque de ma première lecture, j'avais les cheveux blonds et me retrouvait donc bien dans les passages traitant du "blond parfait" qui ne doit surtout pas être jaune et autres détails concernant les balayages de Julie et de ses amies.

Vous l'aurez compris : les personnages sont totalement superficiels et l'intrigue l'est forcément aussi. Mais c'est écrit de façon très "pétillante" et enjouée et permet de passer un excellent moment, même si certains passages sont totalement prévisibles.
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J'ai lu ce livre dés sa sortie, et en cette période de "disette littéraire" pour cause de vacances bibliothécaires... je me "fend " d'une relecture .
En lisant les critiques sur ce livre , je me suis rendue compte que ce qui en énervait certaines, était ce qui me plaisait dans cette comédie ( aussi légère et évaporées que les pages du magazine Vogue ..)
Certes , l'héroïne est superficielle, mais , c'est ça qui fait le sel de ce livre , qu'il faudrait aborder comme un "voyage en terre inconnue", un voyage chez les New - Yorkais" "plus riches que riches".
L'air de rien ce petit roman est un condensé d'humour , une critique à charge, et un documentaire sur cette "faune " de Park Avenue .
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J'ai enduré le premier chapitre, à la limite de le lâcher. Puis je me suis rappelé mes lectures de science-fiction, où l’on nous plante un décor parfois saugrenu, et j'ai attendu de voir l'intrigue commencer. Après tout, j'avais lu nombre d’histoires avec des gens très pauvres, pourquoi serait-ce moins acceptable avec des gens très riches ? L'expérience serait nouvelle pour moi et la curiosité a nourri ma patience, le temps de m'habituer au style et d’entrer dans l’action.
La narratrice, qui est l'héroïne, n'est pas une « riche héritière » et doit travailler : c'est comme meilleure amie de l'une d'elles, et aussi dans l'exercice de son métier, qu'elle côtoie les « extra-terrestres » qu'elle nous présente dans son récit. Dès que j’ai pu me glisser dans ce monde aux valeurs et à la logique différentes des miennes, j’ai apprécié le style plein d'humour, les personnages hauts en couleur et même loufoques, l'action pleine de rebondissements.
Ce court roman a été pour moi une introduction surréaliste au mode de vie d’une toute petite tranche de la population terrestre. Mais je l’apprécie surtout pour son côté loufoque et frivole. Ayant tendance à être trop sérieuse, je jubile de voir les personnages se passionner pour des motifs futiles ; il me semble que cela me relaxe d’autant plus que je ne suis pas accro au shopping et que je suis tout à fait incapable de lire un magazine de mode.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Quand ensuite dans certains cercles , le bruit a couru que Julie faisait retoucher sa couleur tous les treize jours exactement , toutes les filles ont voulu devenir elles aussi , des Blondes de Treize Jours. Les cheveux ne doivent en aucun cas être jaunes ,mais presque blancs , comme l'étaient ceux de Carolyn Bessette Kennedy . CBK est une véritable icône _ et la référence absolue en matière de blond.
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Cette nuit-là, j'avais délibérément enfreint les Deux Commandements, les règles de conduite qui régissent la vie amoureuse de toutes les filles:
1. Jamais ne coucheras avec un garçon le premier soir (une relation sexuelle trop prématurée ruine toujours une histoire d'amour).
2. Jamais ne feras le 1 avec le petit ami de ta meilleure amie. (Cela ruine trois relations.)
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Selon la théorie de Jolène , les mecs et les sacs à main partagent quantité de points communs . Par exemple , il existe des listes d'attente pour les plus beaux :quinze jours de patience pour certains (les étudiants et les fourre tout de L.L. Bean) , trois ans pour d'autres (les mecs drôles et les" Birkin" en croco d'Hermès ).
... le principal souci de Jolène , c'est que sans ça , une fille a toujours l'air débraillé.
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Entre les trois serveurs par invitée , les cookies roses de la très chic pâtisserie Payard , sur Lexington , et les chaussons en chocolat Fauchon , la réception était à peu près aussi décontractée que la cérémonie d'investiture à Maison Blanche . Personne n'a touché au buffet _une règle standard de l'étiquette dans l'Upper East Side .
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J'ai loupé le moment où Mimi a ouvert mon cadeau (l'intégrale des albums de Beatrix Potter ), et c'est tant mieux , car à la vue de tous ces bouquins - soit bien plus qu'elle n'en a jamais lu - , Mimi a complètement paniqué.
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