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EAN : 9782377317691
240 pages
Sarbacane (07/09/2022)
3.77/5   157 notes
Résumé :
Milieu des années 1990, une ancienne ville minière écrasée de toutes parts par les montagnes rouges du Colorado. C'est dans cette Amérique " profonde ", oubliée dans une décennie de prospérité économique, que grandit Michael, un ado paumé style skateur cheveux mi-longs baggy hoody et converses. Il y a aussi Durham, le gamin SDF accro au crack ; le gros Don, qui s'efforce d'échapper aux brutes du collège ; et, bien sûr, Suzy, la rebelle androgyne, toujours un coquard... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Club N°49 : BD sélectionnée ❤️
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A mi-chemin entre "Ça" et "Stand by me" de Stephen King.

Terrifiant mais j'adore...

En plus, superbe bande son (rock ou metal) avec QR code.

Une chanson par chapitre, si elle est trop longue, je ferme les yeux et j'attends le chapitre suivant... que du bonheur en plus !!!

Aaricia
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Rhoooo mais comment peut-on passer de la révolution industrielle française (Fourmies la Rouge), à une fable sociale américaine et arriver à du Stephen King sans le copier ?

Avec un noir et blanc fort, son encrage est incroyable !!

Bref, c'est un auteur à découvrir sans tarder !

Barbara
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Belle BD pour les amateurs de Stephen King et d'horreur.

La bande d'ado fera forcément penser au premier tome de Ça ou à Stranger thing.

Le dessin accentue la noirceur du récit.

La bande son proposée avec le récit (un QR code à la fin et un titre annoncé au début du chapitre) est très bonne.

je rejoins cependant les autres commentaires le chapitrage trop court empêche d'en profiter pleinement.

Samuel
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Un visuel noir et blanc aguichant pour un contenu qui rappelle Stephen King qui fait d'ailleurs parti des remerciements.

Une bande d'ados dans une région pauvre et oubliée du rêve Américain, une disparition d'enfant puis d'un autre, frère d'un des membres de cette bande, qui part alors à sa recherche.

C'est très classique dans les thèmes, mais le visuel et l'accélération dans l'histoire en fin d'ouvrage rendent l'ensemble plutôt captivant.

L'idée d'une bande-son pour accompagner chaque chapitre est plutôt sympathique, avec du rock Américain des 90s/00s pour coller à l'ambiance, mais le chapitrage beaucoup trop court rendra ça au final un peu anecdotique.

Recommandable.

Greg
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Les amateurs de "Strangers Things" apprécieront.

Très bon et très noir.

Une fin d'anthologie !

Janfi
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Pas le genre de cadre qui me plaît à la base (États-Unis, après la guerre du Vietnam, ambiance très sombre à base d'alcool, de violence et de drogues).

Les dessins m'ont convaincue d'y jeter un oeil quand même.

Je les trouve riches, travaillés, et bien en accord avec l'atmosphère inquiétante du récit.

Le suspens a bien fonctionné pour moi.

Les récits des enfants qui ajoutent une pointe de fantastique également.

Ça reste le genre de livre qui ne me plaît pas vraiment, mais objectivement, je pense qu'il peut convaincre, plaire, et faire son chemin chez ceux qui aiment les genres plus proches du thriller.

Perceval
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Le dessin est en noir et blanc, travaillé au pinceau, brut et sombre, il renforce l'ambiance inquiétante de l'histoire. Ça se passe aux Etats-Unis, dans l'après-guerre, années 50 sans doute, mais ce n'est que suggéré. C'est une histoire d'enfance abandonnée, d'enfant livrés à eux même à cause de mauvais parents, alcooliques, drogués, violents et même pire, et aussi une histoire de serial killer. L'ambiance et le ton sont très soignés, lourds et pesants, les caractères des personnages sont aussi élaborés avec beaucoup de finesse. C'est une histoire prenante et bien construite, le drame est vécu à travers le regard des ados, et cet aspect est particulièrement bien réussi. Par contre, l'aspect sombre et glauque est vraiment trop forcé, c'est gore et violent, et dérangeant parce que cela reste en même temps très réaliste. Il n'avait pas besoin d'aller aussi loin dans l'horreur, dans la surenchère, pour en faire un roman graphique remarquable. Cette lecture m'a mis mal à l'aise, je sais qu'il y a des amateurs, mais c'est trop sordide pour moi.
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Voici un livre qui secoue pas mal, même s'il n'a pas l'air comme ça, réutilisant l'ambiance et le décor d'une petite ville minière pauvre et abandonnée au fin fonds des Etats-Unis, dans laquelle des choses étranges se passent... Et pourtant, que c'est bien fait !

