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EAN : 9782331031489
Glénat (13/09/2017)
4.31/5   1799 notes
Résumé :
Que feriez-vous si d’un coup vous vous aperceviez que vous ne vivez plus qu’un jour sur deux ? C’est ce qui arrive à Lubin Maréchal, un jeune homme d’une vingtaine d’années qui, sans qu’il n’en ait le moindre souvenir, se réveille chaque matin alors qu’un jour entier vient de s’écouler. Il découvre alors que pendant ces absences, une autre personnalité prend possession de son corps. Un autre lui-même avec un caractère bien différent du sien, menant une vie qui n’a r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (316) Voir plus Ajouter une critique
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« Je préfère m'en occuper, vu que tu as tendance à tout remettre au lendemain... » (page 47)

« Ces jours qui disparaissent » sont des jours qui ne reviendront pas.
Lubin Maréchal a 26 ans et voit sa vie lui échapper. Un jour sur deux, un autre lui-même prend possession de son corps. Ce deuxième Lubin est très différent du premier. L'un est artiste de cirque, l'autre beaucoup plus pragmatique et froid, se révélant même un homme d'affaires à succès.
De l'acrobate ou de l'automate, qui va gagner ? Car le combat s'engage. Lubin 2 ne s'en laisse pas compter. Cette moitié de vie prise sur le premier ne lui suffit pas. Il veut tout.

De cette « impression de disparaître », Lubin Maréchal voit sa personnalité défiler sur un fil. En équilibriste de la vie, il nous emmène sur les chemins tortueux de l'identité, de la dualité corps et esprit, mais aussi de la schizophrénie.
Entre la raison et la folie, l'excellence du scénario m'a conquis. Ponctué de notes poétiques et accompagné d'une galerie de personnages secondaires atypiques bien campés, il compense un dessin que j'ai trouvé trop naïf, et une fin un peu tarabiscotée.
Trois étoiles seulement donc, mais assurément une oeuvre originale que vous ne vous ne serez pas prêt d'oublier.

Lu en février 2018.
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S'il n'y en avait finalement qu'un seul, cela serait sans aucun doute ce titre dont j'ai tiré mon avatar.

J'ai littéralement adoré cette lecture de ces jours qui disparaissent chez un jeune garçon abordant la vingtaine. On va le suivre au cours de toute une vie car il lui arrive un phénomène assez mystérieux. En effet, il se réveille en ayant loupé à chaque fois une journée entière qui est occupé par un autre soi totalement différent. Il est bordélique et l'autre soi est maniaque. Il est acrobate dans un cirque et l'autre va faire un métier plus conventionnel et rémunérateur dans l'informatique. Il est très famille et ami alors que l'autre est plus solitaire. le gentil poète contre le brillant carriériste. La bataille peut commencer !

On pourrait penser qu'il y a une véritable part de fantastique mais on comprend assez vite qu'il s'agit certainement d'un phénomène de dédoublement de la personnalité qui trouve une origine psychologique à savoir la schizophrénie. Il est assez terrifiant de le vivre du point de vue de l'un des personnages qui va disparaître progressivement pour laisser place à l'autre qui est moins rêveur. C'est une véritable quête sur la perte de l'identité qui est mené de main de maître par l'auteur. Je n'avais jamais rien lu de tel.

Il y a véritablement deux parties : celle de la coexistence pacifique et une autre qui correspond à la disparition progressive et dramatique. En effet, il y a une personnalité plus ambitieuse qui va prendre le dessus sur l'autre qui se réveillera moins souvent. C'est bien écrit et bien dessiné avec des planches presque vivantes dans le mouvement.

On est littéralement happé par cette intrigue de perte de contrôle qui progresse dans une véritable tragédie psychologique. On a l'impression de vivre un cauchemar du style vertige existentiel avec notre héros. C'est assez poignant par moment. Cela peut nous renvoyer à notre propre rapport au temps, à notre jeunesse, à la vie et à notre mortalité. Ce qui nous touche ne peut que nous faire réfléchir…

C'est véritablement la bd à découvrir du fait de son originalité et de sa profondeur. Voici une lecture pour une expérience unique qu'on n'est pas prêt d'oublier. L'auteur livre une véritable bd inattendue et palpitante. Pour moi, c'est culte au point d'avoir réécrit mon avis afin de vous le faire découvrir ou redécouvrir.

