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China Li tome 2 sur 4
EAN : 9782203211162
48 pages
Casterman (15/01/2020)
4.1/5   24 notes
Résumé :
Alors que la guerre éclate en Chine, Li découvre Paris et l'amour...
Alors qu'elle arrive à Paris, Li y termine ses études secondaires et entame une licence de journalisme. Dans le même temps, depuis son pays d'origine, Monsieur Zhang lui apprend par courrier que Mao lève une armée et que la famine sévit.
Deux ans plus tard, la Manchourie sera envahie par le Japon. Li voudrait pouvoir aider son pays et revoir son mentor, Monsieur Zhang. Par ailleurs,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Ici les morts ont plus de place que les vivants.
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Ce tome fait suite à ‎China Li, tome 1 : Shanghai (2018) qu'il faut avoir lu avant car il s'agit d'une histoire complète en trois albums, finalement en quatre albums car les auteurs ont décidé d'en ajouter un autre par rapport à ce qu'ils avaient initialement annoncé. La première publication de celui-ci date de 2020. Ce récit a été par écrit par Maryse et Jean-François Charles, dessinés et peint par ce dernier. Il comprend 62 planches en couleurs.

Au temps présent, dans le restaurant chinois appelé La rivière Li, le représentant de l'étude Dupont-Bedon de Mourmelon continue de raconter la vie de Li au patron et à sa famille. Depuis Shanghai, elle a donc embarqué pour la France en compagnie de madame Ferté et de sa fille Raphaëlle. Elle se retrouve à Paris, dans un magasin d'appareils photo, avec la fille. Elle décide d'acheter un modèle Rolleiflex double objectif, dans le but d'envoyer des photographies à son père adoptif monsieur Zhang, resté en Chine. Les deux jeunes femmes font les touristes à Paris : la tour Eiffel, Notre Dame de Paris, la basilique du Sacré Coeur. Elles flânent à Montmartre, et Li admire les toiles d'un jeune peintre qui expose dans la rue. Il s'appelle Antoine et lui dit que ce n'est pas ce qu'il a fait de meilleur. Il voudrait peindre le Sacré-Coeur comme Monet a peint la cathédrale de Rouen, dans son jeu de lumières. Il estime que ce serait intéressant qu'ils comparent leurs façons de voir un paysage, de voir la vie. Il lui demande si elle sait que Monet admirait beaucoup les artistes japonais, que c'était un grand collectionneur d'estampes. Elle répond qu'elle est chinoise.

Le soir, Li écrit à son père : Mon, cher père, j'ai revu ce jeune peintre (Vous ai-je dit qu'il s'appelle Antoine ?). C'était au Louvre, il copiait un tableau pour une commande. Il nous a invitées, Raphaëlle et moi, dans un café de St-germain-des-Prés, où se rencontrent des groupes d'artistes. C'est là que ses amis et lui discutent vivement d'écrivains, de peintres actuels et aussi de politique. Je vous envoie des catalogues d'exposition consacrés à quelques jeunes peintres dont on parle beaucoup ici. Monsieur Dobrowski, mon professeur de photographie, estime que je progresse dans mes clichés. Il pense proposer mes meilleures photos à quelques magazines. J'attends impatiemment de vos nouvelles. Vous me manquez. Je vous embrasse affectueusement. Votre fille Li. PS : madame Ferlé est très aimable, très prévenante, mais Raphaëlle trouve mes nouveaux amis ennuyeux. Raphaëlle rend visite à Li alors qu'elle travaille dans la boutique du photographe Jozef Dobrowski. Elle remarque des photographies de nu accrochées au mur : Li indique que ce n'est pas ce qu'elle croit, ce sont des études, des recherches sur la lumière, les ombres, par exemple pour mieux rendre le grain de peau. Raphaëlle lui dit qu'elle voudrait que Li la photographie. Elles montent dans l'atelier à l'étage et Raphaëlle précise qu'elle veut poser nue pour Li. La séance se déroule, Li donnant des conseils sur les poses à adopter et son amie finit par se montrer entreprenante. le lendemain, Li demande à la concierge si elle a du courrier pour elle, une lettre de son père.

