Sigmund le canard sex-toy est de retour ! Dans cet opus, il va s'attirer la profonde jalousie de l'amoureux de sa maîtresse, trop souvent délaissé au profit de ce petit animal noir vibrant. Sigmund est toujours aussi mignon et rigolo. Il reste modeste sur son emprise sur sa maîtresse et se lasse même parfois de cette trop grande attention. Les dessins, dans des tons rose et parme, et les jolis dessous de la jeune femme concordent parfaitement avec une ambiance sensuelle et un peu coquine. Les gags sont plutôt bien menés et l'intervention de personnages secondaires comme la vache, la psy ou encore l'amoureux ajoute un plus très sympathique et permet un renouvellement des situations.
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Quand j'ai vu ce deuxième volume, je me suis précipitée dessus. J'avais apprécié l'histoire de Sigmund, le plus célèbre des canards sex-toy, alors pourquoi ne pas récidiver.
Dans ce tome Sigmund a un rival, le copain de notre charmante héroïne rousse.
En fait, c'est plutôt le contraire, c'est le copain qui a un rival en Sigmund. Et la guerre pour se débarrasser de notre héros-canard commence.
J'ai moins apprécié ce volume que le premier. J'ai trouvé qu'il avait moins d'humour que le précédent, malgré certaines situations cocasses. Je ne sais pas si c'est la présence du copain, mais j'ai été un peu refroidie par ce tome.
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Bon j'avais le tome 2 sous la main donc j'ai enchainé la lecture, on ne sait jamais...
On prend donc les mêmes et on recommence : le canard, la vache, le chat et la proprio.
Sigmund le canard sex-toy qui rêve de prendre son envol et de rejoindre ses cousins migrateurs doit désormais faire face à la jalousie d'un nouvel arrivant. Un petit ami qui sait peu y faire une fois au lit et qui prend en grippe notre canard préféré qui lui est un expert.
Comme dans le tome précédent, on a droit à des blagues faciles et des clichés en tout genre.
Même constat donc : je n'ai pas du tout apprécié ma lecture.
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beaucoup moins accroché a ce tome, cela devient répétitif, rien de tres nouveau rien de vraiment tres drole, je pense qu'un tome unique suffisait.
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Quoi qu’il, en soit il est toujours possible de fantasmer sur les créations de Maureen Raffin ou d’apprécier la plastique de Milly Chantilly et de se dire – accessoirement - que son niais de mec doit beaucoup à Zep.
Lire la critique sur le site : BDGest
N'y a-t-il vraiment que le sexe, le plaisir de la chair, dans ma vie ?
Je voudrais connaître la panne de désir aussi...
Souffler, écouter la nature, me ressourcer....
Dans le 131e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le premier tome des mémoires du dragon Dragon, baptisé Valmy, c’est fini, album que l’on doit au scénario de Nicolas Juncker et au dessin de Simon Spruyt, édité chez Le Lombard. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
– La sortie de l’album Bertille & Bertille que l’on doit à Éric Stalner et aux éditions Grand angle
– La sortie de l’album L’inconnue du bar que l’on doit à Jonathan Munoz et aux éditions Fluide glacial
– La sortie de l’album L’ami colocataire que l’on doit au scénario de Pog, au dessin de Séverine Lefebvre et c’est édité chez Marabulles
– La sortie de l’album Super cyprine, une vengeance corrosive, album que nous devons à Tess Kinsky et aux éditions Massot
– La sortie de l’album Itinéraire d’une garce que nous devons au scénario de Céline Tran, au dessin de Grazia La Padula et c’est édité chez Glénat dans la collection Porn' pop
– La réédition en intégrales des Confessions d’un canard sex-toy que nous devons au scénario de Mikaël Roux, au dessin d’Arnaud Poitevin et c’est édité chez Fluide glacial
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