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Acrobate équilibriste, Lubin Maréchal, âgé d'une vingtaine d'années, fait une chute pendant une répétition. Rien de grave, juste une petite bosse... le lendemain, à son réveil, un peu en retard, il se dépêche afin de ne pas perdre son pari. Qui de Léandre, son ami magicien et collègue, ou de lui arrivera en premier à la supérette ? Sur son vélo, Lubin est plus rapide et, installé derrière sa caisse, il réclame gentiment 5 euros à son ami. Or, ce dernier lui dit qu'il est en retard de plus de 23h. Lubin ne serait pas venu travailler la veille. Croyant à une blague, le jeune homme est étonné de voir qu'on est bien mardi et non lundi comme il le pensait. Serait-ce une mauvaise blague ? Qu'a-t-il donc fait la veille et pourquoi ne se rappelle-t-il donc de rien ? le soir, sa petite amie lui rend visite et les deux amoureux s'endorment côte à côte. Mais, le lendemain matin, elle a disparu. Jetant un oeil sur son écran d'ordinateur, il constate avec effarement qu'on est jeudi. Lubin a encore raté une journée entière ! Son patron le vire, ne tolérant plus ses absences, ses amis commencent à s'inquiéter pour les répétitions et sa petite amie ne répond plus à ses messages. Lorsqu'il se réveille le lundi les cheveux courts, il comprend qu'il ne dort pas des journées entières mais qu'un autre prend sa place un jour sur deux...

Que faire lorsqu'on se rend compte qu'on ne vit qu'un jour sur deux et qu'un autre que vous prend votre place ? Un "autre lui" qui, Lubin va vite le constater, est radicalement opposé ? Comment vivre à deux dans un même corps ? C'est ce que Thimothé le Boucher nous propose à travers cet album frisant le fantastique. Il prend le temps de détailler, petit à petit, les conséquences, aussi bien professionnelles, familiales, amicales, amoureuses que sociales, sur le jeune homme, avec pour parti pris original de n'entrevoir que rarement l'autre Lubin, seules quelques séquences par webcam interposées. Il détaille aussi la relation entre les deux hommes, une relation pour le moins étrange. Outre la question du temps, qui passe trop vite et de ce qu'on en fait, il est question aussi des sentiments parfois contradictoires qui peuvent nous habiter. Un récit vraiment original, abouti et captivant de bout en bout tant l'atmosphère se tend au fil des jours. Graphiquement, le trait est réaliste et fin, les couleurs vives. Efficace.
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Imaginez un peu qu'un jour, après avoir reçu un coup sur la tête, vous ne viviez plus qu'un jour sur deux. Enfin, que votre personnalité pour être plus précis ne vive plus qu'un jour sur deux, tandis qu'une de vos personnalités latentes vit dans votre corps les autres jours.

C'est ce qui est arrivé à Lubin, il se réveille un matin sur deux sans jamais savoir ce qu'il a fait la veille. Une thérapeute lui explique son problème : il est atteint de troubles dissociatifs de la personnalité. Par le biais de vidéos, les deux Lubin communiquent et s'organisent afin que leur cohabitation corporelle se passe au mieux. Et si ça fonctionne un temps, les deux Lubin sont tellement différents qu'ils finissent par couper les ponts. Au fil du temps, Lubin (l'original) se réveille de moins en moins souvent, son "double" possédant son corps de plus en plus longtemps...

Il est des livres où l'on sait, avant même de les ouvrir, qu'ils nous marqueront. C'est le cas pour "Ces jours qui disparaissent", je savais que je n'en sortirai pas indemne. Non pas qu'il soit à fond dans les émotions, mais plutôt parce que traité en profondeur, tant dans la psychologie et la personnalité des protagonistes (du protagoniste principal essentiellement) que dans la dimension spatio-temporelle. J'ai rarement rencontré ça dans un livre graphique. Il est vrai que la question de personnalité et d'identité est au coeur de l'histoire, et il aurait été dommage qu'elle ne soit pas assez approfondie. En tout cas, c'est une réussite, à mon sens.