D'abord, on s'attache très vite et remarquablement bien à cette bande d'ados paumés. Cette BD - adaptée du livre éponyme de Thibault Vermot que je n'ai pas lu - possède la même force qu'un roman en ce qui concerne l'attachement des personnages. Je me suis moi-même fait la réflexion dans ma lecture : à quel point c'était réussi pour une BD qui doit économiser ses pages et ses mots, les héros privilégiant les insultes et la vulgarité. Et pourtant, très vite, on est embarqué dans leurs histoires et leurs émotions, en partie grâce aux dessins d'Alex W.I nker leur a fait de sacrées gueules aussi plaisantes que déplaisantes, singulières, là où celles des adultes se ressemblent toutes.
Les adultes se ressemblent tous : monstres, parents, tueurs, quels qu'ils soient, la figure de l'homme d'âge mûr ne varie pas. En effet, cette BD met réellement en son coeur la dénonciation de l'alcoolisme, de l'abandon, de la maltraitance, et surtout de la guerre du Vietnam et des traumatismes qu'elle a causée et qui sont restés là sans accompagnement – et tout cela passe par l'image de l'homme d'âge mur.
On voit aussi plein d'autres problématiques dans les détails, le fait de rentrer dans le moule, le racisme, avec par exemple Miguel qui se fait appeler "Mike". C'est dans les nombreux détails qu'on comprend tout ce qui se joue…

Mon personnage préféré a été Suz', l'androgyne du groupe, malheureusement écrite par des hommes, elle fini par se féminiser en un tour de main malgré toutes les violences subies. Cela aurait mérité plus de temps ou, au moins, plus - beaucoup plus ! - de subtilité.
J'ai très envie désormais de découvrir le roman pour savoir si cela a été dû à une économie de page dû au format ou non ! Je pense d'ailleurs que c'est elle le réel personnage principal, ce qui est rare dans un livre se passant au coeur d'une zone rurale et d'anciennes mines, dont l'histoire met en scène une bande de garçons.

Il me tarde aussi de découvrir le roman pour mieux comprendre la fin. En effet, à mesure qu'on tourne les pages, le rythme s'accélère, totalement débridé dans les dernières pages où tout n'est devenu que course poursuite, coups de feu et actions. Si bien qu'on ne comprend pas bien tout ce qu'il s'y passe et je ne peux tout vous révéler car dans ce Climax se dénouent les intrigues. Ce qui n'empêche pas une fin réussie.

L'ambiance, plutôt horrifique, carrément désespérée, est ce qui donne tout le charme terrible de cet ouvrage ! L'ambiance est aussi appuyée, par chaque chapitre dont le titre est une chanson grunge des années 1990. D'ailleurs l'ouvrage s'achève sur un QR-code pour pouvoir écouter la playlist sur Spotify – ce qui est assez rigolo. En tout cas, pour qui connait ces chansons, se les mettre en tête au début de chaque chapitre est grisant car correspondent, en effet superbement, aux thématiques de la déréliction générale et de l'agitation adolescente. Les numéros de chapitre eux se symbolisent en calibre, autant de balles que de nombre de chapitre, un écho à la violence crescendo de cette oeuvre.

Une BD horrifique étonnamment moderne, fonctionnelle et émouvante !
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Entre Stand by me et le polar noir et blanc façon La Nuit du Chasseur, Colorado Train est une adaptation âpre, pessimiste et assez glauque (il faut bien l'avouer) d'un roman pourtant public ado signé Thibault Vermot.

Dans un noir et blanc prononcé qui alterne l'inquiétude, le buddy movie et l'horreur, cette bd signé Alex W.Inker nous conte l'histoire de quatre gamins livrés à eux-mêmes dans un petite ville rurale américaine qui se retrouve confrontés face la mort par le biais d'un mystérieux tueur.

L'album, sur un rythme ponctué en bref chapitres, chacun accompagné par sa petite musique, nous présente d'abord ces quatre gamins brisés par leur situation familiale qui trouve cependant du réconfort et de la solidarité dans leur complicité. Les journées faites de skates, de fuites face à des brutes, sont des délivrances face à un quotidien familial dur et amer.
La morosité est ambiante , surtout quand elle est souligné par un noir et blanc très prononcé, voir poisseux qui nous égare dans des limbes obscures au coeur de paysages ruraux dévastés que ce soit les recoins d'une galerie, un petit coin de forêt dans lequel s'entasse détritus et carcasse de voiture ou les vrilles tentaculaires de chemins de fer ... Cette amertume s'enfonce peu à peu dans l'horreur et la violence au fur et à mesure que le traumatisme des adultes vient étendre son emprise sur les enfants telle un croque-mitaine au sourire mort ...