Quel plaisir de retrouver l'histoire de la vie de Li : dès la première page, les auteurs accueillent le lecteur avec considération. Une première page revenant dans le café où le représentant de l'étude Dupont-Bedon reprend son récit, pour le bénéfice de la famille tenant le restaurant, et tout autant pour le bénéfice du lecteur, comme un conteur attentionné rappelant le thème du récit, et la situation où il s'était arrêté à la fin du premier tome. Les dessins sont tout aussi prévenants, avec des couleurs douces à la peinture, et une description nourrie sans être obsessionnelle, une reconstitution historique solide. Dans le même temps, le lecteur sourit de la facétie des auteurs car la première case représente une femme nue. Mais ce n'est pas de la titillation gratuite : c'est l'image qui apparaît au fond de la coupelle de saké quand l'alcool a été bu : une photographie d'une qualité médiocre, le dessin devenant la représentation d'une image industrielle de la nudité féminine, ayant perdu tout potentiel érotique. Ceci n'est pas une femme nue, pour paraphraser René Magritte (1898-1967), mais ceci n'est pas non plus un récit édulcoré ou inoffensif. Comme dans la première partie de cette trilogie (tétralogie maintenant), le lecteur retrouve des références historiques précises, la vie de Li s'inscrivant dans le siècle : le Japon envahissant la Mandchourie le 19 septembre 1931, le Kuomintang de Tchang Kaï-chek et le drapeau de la république de la Chine dit Ciel bleu, Soleil blanc et Terre entièrement rouge, l'annexion de la Mandchourie, le plan d'encerclement du seau en fer, etc.

Les auteurs introduisent également des références artistiques comme celle au peintre et sculpteur français Jean-Léon Gérôme (1824-1904), ou celle à Zhu Da (1625-1705, orthographié Chu Da), et en passant à Amedeo Modigliani (1884-1920) et à Pablo Picasso (1881-1973). Ils s'amusent en reprenant des éléments culturels chinois passés en France à prendre au premier ou au second degré à commencer par deux aphorismes. On ne peut pas empêcher les oiseaux noirs de voler au-dessus de nos têtes, mais on peut les empêcher d'y faire leur nid. L'expérience, c'est comme une lanterne que l'on s'accroche dans le dos, mais qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru. Ils jouent également avec l'idée reçue sur les tortures chinoises, dont le célèbre supplice de la goutte d'eau. S'il y prête attention, le lecteur peut relever d'autres marqueurs de cette époque, que ce soit le modèle de l'appareil photo acheté par Li, ou les robes, les uniformes, les voitures : une reconstitution historique soignée. Il retombe sous le charme de la narration visuelle dès la première page avec cette belle vision d'un grand boulevard de Paris, et même avant. Au dos de la couverture et sur la page en vis-à-vis, il découvre une belle illustration au pinceau, Li cheveux au vent, des jonques et un poème écrit au pinceau en colonne de haut en bas, superbe.

En planche 12, le lecteur tombe en arrêt devant une illustration en pleine page : une vue des toits de Paris avec ces toitures en zinc caractéristiques. Il suit avec plaisir Li et Antoine se promener de toit en toit sur la page suivante, avec une grâce épatante. Par la suite, il s'arrête encore à quatre reprises devant une illustration en pleine page. La planche 31 est extraordinaire, à la peinture, sans trait encré : une colonne d'hommes serpentant sur un chemin de montagne, une magnifique image plus suggestive que descriptive où les êtres humains sont réduits à quelques tâches, et pourtant le lecteur voit bien chaque silhouette, à pied ou à cheval avec ou sans fardeau, une vision extraordinaire. En planche 44, il contemple une cité nichée dans une falaise verticale, avec son pont suspendu en bois pour y parvenir : à la fois réaliste, à la fois une étape touristique. Planche 55, il se tient immobile avec monsieur Zhang pour contempler le paysage montagneux magnifique, une autre peinture capturant l'esprit des oeuvres de Zhu Da. Enfin planche 56, il retient son souffle alors que Li et son guide avance sur une mince corniche de deux planches de large, collés à la falaise verticale, agrippant les maillons de la chaine métallique spittée dans la paroi rocheuse. La séduction de la narration visuelle agit à plein du début à la fin, l'artiste adaptant son approche visuelle en fonction de la séquence, allant de cases regorgeant de détails (les rues de Montmartre, la chambre d'Antoine, la salle à manger des parents d'Antoine, etc.) à des cases plus impressionnistes (une explosion, la silhouette des arbres, les montagnes en fond de case, un rideau de pluie…). le lecteur peut se projeter dans chaque lieu grâce à des représentations soignées et détaillées.