La vie est trop courte, c'est ce qu'on dit. Et c'est d'autant plus vrai pour Lubin qui ne dispose pas entièrement de toutes les journées que les lendemains lui offrent. Un autre "lui" s'impose et lui vole son avenir, sa vie. Profiter de l'instant présent, c'est tout ce qui lui reste, à défaut de projets d'avenir. le monde continue de tourner pendant qu'il est en sommeil, et plus le temps passe, moins il le comprend, plus il se sent perdu, plus difficilement il y trouve sa place. Son histoire finit par nous bouleverser, tout simplement.

Au-delà de l'histoire romancée, l'auteur aborde des thématiques qui prêtent à réfléchir, comme les rapports entre le corps et l'esprit, les traits de caractère qui dominent notre personnalité et forgent notre identité. Il y est aussi question du temps qui passe, du temps perdu : il est important, de temps en temps, qu'on nous rappelle l'essentiel, à savoir de profiter de la vie et des gens qu'on aime, car on ignore combien de temps cela peut encore durer...

L'histoire est prenante, touchante. Elle s'harmonise avec des dessins très plaisants, fins, aux couleurs soft.

C'est un très bel album, tant par le fond que par la forme. J'en profite pour remercier @Erik_ dont le retour très enthousiaste m'a fortement influencée dans le choix de cette lecture.
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Il y a dans ce roman graphique, Ces jours qui disparaissent, mille choses qui se bousculent, envoûtantes, mélancoliques, tristes, cruelles, émouvantes, magnifiques et je ne saurais dire à quel thème ce roman graphique empreint de fantastique se raccroche le plus : l'enfance, le temps qui passe, l'amitié, l'amour, le destin écrit par avance ou bien son contraire le libre-arbitre, les choses qui nous échappent irrémédiablement ou bien celles sur lesquelles nous avons encore un peu la main. Timothé le Boucher, dans un dessin fin, épuré, expressif, m'a invité ici dans un univers étonnant, au bord du vertige, saisissant. J'en suis ressorti totalement remué.
Il m'est difficile de vous esquisser un semblant de scénario sans prendre le risque de tomber dans l'horrible travers dans lequel celui qui a rédigé la quatrième de couverture s'est lâché. Il aurait voulu raconter toute l'histoire, il ne s'en serait pas mieux pris. J'espère que ce n'est pas l'auteur, je ne pense pas toutefois... On observe souvent sur Babelio que les quatrièmes de couverture sont ratées, à force il faudrait peut-être en faire un exercice de style ou tout simplement en confier la rédaction à des lecteurs avertis...
Lubin est un jeune acrobate insouciant. Il partage sa vie entre l'exercice du cirque et une vie plus « alimentaire », travailler dans la journée avec son ami Léandre par ailleurs magicien de la troupe, dans la supérette de l'oncle de ce dernier.
Tout a peut-être commencé ce soir-là lors d'une chute à un des spectacles...
Un matin Lubin arrive en retard au travail et c'est ainsi qu'il découvre ce jour-là puis dans la semaine, lorsque cela arrive justement deux jours plus tard, qu'il semble « disparaître » de sa conscience un jour sur deux. Il se rend alors compte qu'il ne dort pas durant les jours où il semble disparaître de sa vie, tandis qu'une autre personnalité se réveille dans son corps et dès lors Lubin peine à bien à comprendre ce qui lui arrive. D'ailleurs, est-ce lui qui disparaît, où bien est-ce les jours dont il a conscience ? Deux être semblent cohabiter dans son corps, un autre s'en empare de manière alternative, un autre qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau, mais différent en même temps.
On peut certes lire cette BD de différentes manières, en faire une fable sur le passage de l'enfance à l'âge adulte, un récit initiatique, une approche totalement psychiatrique sur le trouble dissociatif de l'identité, la schizophrénie, ou bien tout simplement une histoire fantastique.