Pour apprécier Colorado Train, il faut affronter une atmosphère assez lourde et un acte final assez marquant , pour ne pas dire choquant ( le passage des doigts) pour y retrouver un vrai sentiment de bravoure et de solidarité qui renvoie ce titre inévitablement à l'oeuvre de Stephen King, notamment pour sa nouvelle le Corps, adapté au cinéma sous le titre de Stand By Me avec un groupe d'adolescents qui se retrouve confronté à la mort. On peut aussi penser au classique Ca pour ce combat face à un croque-mitaine dans une ville ouvrière dont les recoins peuvent dissimuler de sombres secrets. Derrière le thriller et l'horreur, il ya tout de même la présentation de quatre gamins qui font preuve d'une solidarité sans pareil, qui s'amusent et continuent de vivre envers et contre tout leur jeunesse et leur libertés malgré les barrières que le contexte, que les adultes irresponsables et eux-mêmes brisés, leur imposent.

Le dessinateur Alex W. Inker emploie un noir et blanc significatif qui est parfaitement appropiée avec le cadre américain de l'histoire puisque d'une manière un peu méta, l'emploi du noir et blanc peut ici rappeler les polars d'un dessinateur comme Franck Miller ou s'inspirer de la bd de frisson américaine. de plus, ce noir et blanc lui permet de façonner des ambiances à la limite du fantastique comme ce passage où le jeune frère Calvin explore tout seul une galerie. Nous sommes dans du cinema expressionniste avec un tueur qui revêt les traits d'un véritable Nosferaptu !

Le dessinateur donne remarquablement vie à des personnages haut en couleur dans cette bd figée dans le noir et blanc entre ces cinq ados : Mike et son petit frère Calvin dont leur père est absent, Suz victime d'un père alcoolique qui se défoule sur sa progéniture , Donnie harcelé par les brutes du coin et enfin Durhan, un jeune hobo inventif et un peu taré qui vit en marginalité au grés des trains. Tel un roman de Stephen King, ces cinq enfants sont liés par une indefectible amitié qui les ammène à se surpasser, notamment dans un dernier acte intense qui combine à la fois bravoure et horreur.
A la différence des adultes au visage brisés et tuméfies, Alex W.Incker donne véritablement vie à ces enfants au contexte familial brisé procurant à cet album une forme d'espoir... et ce malgré un final très abrupt qui nous poussera à lire le roman afin d'en savoir plus.

Dans l'ensemble, Colorado Train est une bd que j'ai d'autant plus apprécié avec du recul, passé le cap de la noirceur et de l'horreur ambiante qui règne dans cet album. Derrière le pessimisme, se cache aussi une forte histoire d'amitié entre des gosses qui tentent à leur manière, tels des enquêteurs en herbes , de se battre contre les horrreurs de l'âge adulte.