Le lecteur reprend donc le fil de la vie de Li et il a vite fait de se rappeler qu'il s'agit d'un drame. Les auteurs mettent en oeuvre les conventions d'un mélodrame, sans beaucoup de pitié pour leurs personnages, émouvant leur lecteur aux larmes à plusieurs reprises. Pour autant, ils restent dans le registre du plausible. Ils ont également tôt fait de rappeler au lecteur qu'il ne s'agit pas d'une bluette (Raphaëlle mettant Li à la rue à la première occasion), ni d'une reconstitution aseptisée (le recours à une pipe à opium lors d'un vernissage, séquence faisant penser à Les aventures de Tintin : le Lotus bleu, 1934/1935). Page 23, le lecteur retrouve un niveau de cruauté similaire à celui du premier tome avec l'opération ayant transformé monsieur Zhang en eunuque : cette fois-ci il s'agit d'un individu à qui on a coupé le nez et les oreilles. L'image n'est pas très graphique, mas le lecteur est incapable de neutraliser son imagination et elle fait le reste. La cruauté peut aussi bien prendre la forme de la guerre (des avions mitraillant des civils) que celle de la torture (une séance avec des rats). L'artiste ne se complaît pas dans le gore, mais il n'édulcore pas non plus le pire. le lecteur garde longtemps à l'esprit cette image de têtes sans corps dans des cages accrochées à un portique de signalisation au-dessus de la chaussée, dont le sang dégoutte encore sur les véhicules qui circulent en dessous. de temps à autre, le lecteur découvre une touche d'humour pince-sans-rire très savoureuse, allant jusqu'à un dessin de sexe masculin grossièrement esquissé dans une case de la page 23, totalement à sa place dans la narration, très amusante prise pour elle-même hors contexte. Ainsi il découvre la vie de Li de Paris à la montagne Tianzi dans le Hunan, romanesque, ballottée par les bouleversements de l'Histoire, une jeune femme au fort caractère, impressionnante et attachante.