Lubin décide de communiquer avec l'autre, peut-on ainsi parler d'un alter ego, puisqu'ils paraissent déjà si différents ? Étrange, terrifiant, ce face à face à distance par vidéo, à deux jours d'intervalle, où les deux protagonistes communiquent et décident une sorte de pacte, sur ce territoire qui est ce corps de Lubin, mais bien au-delà d'un corps, un corps n'est rien qu'un territoire où s'invitent un coeur, une âme, le coeur des autres, les gestes des autres...
Lubin et son alter ego ont le même corps mais pas les mêmes gestes. La même voix mais les mots et les intonations sont différentes. L'autre paraît moins sympathique, mais il est bien plus structuré et plus ordonné côté rangement, plus rationnel. Bref, côté rangement, l'alter ego dont on rêve au quotidien !
Ils n'ont pas non plus les mêmes convictions politiques. Côté amour, puisqu'un moment donné, la frontière ne se pose pas comme un mur de Berlin ou le mur entre les États-Unis et le Mexique, entre deux pays, visiblement côté charnel ce n'est pas tout à fait pareil non plus. Disons qu'à cet endroit, l'autre paraît plus expérimenté s'agissant de faire l'amour. Dur cet aveu d'une amante qui ne comprend déjà rien à ce qui se passe...
La vie sentimentale de Lubin en est donc impactée. Sa vie familiale aussi. Sa vie professionnelle, n'en parlons plus.
Troublante cette phrase de la psychiatre qui dit lors d'une consultation de Lubin : « Si vous le laissez prendre le pas sur votre vie, c'est parce que vous l'acceptez ». Quelle puissance, cette phrase presque anodine.
Peu à peu l'autre prend le pas sur sa vie, de plus en plus...
Les fréquences où Lubin refait surface sont de plus en plus espacées. C'est terrifiant. Dans son entourage, quelqu'un vient à calculer un ratio, la mathématique accablante, un ratio de 1,5367 pour déterminer l'espace suivant entre deux jours où Lubin refait surface, quelque chose d'effroyablement exponentielle ! Non !!! Tout d'un coup, j'ai eu l'impression de voir surgir dans cette distance affreuse qui s'ouvrait comme un gouffre sans fond une sorte de mythe d'Orphée réinventée avec cet éloignement inexorable, mais je n'en dis pas plus, même si cela n'a rien à voir avec l'histoire, oui j'ai cru reconnaître un moment donné quelques chose qui ressemblait au geste d'Orphée tentant de retenir Eurydice...
La fin est d'une modernité sidérante, à tous points de vues.
Comme c'est beau quand la BD nous chavire avec tant d'émotions ! Je vous avouerai simplement que c'est aussi une magnifique histoire d'amour.
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critiques presse (6)
LesComics
18 avril 2022
Ces jours qui disparaissent est un récit touchant, invitant à un voyage poétique et captivant. Son trait fin, et la fraicheur de ses personnages nous fera passer un agréable moment de lecture, et nous faisant nous interroger sur bien des sujets. Une belle réussite !
Lire la critique sur le site : LesComics
Bedeo
06 mars 2018
Timothé le Boucher apporte un regard générationnel sur le passage de l’enfance à l’âge adulte, un sujet à la fois éculé et inépuisable.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Auracan
19 octobre 2017
Avec un dessin réaliste plutôt épuré, laissant place à la dramatique du sujet, Thimothée Le Boucher développe un univers surréaliste qui ne laissera personne indifférent. A découvrir !
Lire la critique sur le site : Auracan
BoDoi
29 septembre 2017
Un récit brillant, audacieux, mais qui ne néglige jamais l’émotion. Une des BD les plus marquantes de 2017.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDZoom
26 septembre 2017
Voici un étonnant roman graphique de près de 200 pages sur la schizophrénie et la dissociation identitaire, sous couvert d’un récit fantastique (et même futuriste) où le héros se retrouve un beau matin avec des pertes de conscience, mais pas de connaissances.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
25 septembre 2017
