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Colonisation tome 1 sur 8
EAN : 9782723499187
48 pages
Glénat (10/01/2018)
3.38/5   104 notes
Résumé :
XXIIIe siècle. L’humanité a réussi à coloniser les étoiles de nombreux mondes grâce à une civilisation extraterrestre pacifiste et bienveillante, les Atils, et à leurs technologie avancées. Mais bien des Nefs spatiales parties en exploration juste avant ce premier contact extra-terrestre restent introuvables. Perdus dans l’immensité du cosmos, ces vaisseaux sont devenus des proies autant qu’un enjeu pour nombre de contrebandiers en tous genres. C’est pour retrouver ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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Série découverte dans le cadres des 48H BD de l'édition 2019 !
Milla Aygon dirige pour l'Agence une équipe de récupération pour retrouver les 79 vaisseaux partis à la conquête de l'espace avant que l'humanité ne rencontre les Vulcains, euh pardon les Atils et leurs technologies bien plus avancées que celles des humains. Mais dès sa première mission elle se fritte avec les Écumeurs du dénommé Jonas et après avoir récupérer le dénommé Clarence Sternis qui n'en revient pas d'avoir passé 123 ans en réalité virtuelle, elle perd un de ses membres poignardée par un mutant fou à lier sur la planète d'à côté...
C'est une série qu'on aurait plus vu sortir chez Soleil ou chez Delcourt, mais c'est Glénat qui a donné sa chance à ce "Star Strek" nouvelle génération sous adrénaline : ça va à fond la caisse, mais du coup difficile de caractériser les personnages, de présenter l'univers et de poser les enjeux en 48 pages (et à mon avis, ce n'est pas un hasard si les 4e de couverture numériques utilisent beaucoup de lignes pour les expliciter, parce que cela est peu ou pas expliqué dans la BD)… On ne va pas se mentir, on se demande bien pourquoi dans un monde encore régi par l'argent autorités et criminels veulent absolument récupérer les naufragés de l'espace plongés dans leurs mondes virtuels (donc celui préféré du commandant Jean-Luc Picard) : pourquoi s'emmerder à récupérer des reliques du passé terrien quand toutes les richesses du cosmos te tendent les bras ??? (il y a des collectionneurs OK, mais au point d'équiper des armées entières, faut pas pousser quand même ^^)
Graphiquement les environnement sont variés et nous fait du mainstream de vraiment bonne qualité donc le dessinateur Vincenzo Cucca et le coloriste Fabio Marinacci ont bien travaillé, mais maintenant reste au scénariste Denis-Pierre Filippi à poser tout cela dans les tomes suivants pour que la mayonnaise prenne bien…
Lien : http://www.portesdumultivers..
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"Toute l'histoire de l'humanité n'est que de la science fiction." Ray Bradbury.

2019: l'humanité veut retourner sur la lune et aller au delà de Mars...
2100: l'homme a gagné les étoiles et traversé différentes constellations. C'est un nouveau Space Opéra, dans une galaxie lointaine, très lointaine...

Milla, jolie jeune rousse, est la cheffe d'une équipe de cadets et va devoir affronter des Écumeurs, dans des coursives. Tandis que dans l'espace, le vaisseau amiral Time-Explorer est attaqué par des torpilles...
" Dommages modérés, 3 compartiments touchés, 7 brèches dans la coque...10 minutes pour dégager la zone!" le vaisseau amiral prend ses distances...

Dans cette "arche de Noé", où sont entreposés différentes sortes d'animaux et des humains, en stase de sommeil, c'est le baptême du feu, pour Milla et son équipe.
Ils ont récupéré le seul humain survivant.

Milla a reconnu un des assaillants: Jonas, un écumeur, un pirate de l'espace.
Peut-elle avoir confiance en Clarence, le colon qu'elle a sauvé ? L'homme a perdu la notion de réalité, à cause des " rêves " pendant ses 123 ans, d'hibernation.
La Terre avait lancé des vaisseaux, afin de coloniser de nouveaux mondes, mais les Atils, des Aliens, bons et pacifiques, ont donné aux terriens, la technologie pour aller encore plus vite...

Nell, une fille de son équipe, est morte poignardée.
Comment maintenir la cohésion du groupe, si c'est un test de l'Agence, une manigance d'Iliatov, son commodore, spécialiste des coups tordus?

Les vaisseaux, au design génial, dansent dans l'espace, et explosent encore dans une gerbe de feu. Les destroyers stellaires sont impressionnants, et les chasseurs sont ultra rapides...Les astéroïdes dérivent toujours et débordent sur certaines cases.
Alors, des Aliens bons et pacifiques? Pourquoi ont ils partagé leur technologie? Il reste 2 tomes, pour le savoir et pourquoi Jonas met-il Milla, en garde?
Lisez cette BD, sur la musique de John Williams!
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Commencer une nouvelle série BD ? Ooh, que ce n'est pas raisonnable !
Mais bon, l'interview de Denis-Pierre Filippi et Vincenzo Cucca sur le site ActuSF m'a tellement donné l'eau à la bouche que j'étais en passe de me noyer. Pour rester en bonne santé, je devais acheter ce premier tome de Colonisation.

