L'apprentissage de la liberté est l'une des idées motrices des Lettres sur l'éducation esthétique, de Schiller. Si son concept culturel est esthétique, c'est en raison de ses liens étroits avec la dimension pédagogique de l'expérience artistique et la dimension morale de l'action individuelle.
L'art doit être un élément libre, mais aussi une partie intégrante de la vie politique et culturelle d'un État, comme la polis de l'époque d'Aristote.