Une très belle histoire, un magnifique roman graphique que je vous encourage à découvrir.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Tamara, j'ai compris une chose... On a trop peu de temps pour se priver de ce qu'on aime. Peu importe le regard des autres.
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- Grâce à mes talents de magicien, j'ai fait disparaître des pièces quand je rendais la monnaie.
- C'est pas de la justice, Léandre. C'est du vol !
- Non, mais attends ! Tu vois la vieille qui dit toujours des trucs racistes... Prof ! Deux euros en moins dans son portefeuille. Pareil pour le mec en costard qui double tout le temps ou la pétasse qui s'est moquée de ma queue de cheval. Et cet argent réapparaît mystérieusement dans le portefeuille du gentil papi qui s'achète du premier prix ou dans celui de la dame aux croquettes pour chat.
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-T'inquiète. Je suis une pro de la survie. J'ai passé deux semaines paumée dans le désert de Syrie.
-Moi, je suis un pro de la survie. J'ai passé 40 ans dans ton cœur.
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Qui est la personnalité la plus utile à la société ? Mon client a une carrière exemplaire, des relations amicales saines et une vie de famille épanouie. Son parcours est un modèle de réussite. Et vous ? Qu'avez-vous fait ? Une vie sans avenir, bercée par des ambitions fantaisistes.
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Parfois il faut se forcer à faire des trucs désagréables pour être récompensé à la fin.
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Videos de Timothé Le Boucher (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Timothé Le Boucher
Spécial Eté ! Avant une petite trêve estivale !1,2,3 BD ! Chez les libraires ! présente les BD coups de cœurs de Jérôme et la librairie La planète Dessin à Paris !!! Et ce soir, ce n’est pas trois conseils de lecture mais plutôt la découverte des collections été des éditeurs à glisser dans les valises ! Lisez des BD et bonnes vacances. -Les incontournables du roman graphique(ALICE GUY Catel & Bocquet, LE CRÉPUSCULE DES IDIOTS Jean-Paul Krassinsky, GUIRLANDA Lorenzo Mattotti & Jerry Kramsky, MAGIC PEN Dylan Horrocks, QUATORZE JUILLET Bastien Vivès & Martin Quenehen, JOHNNY CASH - I SEE A DARKNESS Reinhard Kleist) chez Cas-terman -Version poche (La mémoire dans les poches Récit de Luc Brunschwig. Dessin d'Étienne Le Roux, Mauvais garçons Récit de Christophe Dabitch. Dessin de Benjamin Flao, La position du tireur couché D'après le roman de Jean-Patrick Manchette. Adaptation et dessin de Tardi, …) -La sélection BD poche (Seconds de Bryan Lee O'Malley, Glenn Gould de Sandrine Revel, Riche, pourquoi pas toi ? de Marion Montaigne, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Opération Copperhead de Jean Harambat, Noire d'Émilie Plateau, d'après Tania de Montaigne, Lip, des héros ordinaires de Laurent Galandon et Damien Vidal, Le Retour de la bondrée d'Aimée de Jongh, Le Mystère du Monde Quantique de Thibault Damour et Mathieu Burniat, Guantanamo Kid de Jérôme Tubiana et Alexandre Franc) chez Dargaud -Sarbacane 20 ans (L’Aimant Édition poche Lucas Harari, Le dieu vagabond Édition poche Fabrizio Dori, Dans la forêt Édition poche Lomig, Un travail comme un autre Édition poche Alex W. Inker) -La Boîte à bulles 20 ans (La plus belle femme du monde Dorange et Roy, Dans les vestiaires Le Boucher, L’immeuble d’en face Vanyda, Kaboul Disco Wild) -Collection Nomad Urban Comics 1,2,3 BD c’est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture. #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART#MANGA Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur :
/ traitpourtraitbd https://www.facebook.com/TraitpourTra... https://www.instagram.com/traitpourtr... https://twitter.com/TPTBD
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