Jacques Lacarrière, disparu en 2005, parle de la découverte qu'il fît, un jour de 1947, du «
Cahier d'un retour au pays natal » d'Aimée
Césaire et raconte le bouleversement qui s'en suivit : « je me mis aussitôt à feuilleter le livre et sentis très vite en tout mon corps les mêmes effets, oui, exactement les mêmes effets que ceux d'une piqûre de guêpe, un jour de canicule : brûlure, rougeur et tremblement ».
Que dire de plus si ce n'est conseiller la lecture de ces deux petits bijoux