Eh bien j'ai trouvé le contenu très bon, même si ce n'est pas le coup de coeur absolu. On est en plein space-opera. le pitch : fut un temps où les vaisseaux terriens emplis de colons sont partis coloniser les étoiles à bord d'engins plutôt lents. Pendant leurs voyages, les Terriens ont rencontrés une race extraterrestre, les Atils, qui leur a donné les moyens de voyager à travers des tunnels, trous de vers, appelez-les comme vous voulez. La seconde vague d'humains s'est donc installée un peu partout dans la galaxie, mais elle a perdu contact avec la plupart des premiers vaisseaux lents. Des équipes de l'Agence s'affairent donc à les retrouver. Et c'est une équipe de bleus, des cadets, que l'on va suivre. Ce n'est pas qu'une partie de plaisir car les vaisseaux lents intéressent de nombreux loulous contrebandiers : les écumeurs.

Explorations de mondes inconnus et combats tactiques entre équipe de l'Agence et écumeurs sont au programme. L'équipe de l'Agence est conçue comme une équipe de jeu de rôle, avec un rôle spécifique dévolu à chaque membre : l'agent de liaison, le doc, l'archiviste, le tacticien, l'armurier, le méca (sorte d'ouvreur de portes geek). La dimension réalité virtuelle d'inspiration Matrix est également très importante dans le récit.

Le nombre de personnages est important et ce premier tome de présentation n'a que le temps d'en approfondir un seul. J'espère que les autres auront droit à un focus qui nous permettra de comprendre d'où ils viennent et pourquoi ils ont choisi cette carrière. Il y a un manque émotionnel encore.

Le dessin aussi a devant lui un espace de progression. A base de brun et de bleu, il est timide, se restreint à des cases relativement petites alors qu'il veut souvent exprimer des décors assez grandioses. Quand on fait un plan large sur toute l'équipe sur une petite case, on ne distingue plus grand-chose.
Mais plus la fin approche et plus Vincenzo Cocca se détend et offre de l'espace à son art. On a même droit à un dessin pleine page.

J'ai donc confiance en l'avenir. Je lirai certainement la suite en espérant m'attacher un peu plus aux personnages.
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Cette B.D me faisait de l'oeil depuis un certain temps. le thème, le titre, la couverture m'attiraient. Hélas, j'ai été assez déçue. « Colonisation » n'est pas une mauvaise B.D. Il y a des tas de choses intéressantes, de très bonnes idées mais je n'ai jamais réussi à rentrer dedans. J'ai trouvé ce 1er tome extrêmement bavard et parfois un poil confus. Il faut dire que Filippe, le scénariste, se montre très ambitieux. le contexte est dense, les enjeux complexes et les personnages très nombreux. On ne peut pas lui reprocher un manque d'ambition et c'est tout à son honneur mais je trouve que Filippi ne se montre pas à la hauteur de ses ambitions. Je n'ai pas trouvé le contexte immersif, les enjeux restent parfois flous et les personnages manquent de caractérisation. Il faut dire que le nombre de pages de l'album ne permet peut-être pas à l'auteur de déployer tout son univers.

Comme je l'ai dit, « colonisation » n'est pas une mauvaise B.D, elle a même pas mal d'atouts pour plaire malgré ses défauts. Mais je suis restée sur le côté, je n'ai pas été immergée dans le récit et malgré ses qualités ce 1er volet ne m'a pas donnée envie de poursuivre la série. Je vais donc m'arrêter là, il y a trop de B.D à lire pour que je m'attarde sur celle-ci.
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L'équipe d'intervention a pénétré dans la nef abandonnée… l'état de la salle des caissons d'hibernation suggère le pillage, les écumeurs sont déjà passés… une présence inconnue est détectée… ils sont encore là… L'ordre d'évacuer en urgence est donné… lorsqu'un homme dans un des caissons saboté entre malgré tout en procédure d'éveil !

