Jean-Hugues Oppel/5
9 notes
Résumé :
Morgane et Lola se sont inscrites au stage de danse jazz proposé par la base de loisirs. Salsa, hip-hop, smurf, breakdance... aucun rythme ne les arrête ! Pendant ce temps, Juliette dite Juju, la petite soeur de Morgane, travaille avec enthousiasme les pliés et les sauts de chat dans la grande salle du cours de danse classique, dont les baies vitrées ont une vue plongeante sur les box du poney-club. Lorsqu'un incendie se déclenche au centre équestre, les petites en ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4)
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Associer les centres d'intérêt de la danse et poneys : quelle bonne idée ! C' est justement ce qui passionne les enfants guimauve de 8-12 ans ! Et bien ici, ils vont en redemander car comme dans tous les Syros noirs, l'histoire va vite devenir une intrigue policière et après une lecture haletante tambour battant, les enfants vont en redemander !
J'avais lu "ippon" dont la violence et le côté "pour les garçons" m'avait déplu.
Celui-ci est clairement plus à destination d'un public féminin tant les descriptions de chorégraphies parleront plus à ce public qu'au précédent.
J'ai regretté que le personnage de Chloé, pourtant bien décrite et qui nuançait tout cela, ne soit pas plus utilisé.
Un petit polar non effrayant avec une vraie enquête et des personnages dans lesquels les jeunes lectrices se reconnaîtront.
Celui-ci est clairement plus à destination d'un public féminin tant les descriptions de chorégraphies parleront plus à ce public qu'au précédent.
J'ai regretté que le personnage de Chloé, pourtant bien décrite et qui nuançait tout cela, ne soit pas plus utilisé.
Un petit polar non effrayant avec une vraie enquête et des personnages dans lesquels les jeunes lectrices se reconnaîtront.
Pendant les vacances, Juliette participe à un cours de danse classique. Puisqu'elle doit l'accompagner, sa grande soeur s'est inscrite au cours de Jazz entraînant ses deux meilleures amies l'une pour faire de la danse avec elle et l'autre pour du quad. Mais dans la base de loisirs, un homme est retrouvé assommé dans l'un des box du poney-club et ce n'est qu'un premier incident...
A la lecture de la quatrième de couverture et ayant déjà lu plusieurs roman de Jean-Hugues Oppel, je m'attendais à voir les amies bloquées dans l'écurie en feu, ce n'est pas le cas. (Après tout ce livre-là, Jean-Hugues Oppel l'a déjà écrit)
Il s'agit bien plus d'un roman policier avec enquête. Les personnages sont bien installés, l'enquête est sympathique. C'est plutôt efficace et ça plaira sans doute aux enfants même si je n'ai pas été transportée.
Chevaux et danse, le roman mêle deux thèmes chers aux jeunes lectrices. Je me suis amusée à noter que tout en évoluant dans ce contexte un peu "fille", le roman dénonce contre les clichés sexistes avec des personnages féminins forts qui aiment pour les unes la danse, pour les autres le quad et ont un solide sens de la répartie.
Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
Au debut cetait pas interessant mais apres cetait devenue plus interessant moi je le conseille de le lire
Citations et extraits (6)
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Les flammes ont remplacé les fumées, mais elles se développent dans des proportions que l'on pourrait qualifier de raisonnable. L'incendie reste circonscrit au alentours de la sellerie, très de laquelle l'appentis où il a pris mais plus qu'un tas de cendres. Un hangar à machine et une partie du toit de l'écurie principal sont menacés, c'est tout.
En apparence.
En apparence.
- Dans mon école, il y a des garçons qui détestent la bagarre mais qui n'ont pas peur de grimper au mur d'escalade. Et je connais des filles balèzes, comme Chloé!
- Tu as tout compris, Juju. Les hommes sont forts et les femmes sont faibles, c'est ce qu'on appelle des idées reçues, ou des poncifs... Comme les Noirs ont le rythme dans la peau et les Suisses sont lents, ou les Juifs sont riches.
- Tu as tout compris, Juju. Les hommes sont forts et les femmes sont faibles, c'est ce qu'on appelle des idées reçues, ou des poncifs... Comme les Noirs ont le rythme dans la peau et les Suisses sont lents, ou les Juifs sont riches.
Les cheveux rêvent ils quand ils dorment ?
Si oui font-ils de beaux rêves ?
Des cauchemars ?
Aussi loin que remonte sa mémoire, Xavier Hourlet se l'est demandé.
Si oui font-ils de beaux rêves ?
Des cauchemars ?
Aussi loin que remonte sa mémoire, Xavier Hourlet se l'est demandé.
Des ballerines s'affichent en nombre à la place, seules ou à plusieurs, en action sur scène, en répétition à l'école de Ballet, Peinte ou dessinée .
Nathalie Planquin n'est pas une mère qui refuse d'aborder les questions délicates avec ses enfants. Elle avait pris son temps pour expliquer à sa cadette que le mot "tarlouze" était un terme grossier et insultant pour parler des hommes homosexuels, supposés ne pas être courageux. C'était devenu par extension une expression péjorative pour désigner n'importe quel individu qui n'aurait pas le cran de faire quelque chose de dangereux. S'il est vrai qu'au temps des cavernes les femmes ne chassaient pas le mammouth pour nourrir la tribu, de nos jours, rien n'interdit à cs messieurs d'aller remplir le caddie au supermarché!
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Jean-Hugues Oppel raconte ses débuts dans l'écriture.
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