Ce deuxième tome est tout aussi extraordinaire que le premier. Une grande fresque historique jouissant d'une reconstitution minutieuse et rigoureuse. Une grande fresque romanesque à l'héroïne courageuse et attachante. Une narration visuelle magnifique et vivante.
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Li se retrouve en France où elle apprend la photographie. Elle y découvre également l'amour mais la Chine et son père adoptif lui manque. Surtout que là bas les tensions augmentent et Zhang est obligé de fuir Shanghai.
Un nouveau tome agréable à lire.
L'héroïne est un peu creuse, un poil trop cucul. On n'approfondit pas ses émotions et son caractère, à peine plus ses difficultés et ses solutions. Son parcours est truffé d'ellipses. Elle est plutôt un prétexte au voyage de la France des années 30 à la Chine en pleine révolution communiste.
Le dessin est sympathique, plein de douceur et de poésie. Certaines pages sont vraiment belles et mettent en avant les paysages bucoliques.
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Devenue une très belle jeune femme, nous retrouvons China Li a Paris, pressée par son père adoptif Maitre Zhang de quitter la Chine pour se mettre en sécurité. Cette nouvelle vie va être pour elle l'occasion de découvrir les soirées entre artistes peintres, une certaine forme de liberté, la vie estudiantine, l'amour et de faire ses premiers pas de journaliste.
Pendant ce temps Zhang voit son pouvoir de plus en plus menacé sur fond de tensions politiques. Et petit à petit il va réaliser qu'il ne pourra pas rester en Chine et commencer à mettre sa fortune à l'abri.
Mais alors que le Japon envahit la Manchourie, que Mao lève une armée et que la famine sévit, China Li que plus rien ne retient en France, décide de rentrer en Chine revoir son mentor et père adoptif et surtout tenter d'aider son pays.
A l'instar du T1, le scenario est précis, dense ; le dessin toujours aussi pur nous offre des planches d'une extrême beauté; les références historiques et commentaires en fin d'album apportent un plus certain.
Nous refermons ce Tome 2 en plein suspens… et une envie pressante d'ouvrir le 3ème et dernier tome.
Définitivement une série à ne pas rater.
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Suite des aventures de Li qui a quitter la Chine pour Paris tandis que Zhang cherche à maintenir son pouvoir avec les nouvelles autorités en place en Chine.
Li se trouve confrontée à la jalousie de son amie, qui finalement la jette dehors. Elle se réfugie chez des étudiants rencontrées auparavant et tombe amoureuse d'un jeune peintre;
Zhang comprend rapidement qu'il ne peut demeurer en Chine et qu'il doit sauver sa fortune.
C'est dans un cinéma parisien que Li retrouvera son père adoptif et décide de retourner en Chine.
Aquarelles douces, qui retracent aussi bien les paysages urbains que la campagne chinoise.
Histoire classique mais solide sur le parcours d'une jeune paysanne, maltraitée par la vie, protégée par un homme du milieu qui l'aidera à se cultiver et à découvrir ses passions que sont la peinture et la photographie.
Jolie histoire magnifiée par ses dessins.
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Encore un excellent tome qui nous permet de voyager tout en collant à une intrigue passionnante et bien menée où la petite histoire croise la grande.
Les époux Charles savent donner à leurs aquarelles un brin de nostalgie tout en créant des histoires au contenu finalement assez grave. India dreams m'avait beaucoup plu et cette histoire dans la Chine des années 40 est tout aussi bien menée. Les dessins sont superbes. J'ai beaucoup apprécié également la plongée dans le Paris de la Bohème.
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critiques presse (3)
Sceneario
11 février 2020
Romanesque est le dessin. Le livre est une succession de planches magnifiques. La beauté des décors sublime l’album. La guerre elle-même semblerait presque moins laide grâce aux coups de crayons et de pinceaux de Jean-François Charles.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDZoom
05 février 2020
L’essentiel est de savoir faire exister les personnages et des situations crédibles qui prendront le lecteur, par un scénario et un dessin construits et pertinents. Et, ici, tout cela est présent. Maryse Charles y est pour beaucoup, par son scénario délicatement savant et profondément humain, au plus près des motivations foncières des personnages.
Lire la critique sur le site : BDZoom
ActuaBD
03 février 2020
Le charme du premier tome opère toujours : ambiance feuilletonesque, décors somptueux, théâtres variés entre la France et la Chine : China Li s’inscrit dans la meilleure tradition romanesque, que la BD franco-belge honore depuis plus de 40 ans.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Mon, cher père, j'ai revu ce jeune peintre (Vous ai-je dit qu'il s'appelle Antoine ?). C'était au Louvre, il copiait un tableau pour une commande. Il nous a invitées, Raphaëlle et moi, dans un café de St-germain-des-Prés, où se rencontrent des groupes d'artistes. C'est là que ses amis et lui discutent vivement d'écrivains, de peintres actuels et aussi de politique. Je vous envoie des catalogues d'exposition consacrés à quelques jeunes peintres dont on parle beaucoup ici. Monsieur Dobrowski, mon professeur de photographie, estime que je progresse dans mes clichés. Il pense proposer mes meilleures photos à quelques magazines. J'attends impatiemment de vos nouvelles. Vous me manquez. Je vous embrasse affectueusement. Votre fille Li. PS : madame Ferlé est très aimable, très prévenante, mais Raphaëlle trouve mes nouveaux amis ennuyeux.
Commenter  J’apprécie          80
La route est difficile, j'y viens seule et tardive. Solitude alentours, où viennent planer mais plus bas, les nuages. Le vent d'Est s'élève, il appelle la pluie. Je veux vous retenir, oubliant sans souci le chemin du retour. K'iuh Yên
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L'expérience, c'est comme une lanterne que l'on s'accroche dans le dos mais qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru.
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On ne peut pas empêcher les oiseaux noirs de voler au-dessus de nos têtes, mais on peut les empêcher d'y faire leur nid.
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Mon cœur et mes yeux sautillent de joie à votre vue, comme le moineau de branche en branche, honorable maître Zhang.
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