Le fils du loup : j'ai beaucoup grincé des dents face à cette histoire puante de suprématie blanche.
L'appel de la forêt : lu en 6ème, je n'ai pas relu ce récit que j'avais beaucoup aimé à l'époque.
Ce que la vie signifie pour moi : l'auteur nous raconte sa vie en accéléré, insistant sur ses désillusions.
Construire un feu : un personnage, narrateur, d'une arrogance crasse, s'aperçoit un peu tard qu'il aurait dû écouter les conseils de gens plus expérimentés que lui.
La maison de Mapouhi : le côté sombre de l'arc-en-ciel. J'al suivi sans passion cette histoire de perle qui passe de main en main.
Le païen : une belle histoire d'amitié, avec une fin tragique.
La dent du cachalot : abandonnée très vite, le cannibalisme très peu pour moi.
Maouki : abandonnée aussi, j'ai trouvé ce texte trop ennuyeux.
La peste écarlate : j'ai adoré l'ambiance « walking dead » de ce récit d'anticipation, même si les trois enfants sont insupportables.
La route : comme dans
Construire un feu, j'ai trouvé le narrateur trop arrogant, et cette fois j'ai abandonné.
Croc-Blanc : un roman qui ne vole pas sa réputation tant il nous fait passer par toutes sortes d'émotions (j'avoue avoir versé une petite larme de temps en temps).
Ressenti final : j'ai eu plus de mal que prévu à venir à bout de cette lecture, sans doute parce qu'en lisant sa biographie je me suis rendu compte qu'en tant qu'homme,
Jack London avait l'air plutôt décevant.