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L'ogre de Barbarie.
Quelle est la couleur des ados du Colorado ? Dans un monde poisseux, souillé, éteint, des montagnes minées, des carcasses rouillées, des baraques éventrées, un groupe de quatre adolescents se reconnaît, s'assemble et s'entraide. L'adversité est partout, la violence explosive. Les adultes sont défoncés et dépassés. Ils craignent, ils schlinguent, ils tuent. La mort rôde. Une petite frappe disparaît sans bruit. Les ados enquêtent et ils lèvent un lièvre horrifique. Un Ça s'agite dans l'ombre, la faim vrillée au bide, épiant, attendant son heure. Prédateur dément ou chimère légendaire, Wendigo ou tueur en série, qui que ce soit, il faut agir vite et les adultes sont aux abonnés absents.
Adapté du roman éponyme de Thibault Vermot, la bande dessinée d'Alex Inker surprend à plus d'un titre. L'encrage au pinceau participe pleinement à l'expressivité de l'histoire en apportant une texture à l'ambiance. Bien que le récit soit très référencé avec les hobos, les trains de marchandises, la musique des années 1990, les romans de Stephen King, etc., Colorado Train s'en démarque et impose son registre propre qui crée une histoire utopique c'est-à-dire sans lieu identifiable géographiquement. Visiblement, Alex W. Inker ne connaît pas le Colorado, s'en moque et le fantasme allègrement. Les ados pourraient tout autant évoluer dans le Grand Est ou dans une ville sinistrée des Midlands. le travail sur les détails, les attitudes, le mouvement porte ses fruits. L'action va crescendo jusqu'à une quasi sortie de route à tel point que le lecteur peine un peu sur la fin à raccrocher tous les wagons. On imagine que l'auteur a pu être tenté de fracasser tout son petit théâtre des ombres mais qu'un dernier repentir a retenu en partie. L'oeuvre est forte, noire, sans concession.
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critiques presse (3)
BDGest
07 novembre 2022
« Adapter c'est trahir » dit le proverbe. Alex W. Inker fait sien cet adage pour livrer un album sombre et marquant. Une réussite de plus pour un auteur-caméléon dont chacune des productions interpelle.
Lire la critique sur le site : BDGest
BoDoi
18 octobre 2022
À la fois extrêmement juste et sensible dans son portrait d’une jeunesse à l’abandon, parfait dans sa narration et son rythme, très puissant graphiquement en jouant sur les niveaux de détails, et soigné jusque dans sa bande-son (de The Cure aux Smashing Pumpkins en passant par Metallica), Colorado Train est une immense bande dessinée, signée par un auteur qui maîtrise plus que jamais tous les codes de son medium.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Bedeo
17 octobre 2022
Le pari d’Inker est brillamment réussi. Le scénario, finement ciselé, nous tient en haleine jusqu’à la dernière planche – et peut-être même encore après… – et l’album continue de nous interroger après la fermeture du livre. Un livre brillant, récompensé à juste titre par le Prix Coup de Cœur lors du dernier festival Quai des Bulles de Saint-Malo.
Lire la critique sur le site : Bedeo

Videos de Alex W. Inker (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alex W. Inker
BD – Teaser. Planches de BD et dessins orignaux d' Alex W. Inker à la Galerie de la Bande Dessinée. Originaux BD en vente sur https://www.galeriebd.com/artistes/alex-w-inker/ - Original comic art by French comic book artist Alex W. Inker for sale on https://www.galeriebd.com/en/artists/alex-w-inker-en/
SEE ENGLISH VERSION BELOW La Galerie de la Bande Dessinée vend les planches de BD et dessins originaux d' Alex W. Inker, publiées dans "Colorado Train", paru aux éditions Sarbacane. Les planches originales de bande dessinée d' Alex W. Inker sont en vente exclusivement à La Galerie de la Bande Dessinée. ----- Située au coeur de Bruxelles, proche du Quartier Européen, La Galerie de la Bande Dessinée est spécialisée dans l'exposition, l'achat et la vente de planches de BD et d'illustrations originales de bande dessinée. Que vous soyez passionnés de bande dessinée, lectrice ou lecteur occasionnel, fan de BD franco-belge ou de comics américains, nous vous proposons d'acheter les planches BD et les illustrations originales d'autrices et d'auteurs de bande dessinée, prometteurs ou confirmés. Nous proposons également un service de conseil pour celles et ceux qui souhaitent commencer une collection ou l'affiner. Nous sommes ouverts du jeudi au samedi, de 13 à 19h. Les autres jours sur rendez-vous. Nous vous recevrons avec plaisir, et partagerons avec vous notre passion pour le neuvième art. --- Website : https://www.galeriebd.com/ Facebook : https://www.facebook.com/GaleriedelaBandeDessinee Instagram : https://www.instagram.com/galeriebd/ Youtube : https://www.youtube.com/@galeriebd
---- Based in the heart of Brussels, close to the European District, the Galerie de la Bande Dessinee specializes in the exhibition, sale and purchase of narrative art, including original comic art and illustration art. Whether you've been fond of comic books since childhood or are just discovering this fantastic medium, we offer a selection of more than a thousand pieces from well-known and up-and-coming comic book artists, both European and American. We also showcase the art of children's book illustrators. We offer consulting services on how to build a collection, and are always interested in buying great pieces of art. It would be a pleasure to have you at our gallery, where you can see our passion for sequential art firsthand. We're open Thursday through Saturday, 1 PM to 7 PM, as well as other days by appointment. --- CREDITS Montage : Patrice Gautot Musiques : "Open the box" by Ballian de Moulle - Premiumbeat - License 4546972 - Order 3770142 Production : La Galerie de la Bande Dessinee, 2023. Toutes les images sont ©Inker
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