Denis-Pierre Filippi et Vicenzo Cucca ouvre avec ce volume un space opera des plus attractif. Les premières nefs de colons humains sont dispersées dans la galaxie et toutes n'ont pas atteint leur but originel. Après un saut technologique la même humanité pare à la recherche de ses pairs naufragés, peut-être conservés vivants par leurs caissons d'hybernation. S'ouvre alors une course entre l'agence qui oeuvre pour de nobles raisons et les écumeurs aux objectifs un tantinet plus vénaux. Sur cet axiome plutôt simple les auteurs laissent entrevoir dès ce premier album un univers réellement riche. Les planches ne démentent en rien ce sentiment tant elles sont généreuses en détails, les décors sont réellement magistraux. Que ce soit dans l'espace ou dans la jungle, les vaisseaux ou les villes tentaculaires et jusqu'au bar clandestin chaque scène est réellement immersive. Les couleurs ont, elle aussi fait l'objet d'un travail approfondi, aucun aplat facile, peu d'incrustations (on oubliera la maintenant classique texture en alvéole). Et choix esthétique crucial à mes yeux, les auteurs ne proposent que très peu de cadrages serrés. L'immensité des espaces et ainsi mise en valeur tout autant que l'esprit collectif de l'équipe de récupération. L'intrigue est rythmée, le pari de proposer une histoire complète dans le volume tenue. En somme, un joli tome d'exposition pour une série prometteuse, dans un genre ou la concurrence est pourtant sérieuse !
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critiques presse (4)
Bedeo
16 février 2018
Un space-opéra classique au scénario efficace.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BoDoi
13 février 2018
L'errance spatiale doublée de séquences faussement oniriques lasse rapidement, et les enjeux qui se dessinent n’en deviennent que moins intéressant. Dommage, l’idée de départ augurait quelque chose de plus palpitant.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
09 janvier 2018
Les spécialistes de Kourou qualifieraient ce lancement de réussi, mais il en faut un peu plus pour garantir la réussite de la mission !
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
19 décembre 2017
Une très bonne saga de science-fiction qui mérite toute votre attention. Un titre à découvrir sans hésiter un instant à partir du 10 janvier 2018.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
— Comment tu le sens ?
— Tu veux parler des astéroïdes qui se baladent, des écumeurs qui nous pistent ou du générateur nucléaire de 5000 mégawatts sur le point d'atomiser cette parcelle de l'univers ?
— Ok, moi aussi je le sens bien.
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Un collectionneur.
Les écumeurs vous dégottent des colons, et vous les entreposez ici, dans votre petit musée vivant.

Non, je suis moi même un ancien colon. J'offre juste la possibilité aux miens de continuer à vivre hors de cette réalité, dont ils ne veulent pas, en compagnie de leurs semblables.
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Mieux vaut mourir sur le chemin de la décolonisation, que de vivre sous un régime de colonisation.
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Vous ne croyez tout de même pas qu'on envoie réellement en première mission une équipe entièrement composée de cadets, agent Aygon . . .
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_ Quand tu veux, poussin!
_ D'abord, je nous sors du jardin du chaos, et après promis, je ne ferai pas durer le plaisir...
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Videos de Denis-Pierre Filippi (33) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Denis-Pierre Filippi
Après son enlèvement, Alba, 17 ans est secourue par la Flèche, un navire cosmique. Elle découvre stupéfaite que son équipage explore les différentes bulles d'espaces secondaires à la recherche de créatures stellaires. Ces créatures impressionnantes représentent la source économique principale des différentes espèces qui les traquent sans relâche. Contre toute attente Alba semble avoir des capacités hors normes et un lien particulier avec elles. Qui est-elle vraiment ? L'équipage ne tarde pas à l'apprendre : Alba est la fille de Daladyn l'impie, un représentant du Haut Conseil banni par les siens pour avoir tenu des propos impies à propos des créatures ! Pour l'instant, Alba ignore tout de sa véritable identité, mais son existence risque de provoquer des remous en haut lieu. Les membre d'équipage de la Flèche en font rapidement la douloureuse expérience, étant violemment attaqué. Prenant in extremis la fuite, ils sont obligés de se réfugier dans un système de planètes aquatiques où ils vont tenter de radouber. Mais les mercenaires lancés à leurs trousses ne lâchent pas facilement l'affaire et les poussent toujours plus loin dans leurs retranchements… Une chose est sûre, Alba attise les convoitises. Est-ce pour bénéficier de ses capacités singulières ou tout simplement pour la faire disparaître avant qu'elle ne se déclare officiellement légataire des pouvoirs qui lui reviennent ?... Les créatures stellaires qui ont déjà sauvé Alba une fois sont loin de ce monde aquatique et ne pourront pas la secourir. Comment va-t-elle réussir à survivre et à prendre la place qui lui revient sur cet échiquier politique qui a déjà coûté la vie à son père ? Ce second tome nous offre encore une fois des paysages futuristes envoûtants et un récit plein de péripéties ! Après le succès de la saga le Voyage extraordinaire, le duo Filippi / Camboni revient avec cette série astrale qui aborde des thèmes aussi variés que la sociologie, la bio-éthique, l'écologie ou la préservation des espèces.
Découvre Prima Spatia, tomes 1 et 2 par Denis-Pierre Filippi et Silvio Camboni : https://www.glenat.com/24x32-vents-douest/prima-spatia-tome-02-9782749310022
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